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Ils ne nous sépareront pas

Par Fanette le 2/2/2002 Ă  10:06:05 (#837586)

*Rejetée, rejetée à cause de sa foi.... Non, elle ne les laissera pas les séparer...*

*Elle court les larmes aux yeux vers cette plage où tant de souvenirs sont attachés, s'assoie contre l'arbre, face à la mer bouillonnante, déchaînée, en colère, tout comme elle.
Peu Ă  peu, elle se perd dans ses souvenirs, se rappelle*

Oh, comme elle est loin mon enfance innocente ! D'aussi loin que je me souvienne, j'étais seule, avec dans l'esprit quelqu'un ou quelque chose qui guidait mes pas. J'ai appris seule à me défendre, à me débrouiller... *sourit tristement* j'étais une vrai sauvageonne. Toujours à aller plus loin, découvrir d'autres lieu nouveaux, battre la campagne et les montagnes, soif d'apprendre, de connaître, être seule ne me fesait pas peur... au contraire, je ne cherchais pas trop la compagnie. J'aimais me perdre dans les endroits sombres et isolés.

Je me savais prédestinée, mais je ne savais pas trop à quoi, c'était si flou... juste que certaines quêtes qui m'étaient demandées ne me plaisaient pas et que je préférais en faire d'autres... Et puis aussi cette maudite bénédiction d'Artherk qui me brûlait l'âme... *frémis à cette pensée*... Et ces maudits aux ailes blanches qui en étaient si dispendieux... ce mépris que j'ai toujours eu pour les mendiants et ceux qui les innondaient de sorts de protection ou de soin... la délectation que j'éprouvais à faire agoniser les créatures qui entravaient mes errances... Mais je ne savais encore qui était mon guide. Pourtant, peu à peu sont apparus des stigmates sur mon visage : il m'avait marqué, et elles devenaient de plus en plus visible, le déformant. Je le cachais alors sous un heaume à la vue de tous.

Et puis ces rencontres, d'abord avec ce jeune paladin, qui bienque ne partageant pas tous mes penchants, est venu de plus en plus souvent errer et chasser à mes côtés. Et puis ce jeune mage qui avait l'air si attiré aussi par les mêmes magies que moi... qui me comprenait... Sa famille qu'il m'a fait connaître et que j'ai appris à apprécier... que j'avais prise d'affection... *sent son coeur lui faire mal à cette pensée*

Et lui... lui qui, malgré ses ailes blanches, était toujours là... Le jeune mage me l'avait présenté un jour, comme étant un ami à lui. Moi qui avait tant de mépris pour ces ailés d'Artherk, je ne comprenais pas pourquoi je n'éprouvais pas de l'avertion pour lui. De la méfiance certes... je restais toujours dans la crainte qu'il me jette une de ces maudites bénédictions. Je le voyais peu, je le croisais rarement. Mais il était toujours là, comme par miracle, au moment où dans ma dure vie d'enfance ça n'allait pas. Mais peu à peu, je me suis accoutumée à sa présence. Son âge mûr, ses connaisances de la vie me rassuraient. Nos rencontres sporadiques et toujours au moment le plus opportun me fesaient éprouver une sorte de soulagement. J'avais besoin d'aide, il était là, il arrivait, sans poser de questions gênantes. Je ne cherchais pas à comprendre les sentiments que j'éprouvais. A quoi bon se poser des questions ?

Il m'a fait découvrir les friandises *sourit* Oh ! comme j'en suis devenue vite gourmande, moi qui avant me serait contentée d'une pomme... Il me couvait d'un regard bienveillant, un peu paternel. Peu à peu, il s'est ouvert à moi, m'a raconté ses espoirs, ses aspirations, puis... cette souffrance qui était en lui, que je percevais... Je commençais à m'attacher à lui, insidieusement, sans que j'en ai pris garde...

*Laisse son regard se perdre dans la mer houleuse, se laisse emporter par cette violence qui bout aussi au font d'elle*

(Ă  suivre ;) )

Par Erin le 2/2/2002 Ă  11:12:49 (#838027)

:lit:

Par Reine Sorciere le 2/2/2002 Ă  12:12:14 (#838504)

*attentive*

*air melancolique*

Par Forge Evan le 2/2/2002 Ă  14:14:20 (#838826)

*assis regardant la mer*
*regard perdu dans le vague*
*murmure* une mer si calme, si tranquille, on la croirait incapable de la moindre violence, comme elleÂ… *soupire*

Je la revois encore, la premiere fois que je l’ai vu, un ami commun nous avait présenté, elle etait si jeune, si seule…

Elle semblait n’avoir connu que les mauvais cotés de la vie, j’ai immédiatement ressentit le besoin de la protéger, mais je savais qu’elle ne se laisserait pas faire, qu’elle tenait a sa liberté, ne voulait dépendre de personnes. Je me suis donc fait discret, ne lui imposant pas ma presence, mais prêt à intervenir si elle avait besoin de moi, ne posant pas de questions auxquelles je sais qu’elle n’aurait pas aimé repondre.
Elle ne suivait pas la mĂŞme voie que moi, cela je le savais, mais comment lÂ’aurait elle put en ayant connut que le mal de toute son enfance, sans un instant de bonheur ?

Je n’ai pas essayé de la convaincre que les gens n’étaient pas si mauvais, je me suis contenté de lui montrer que certaines personnes ne l’étaient pas, en la couvrant d’affection, en agissant comme le père qu’elle n’avait pas eu. Malgré l’aversion qu’elle ressentait envers les ailés d’artherk, elle ne me craignait pas, oh oui, biensûr elle etait un peu méfiante envers moi au début, mais nos liens se sont consolidés, pour finalement déboucher sur une confiance aveugle l’un envers l’autre.

CÂ’est ainsi que progressivement je me suis ouvert Ă  elle, lui parlant de mes doutes, des mes rĂŞves, puis deÂ… la femme que jÂ’aimai, de la douleur que le rejet mÂ’avait fait subir. Je me rappelle, du reconfort quÂ’elle me procurait, quand elle me prenait dans ses bras dÂ’enfant pour me consoler, que je me laissai aller Ă  pleurer Â….

Le temps passant, je m’aperçus que je passais de plus en plus de temps avec elle, que je recherchais sa compagnie avant celle de tout autres personnes. Je souffrais toujours du rejet que j’avais subit, mais elle avait réussit a soigner quelque peu mes plaies. Sa souffrance m’attirait comme un aimant, je voulais tant l’aider, j’ose croire que les démonstrations d’affections que je lui distribuais lui ont permises de se rendre compte que tout le monde n’était pas mauvais, que certaines personnes pouvaient donner sans forcément attendre en retour.

Elle etait si fragile, je l’aimais tant… comme une fille que je n’avait jamais eu, que je n’aurais peut-être jamais, tellement attachante… je n’aurais jamais supporté que le moindre mal lui soit fait…

*soupire*

Elle est siÂ….
*sent les mots mourir sur ses levres*
*se perds de nouveau dans la contemplation de la mer*

Ils ne nous sépareront pas (suite)

Par Fanette le 2/2/2002 Ă  14:22:47 (#838854)

*Portée par la violence des flots et par la violence de ses sentiments, re-pense à son enfance... Forge... lui toujours présent au bons moments... Ses propres errances sur l'île d'Arakas d'abord, puis celles de Raven's Dust... Essaie de se rappeler pourquoi ils sont devenus si proches*

Et puis peu à peu, le jeune paladin était de moins présent, nos rencontres se sont espacées. Quand au jeune mage, il m'a un jour déclaré sa flamme. Mais l'amour, qu'est-ce ? Je ne comprenais pas ce que c'était. J'avais beau interroger les adultes que je connaissais : son père, sa mère, Forge... Aucun ne me fesait savoir si j'éprouvais de l'amitié ou de l'amour. Je me demandais : suis-je trop jeune ? Ou alors est-ce que je suis incapable d'aimer d'amour ? Je ne savais *sourit en pensant à sa naïveté d'alors*. Il m'a dit qu'il serait patient, qu'il attendrait ma réponse. Mais il est devenu nerveux, il s'est mis à se disputer avec moi, et de plus en plus souvent. J'en étais malheureuse... Pourquoi me reprochait-il tout et rien ? Qu'avais-je fait pour le contrarier ? Je n'étais pourtant pas différente, je n'avais pas changée... Etait-ce ma faute ? Un jour où la peine était trop grande, j'ai eu envie de me laisser mourir. D'ailleurs qu'est-ce que la mort ? Juste un passage... La vie n'est pas éternelle, seul le vide, le néant sont infinis. Son père et sa mère lui ont parlés, lui ont dit qu'il se comportait mal, de venir s'excuser. Oh ! biensûr je lui ai pardonné. Je ne voulais pas perdre son amitié.

Forge m'a énormément aidé à surmonter cette épreuve. Il m'a pris sous sa protection. Il me parlait avec tendresse, avec douceur... Je n'étais pas habituée à tant d'attentions. J'avais l'impression qu'il me considérait un peu comme sa fille... Il était pour moi un protecteur, quelqu'un de très proche, mais je ne pouvais le considérer comme un père. Il m'a raconté ce que c'était pour lui l'amour, ses sentiments qu'il éprouvait pour une jeune femme, son éloignement, ses espoirs d'amour partagé... puis son retour et comme elle avait rejeté son amour... Oh ! comme il a souffert... Mais j'étais là pour le réconforter comme je pouvais, j'essayais de de lui rendre tout le réconfort que lui m'avait donné, mais si maladroitement...

En même temps je commençais à comprendre que le côté sombre m'attirait, je commençais à mettre un nom à celui qui me guidais dans mes quêtes... Quand j'ai pénétré SON temple... Oh ! comme j'ai compris pourquoi j'étais si mal à l'aise dans ces temples qui trônent dans les villes de nos îles ! comme je comprenais qui me guidais dans mes colères incontrôlables... Oui, j'irais vers LUI, je lui offrirais mon âme... voilà ce que je pensais... Ma vie, ma mort, mes souffrances lui appartenaient... IL les sublimait...

Alors j'ai accepté cette longue épreuve qu'IL me demandait. Je n'étais pas distraite par mes disputes avec le jeune mage : il semblait avoir disparu, je n'avais plus aucune nouvelle. J'ai parcouru les trois îles pour me montrer digne de LUI. Et IL m'a récompensé, il m'a doté de ses si belles ailes noires que j'enviais aux néphilims, il m'a même donné la maturité, et toute une vie à revivre... tout le chemin que j'avais parcouru à refaire mais avec des yeux neufs.

Je me suis retrouvée nue, dans un corps d'adulte, au beau milieu de temple de LightHaven... Avec le malaise habituel que me donne ces lieux j'ai senti un autre malaise, celui de me retrouvée dans un si léger appareil aux yeux des passants, moi qui auparavant n'avais aucune pudeur... Forge est accourru me rejoindre. Oh ! Comme il avait changé lui aussi ! Il avait entrepris une longue quête pour renaître, mais pas la même que moi, et lui il avait... il avait rajeuni... Je reconnaissais ces traits, mais Oh ! comme il me troublait ! Je... je le voyais regarder ma nudité avec un air différent, et je me sentais la rougeur envahir mes joues sans trop savoir pourquoi. Je me suis habillée hativement et on est parti redécouvrir les terres d'Arakas ensemble. Je n'étais plus seule... Il m'a alors présenté sa famille, ses amis. Certains comme une de ses soeurs tenaient à me considérer comme sa fille... la fille de Forge ! Pourtant, malgré l'affection que je lui portais, je ne le considérais pas comme un père, surtout maintenant que nous avions le même âge physique... Mais il m'ont accueillis sans trop de réticence malgré nos différences et j'en étais heureuse
*sourit nostalgique*

*Laisse son regard se perdre à l'horizon, à la crête des vagues tourmentées*

(Ă  suivre)

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Fanette, sorcière allergique aux bénédictions d'Artherk

Par Maxx le 2/2/2002 Ă  16:37:03 (#840034)

:lit: :amour:

Merci Fanette jolie :)

Comme je te l ai dit en local je susi derriere toi et je te soutient

Bisous :)

souvenirs

Par Isadoree le 2/2/2002 Ă  19:51:39 (#841951)

A cette époque là j'étais une jeune enfant quand j'ai rencontré Fanette au temple de Windhol,on venait de lui faire briller sa pierre ,elle avait perdu un bijou auquel elle tenait enormenent.
J'ai essayé de la consoler et nous sommes devenues amies ,elle m'a avoué avoir choisit la voie opposé a moi ,mais je lui ait dit que ça m'était bien égal ,je l'a trouvait gentille et qu'elle serait quand mme mon amie.
Nous nous sommes perdues de vue mes parents me donnaient un entrainement intensif et je n'avais pas trop de temps à flaner mais le bijou que Fanette avait perdu ,j'en avait trouvé un et je ne perdais pas espoir de la revoir.
Nous nous sommes revues sur RD ,elle a été surprise que je l'avais pas oubliée et que j'avais le bijou qui lui avait manqué à cette époque.Elle venait d'arriver et moi j'étais prete à partir ,encore une fois ,nous nous sommes perdues de vue mais fanette était tjrs mon amie et je prenais un grand plaisir à la rencontrer.
Notre dernière rencontre se fit ds le temple de Sc ,j'avais des ailes blanches mais fanette est qd mme venue me voir et m'embrasser ,moi j'étais tout simplement heureuse de la revoir ,dommage nos chemins se croisent mais c'est tout.
Je voudrais tant dire à Fanette que je suis amoureuse d'un homme qui me comble de bonheur ,qd je l'ait connue ,je n'ait pas fait attention à son aspect j'ai regardé dans son coeur et cela m'a suffit.
Il a des ailes noires ,ça choque certaines personnes mais nous ne n'y attachont pas d'importance .Il m'aime ,je l'aime c'est tout ce qui compte.

Fanette écoutes ton coeur c'est le plus important et soit heureuse comme je le suis.J'aimerai tant te revoir je ne t'ait mme pas vue avec tes belles ailes.Prend soin de toi mon Amie et à tout bientôt j'espère :)

Par septimus le 2/2/2002 Ă  20:55:49 (#842462)

*lui rappelle douloureusement sa propre histoire*
:sanglote::sanglote:

*laisse de nouveau son esprit s'egarer dans le passé*

Par Forge Evan le 2/2/2002 Ă  20:57:41 (#842469)

*Le calme de la mer agissant comme un stimulant , repense Ă  tout ce quÂ’il a vecut*

Fanette, si fragile… Je voulais tant la proteger que sans m’en rendre compte, je passais de plus en plus de temps avec elle, descendant de Stoneheim sur les differentes îles pour goûter à sa compagnie, que j’appreciais de plus en plus.

Elle avait tant soif de savoir, et j’avais tant a lui apprendre *se rappelle de la mine rejouie de Fan après avoir goûter son premier sucre d’orge* *rit au souvenir de sa tête quand elle a goûté le fameux fromage groseille, sa spécialité* Les journées que nous avons passées a discuter, de tout et de rien, de elle, de moi, de nos amis, de nos doutes et certitudes.

Elle a alors vécut une periode de doutes, l’ami qui nous avait présentés venait en effet de lui déclarer sa flamme, mais elle, elle n’était pas sure de ses sentiments, n’arrivant pas a différencier l’amour de l’amitié. Je n’ai put que lui apporter mon soutient, étant moi même toujours préocuppé par le rejet que j’avais subit. Je l’ai consolé lors de ses nombreuses disputes, à défaut de pouvoir lui expliquer l’amour et l’amitié, je lui ai fait oublié ses peines, lui faisant decouvrir de nombreuses choses, elle était insatiable de connaissances, puis cet ami c’est fait de moins en moins présent, je crois qu’il devait avoir compris qu’il n’éprouvait pas vraiment d’amour pour elle, et que elle non plus.

Je n’oublie pas la voie qu’elle suit, son arrivée sur StoneHeim fut un jour de liesse pour elle, je l’accueillis du mieux que je pu, lui offrant quelques cadeaux de bienvenue, et l’ami était présent lui aussi, il l’emmena visiter un temple dont j’appris plus tard le nom du dieu auquel il etait voué. Mais je ne fus pas trop surpris, l’air rejouit qu'elle avait en en revenant m’avait quelque peu mit sur la piste, elle qui ne supportait pas d’être dans un temple dédié a Artherk, je su alors à qui celui-là etait consacré.

Je dois dire que le fait qu’elle ne suive pas ma voie ne m’avait pas trop dérangé, ma foi en Artherk s’étant au fil du temps étiolé, ne supportant pas ce que de nombreux ailés commettaient en son nom, j’en suis venu a me demander si ce dieu était vraiment bon, ou si comme son frère il ne recherchait que le pouvoir, qu’il avait juste pris un autre visage.L’idée folle que Ogrimar et Artherk fusse une seule personne à 2 visages m’a même effleurée l’esprit, et plus j’y pense…

Non, le fait qu'elle adore un dieu différent de celui que j’adorais moi ne me gênait pas, après tout, elle ne s’était que rarement montré cruelle, refusant juste d’aider les gens, je les aidais alors à sa place quand je le pouvais. Je n’avais pas changé, je croyais toujours en les mêmes valeurs, je ne croyais simplement plus qu’Artherk les représente vraiment, peut etre me trompais-je…

Sans meme vraiment encore y croire, j’entrepris de renaître de nouveau, d’approcher de nouveau ce moment où je pouvais être si proche de lui, peut etre avais-je râté ou mal interprété quelque chose la première fois, il me fallait savoir. Mais je n’étais pas très motivé par ma quête, préferant passer le plus de temps possible avec celle vers qui mes pensées se tournaient de plus en plus souvent.

Finalement elle m’apprit que son dieu voulait l’élever à un stade supérieure, et elle me demanda de l’accompagner, de revenir a la vie en même temps qu’elle, afin qu’elle ne soit pas encore une fois seule…

Je me fis une joie d’accepter, et me mit en devoir de rapidement finir la quête imposée. Je me rends compte avec le recul que cette quête ne signifiait rien, car je ne la faisais pas pour montrer ma foi, mais pour rester avec elle…

Finalement, le jour tant attendu vint, je me demandai si Artherk voudrait bien de moi, ou si mon manque de foi me ferait échouer. Apres l’avoir enlacée une derniere fois, je me présentai devant l’oracle, je vis à ce moment-là, enfin du moins je le crois, une sorte de lumiere très forte, dans laquelle 2 personnes se tenaient, une habillée de noir l’autre de blanc, les expressions de leurs visages passait sans cesse de l’amour à la haine, de la tristesse à la joie, comme si elles ne savaient comment agir envers moi.

Je ne me souviens plus des paroles qu’elles ont prononcées, mais quand la lumiere s’est éteinte, je gisais dans un endroit familier, que je mis un moment avant de reconnaître, le temple de LightHaven , Artherk m’avait donc autorisé a renaître, je lui en étais reconnaissant, mais ma foi n’avait pas pour autant changée, je doutais toujours, la vision que j’avais eu avant de reprendre conscience n’ayant pas arrangé les choses. Mes amis étaient là pour m’accueillir, je les remerciai d’être venus, mais apparement quelque chose leur paraissait étrange, je les vis plusieurs fois ouvrir la bouche, puis se raviser, n’y tenant plus, je leur demandai pourquoi, ce qu’il se passait. Pour toute réponse, ma sœur sortit un miroir de sa poche et me le tendit, je poussai un petit cri de surprise, mon visage, il etait si.. jeune…voilà pourquoi Artherk m’avait laissé renaitre, pour que je puisse faire le bien plus longtemps, est-ce une façon de me montrer qu’il souhaite la même chose que moi ? Ou alors essaie t’il de me tromper pour que je crois à nouveau en lui, je ne le sais pas, et je n’ai pas envie de le savoir pour le moment. Enfin, mes amis partirent l’un après l’autre, me laissant seul dans l’attente de l’arrivée de Fanette..

Le temps s’écoulait, je commençais a prendre peur, Fanette n’était toujours pas là, son dieu avait-il changé d’avis ? A cette idée, je me sentis mal, mes jambes vacillèrent un peu, rester ici, seul, sans elle, elle là-bas, je ne le supporterais pas, je n’arriverais plus à rester sans la voir, mon corps jeune me remplissait de fougue, je ne reconnaissais plus les sentiments que j’éprouvais, de la colère ? Je n’en avais pas éprouvé depuis des années, mon corps avait-il tant d’influence sur mon esprit ? Ou alors mes sentiments eux-meme avaient ils changés ? Je ne le savais pas a ce moment-là, et c’était bien ma derniere préoccupation, Fan n’etait pas là, elle me manquait, j’en éprouvai de la colère, c’est tout de que je sais.

Faisant les 100 pas, je vis soudain de la fumée s’élevait du sol, le sol s’ouvrir, des pierres incandescentes en sortir, puis quand la fumée se fut dissipé, je put distinguer les contours d’une silouhette, elle me paraissait familière, mais en même temps, elle me paraissait si étrangère, je murmurai alors un Fa… Fan ?, c'est toi ?

Et éffectivement, c’était elle, elle avait tellement changé, son corps avait… mûri, elle avait désormais un corps de femme dont la nudité me mit mal a l’aise, j’envoyai un jeune acheter des vêtements pour elle, ceux que j’avais prévut étant trop courts, et nous restâment là, a nous éviter un peu l’un l’autre du regard, gênés, je me demandais pourquoi, je ne la voyais pourtant pas nue pour la premiere fois, mais cette fois-ci j’étais troublé.. Lorque le garçon revint et que je pus lui donner ses vêtements, nous fumes tout deux soulagés, et après s’être chacuns étonner de la nouvelle apparence de l’autre, nous partîment redécouvrir l’île sur laquelle nous avions tout deux vécus notre enfance à des époques differentes. Le trouble que je ressentais envers elle, je n’arrivai alors pas à l’expliquer, c’etait tellement étrange…

Je me decidai a ce moment-là de la presenter a mes amis, et a ma famille, je l’avais déja voulu avant, mais l’occasion ne s’était jamais vraiment présentée, j’aurais voulu leur présenter celle que je considerais comme ma fille à l’époque, mais je n’en ai pas eut l’occasion. Je tenais cette fois-ci une occasion, quand mes amis vinrent me rendre de nouveau visite, je la presentai à tous, mais je n’arrivai pas à la presenter comme ma fille, plus maintenant, je leur présentai donc ma protégée, ils l’accueillirent joyeusement, faisant abstraction de la couleur de ses ailes. J’en fus heureux, ainsi j’avais bien choisit mes amis, ils n’étaient pas comme les autres, pas de ceux qui se basent sur des à-prioris, mais qui jugent d’eux-même.

Fan faisais ainsi un peu parti de notre famille, elle qui nÂ’en avait jamais eu, jÂ’Ă©tais fou de joie, elle aimait mes amis, et eux lÂ’aimaient aussi, nous allions pouvoir vivre une belle vie ensemble, jÂ’avais encore tant Ă  lui apprendre. Oui, tantÂ…

*s’etend sur l’herbe proche de la plage, lève les yeux vers les étoiles* Tu aimes tant la nuit, à quoi peux-tu bien penser en les regardant les etoiles maintenant ? *soupire* *se perd dans la contemplation de ces lumières, et de la danse qu’elles se livrent*.

Ils ne nous sépareront pas (suite et fin)

Par Fanette le 2/2/2002 Ă  21:02:32 (#842499)

*La mer qui lèche cette plage, cette plage si remplie de doux souvenirs.... Reprend le fil de ses pensées*

Comme il était bon de ne plus être seule, d'avoir quelqu'un mes côtés... C'est étrange, je n'avais jamais envisagé d'être autrement que seule, et là, Forge marchait à mes côtés, partageait mes joies et mes chagrins, et j'aimais ça. Moi qui pensais n'aimer que la solitude ! *sourit avec tendresse*

Et puis un jour, non, pas un jour, il fesait nuit... les étoiles brillaient dans le ciel, un ciel si noir ! Une nuit comme je les aime... Il est venu vers moi, sur cette même plage, perdu dans ses pensées, des pensées si tristes... Je l'ai pris dans mes bras pour le consoler. Je lui ai déposé un léger bisou sur chacune de ses paupières mouillées... Il m'a serré dans ses bras, si fort... Je sentais peu à peu que sa peine s'en allait, et je sentai aussi... comme un trouble en lui que je ne savais apprécier. Alors... j'ai senti qu'il tremblait un peu en me carressant ma chevelure... Il m'a regardé, il avait un regard si différent... J'étais hypnotisée par son regard, émue, troublée à mon tour. Il a avancé ses lèvres des miennes doucement, puis brusquement c'est reculé, effrayé... Je ne comprenais pas pourquoi il me fuyais brusquement, j'en étais malheureuse... Alors je lui ai dit que je ne voulais pas qu'il me fuit, que j'avais confiance en lui, même si, comme il venait de me le dire, il n'avait pas confiance en lui. Je l'ai repris dans mes bras, et là... j'ai vu dans ses yeux qu'il en oubliait ses réticences. Quand il a posé ses lèvres sur les miennes, ses lèvres si chaudes, si douces... j'ai basculé dans un autre monde où il n'y avait plus que lui et moi et... mon amour pour lui et son amour pour moi... Je réalisais alors que je l'aimais, que je l'aimais d'amour, d'un amour pur. Je me suis donnée à lui sur cette plage, je lui ai donné mon coeur, mon corps, et tout mon amour... *ferme ses yeux, portée un instant par ses souvenirs brûlants, leurs corps, leurs coeurs ne fesant plus qu'un, rythmés au son de leur amour, de leurs désirs, de leur jouïssance, hors du temps et de l'espace*

Notre amour est si grand, comment aurions-nous pu le cacher ? Et puis, en avions-nous envie ? Je n'y voyais pas de mal, je trouvais mĂŞme qu'il Ă©tait naturel. Je ne voyais pas pourquoi et comment quelqu'un pourrait s'y opposer. Oh ! naĂŻve inconscience de l'amour !

Je ne me sentais pas en droit de le cacher à la famille qui m'avait si bien accueillie dans mon enfance, qui espérait sûrement qu'un jour j'en fasse parti. Mais le jeune mage n'était toujours pas là... Je ne savais même pas ce qui lui était advenu. Je ne pouvais l'annoncer à ses parents, eux non plus je ne les avais pas revus depuis si longtemps... Seul Maxx, son frère, était encore présent de temps en temps. Le coeur lourd, je suis allée au devant de lui pour lui dire que j'étais indigne de la confiance que lui et sa famille m'avaient accordée, que je me devais de rompre le contact... Mais il a su me comprendre, m'a dit que je n'écoutais que mon coeur et qu'il était heureux de me savoir heureuse. Mais il est vrai que je ne saurais guider mon coeur, il a choisi tout seul... Je lui suis gréé de m'avoir comprise, lui que j'ai toujours un peu considéré comme un frère... 2chauffée par cette chaleur fraternelle, je suis retournée près de Forge que j'avais du mal à quitter ne serais-ce que quelques heures, le coeur plus léger.

Un jour où nous venions d'unir à nouveau nos corps insatiables, j'ai alors sombré dans l'inconscience. Au fond de moi, un voile noir est venu envahir mon esprit vulnérable et endormi. J'ai senti une souffrance s'insinuer en moi, une souffrance aigüe, mais en même temps montait en moi un plaisir de sensualité sauvage... *tremble à cette pensée* Je souffrais et éprouvais un plaisir à cette souffrance, un plaisir qui en devenait... physique... J'allais m'y abandonner, soumise, quand, du fond de mon coeur est monté un nom, non un cri plutôt : FORGE. Alors mon esprit envoûté c'est mis à essayer de résister. Un combat qui semblait déjà perdu d'avance tant je sentais mon âme dominer... Mais j'ai entendu sa voix au loin qui m'appelait. Oh Forge, mon tendre amour... *sent des larmes perler à ses paupières* comme j'ai mal de me rappeler que j'ai failli m'abandonner à LUI, car c'est bien LUI qui voulait me posséder entièrement, IL ne pouvait accepter que mon coeur soit à un être de chair et de sang... IL voulait m'empêcher de t'aimer... Moi qui l'ai toujours pourtant fidèmement suivi, qui n'ai jamais failli... Tout est flou ensuite, tout ce que je sais, c'est que j'ai réussi à résister... mais il me reste un goût amer : j'ai quand même éprouvé un désir violent de m'abandonner à LUI et à la souffrance qu'IL me donnait et dont IL se servait pour nourrir mon plaisir *frissonne, rempli du dégoût d'elle même*. Non, jamais je n'aurais pu, non, je ne pouvais pas...je... Forge, mon bien aimé amant, je t'aime et je ne peux aimer que toi, je ne veux me donner qu'à toi... *sent ses larmes couler*.

Mais les épreuves ne sont pas finies... Il n'y a pas que LUI à se mettre entre nous. Comme nous aurions dû nous en douter, tous ses amis et toute sa famille ne pouvait accepter de savoir que nous nous aimions. Quand il l'a appris à sa famille, sa soeur qui est Garde Royale m'a soudain rappelé nos différences : "Tu sais que les Ogrimariens ne sont que tolérés sur les terres royales ?" Telles ont été ses paroles crachées en guise de félicitations. Que de froideur et de mépris dans sa voix, elle qui n'avait pourtant encore jamais abordé le sujet de nos différences ! Moi qui m'étais tue jusqu'alors dans un soucis de ne pas heurter ses vaines croyances, je me suis alors mise en colère. Non, jamais je ne permettrais qu'à demi-mots on cherche à me menacer et à m'éloigner de mon aimé... Ce Roy qui impose ses lois, qui se fait passer pour bienveillant alors qu'il n'est qu'intolérance, qui rejète certains membres de la population par peur, car oui, c'est bien la peur qui le guide quand il parle de nous chasser... Non, ce Roy n'est rien, ce Dieu qu'il dit servir n'est que mensonge et artifice, ils ne nous sépareront pas... ni à cause de ma foi ni à cause d'autre chose, non jamais...

Je l'aime d'un amour indéfectible. Quel que soit les obstacles, je les affronterais... Mon amour pour Forge n'a d'égal que ma haine en ceux qui se mettront sur notre chemin et que ma foi en LUI. Non, jamais ils n'y arriveront... ils ne nous sépareront pas.... *serre ses poingts à en faire blanchir ses phalanges*

*rigole*(pour ne pas dire *ricanne*)

Par Galadriel le 2/2/2002 Ă  21:44:50 (#842835)

Je me doutais bien....je savais en moi meme que j'aurai bel et bien droit a une partie de ce recit...je devrais m'en sentir fiere...
Ce que tu oublis de preciser chere future Belle-soeur...c'est bel et bien que au depart,je vous ai posé une simple question...une question toute bete a laquelle tu m'as repondu par l'enervement,par ta haine envers ceux que tu appelles les "suppots d'Artherk"...et oui...je me demandais en effet:
Imaginons,une attaque,oserais-je dire banale,au Chateau de Silver Sky...il en resulte l'interdiction a tout Ogrimarien de penetrer dans la ville Royale(cela c'est vu plus d'une fois),et bien...que dois-je faire???
Je te l'ai demandé,et te le redemande?Je vire mon frere et sa femme de la ville a grands coups de pompes oceanes???
Votre bonheur fait certes plaisir a voir,mais la septentrionelle phrase qui dit que l'amour rend aveugle prends une fois encore tout son sens...on pense a l'amour,mais on ne pense pas a ce qu'il y a autour,la mort,la peur,la terreur....quand vous vous reveillerez..il n'y aura plus de Dieu,de croyances,d'amour ou de quoi que se soit.....

souvenirs souvenirs...

Par Forge Evan le 3/2/2002 Ă  16:37:56 (#850429)

*se relève*
*regarde la mer calme une dernière fois*
Fan, il faut que je te voisÂ…
*ressent au fond de lui le lieu oĂą il pourra la trouver, sÂ’y dirige*
*laisse ses pensées vagabonder pendant le trajet qui l’attend*

Fanette, tu venais de rencontrer ma famille, elle t’avait accépté, mieux que je ne l’avais cru au premier abord. Nous avons continués à mener la meme vie qu’auparavant, la méfiance des autres vis a vis de tes ailes me faisait de la peine, j’essayais de t’apporter de plus en plus d’affection, d’amour, je ne voulais pas te savoir triste..

Puis un jour, ou plûtot une nuit, mon regard se perdit dans les étoiles et mes pensées se tournèrent vers la femme que j’aimais, que je croyais aimer, et qui m’avait rejetté, et inconsciemment mes pas m’avaient guidés à une plage que Fanette m’avait fait découvrir, assez en retrait. Je suis alors sorti de mes pensées, et me suis rendu compte que Fanette était là aussi, quand elle vit mon regard triste, elle voulut me consoler, comme avant, je la laissais m’enlacer, pleurai dans ses bras, puis une envie de l’embrasser monta en moi, j’allais y céder quand je me suis reculé, je ne pouvais pas, j’avais l’impression de céder par facilité, j’avais le visage de mon rejet devant les yeux, je croyais l’embrasser par procuration, et j’ai eu peur. Puis quand je me suis retourné vers elle, je l’ai vu, Fan, plus resplendissante que jamais, et j’ai alors su que je m’étais fourvoyé jusqu’à maintenant, je n’avais pas aimé celle qui m’avait rejetté, je m’étais convaincu que je l’aimais a cause d’un manque, un manque stupide, alors que celle que j’aimais était là, en face de moi.
L’amour que j’éprouvais pour elle etait si fort, qu’il en faisait presque mal, j’ai laissé mon amour guider mon corps, et je l’ai embrassé. Ensuite, ce qui s’est passé est flou dans mon esprit, l’instant était si intense, que je ne peux retranscrire ce que j’ai ressenti, nous nous sommes donnés l’un à l’autre, ce fut un moment de pure extase, où le temps et l’espace s’étaient arrétés autour de nous.

Nous nous sommes aimés longtemps puis, vaincus par la fatigue, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre, heureux.

Le réveil, je me souviens de son beau visage endormi, elle ne l’aimait pas, car elle le trouvait défiguré, mais moi, je l’avais toujours trouvé belle, je l’aimais, je l’aime, je l’aimerais, toujours… Je me souviens de la douceur de sa joue lorsque j’ai passé ma main dessus, de son refus de se reveiller, puis de son réveil, les yeux humides, me demandant d’une voix pleine d’espoir si nous l’avions vraiment fait, et de son regard se remplir de bonheur lorsqu’elle se rendit compte que oui. Nous étions si heureux, après tant de temps, je découvrais enfin l’amour, et elle aussi. La vie a continué, mais quelque chose avait changé, nous nous aimions, et chaque instant que je passais près d’elle me remplissait de joie.

Nous n’avions pas encore annoncé la nouvelle à ma famille, la peur qu’ils nous rejettent était trop forte, nous nous aimions, c’était l’essentiel, à quoi bon le crier à tous ?

Plus tard, un autre jour, alors que nous avions de nouveau goûté au bonheur dans les bras l’un de l’autre, nous nous sommes évanouis, dans mon inconscient, j’ai vu Fan se tordre de douleur, mais une autre émotion se lisait aussi sur son visage, comme du bonheur, mais elle souffrait, ça je le savais, d’une façon que je ne saurais expliquer, je me suis retrouvé près d’elle, près de son corps se tordant dans tout les sens, j’ai senti sa respiration haletante, et entendu ces mots sortir de ma bouche FAN, je l’ai vu revenir à elle au fur et à mesure, je l’ai senti lutter, et lui ai apporté le plus de soutient que je pouvais..

Une ombre est alors apparue derrière nous, c’était lui, il se tenait là, il nous dominait de toute sa hauteur, un sourire mauvais aux lèvres, de simples mortels avaient osés lui resister, il sortit une épée plus sombre que la nuit de son fourreau, et l’abbatit sur nous. Instinctivement, nous levâment le bras pour nous protéger, et l’incroyable se produisit, l’épée était bloquée à un pouce de nos bras, par un rai de lumiere, nous nous sommes peu à peu relevés, et avons repoussés son arme. Nous vîmment dans son visage de l’incrédulité, nous l’avions repoussé une deuxieme fois. Il devint fou de rage, et me mit à terre d’un revers de la main, il s’apprêtait à m’embrocher quand Fanette s’est interposée, elle l’a suppliée de m’épargner, de prendre sa vie à elle en echange, mais celà l’ennerva encore plus, elle etait prête a mourir à cause de l’amour qu’elle éprouvait pour moi, il leva son épée, s’apprêtant à la tuer. Dans mes dernières forces, je réussis a me relever et à pousser Fanette à fin de prendre sa place. Je ne sais pas comment, mais un bouclier de lumière apparu à mon bras, et me permit de bloquer temporairement son attaque, il me fit mettre un genou à terre, puis se tourna vers Fanette, ui demandant comment elle pouvait préférer un simple mortel comme moi quand un dieu s’offrait à elle. Il jouait littéralement avec moi, il aurait pu m’achever à tout moment, mais il voulait lui montrer à quel point il etait puissant, il me fit plier au fur et à mesure, prenant plaisir à voir le visage de Fan déformé par la souffrance et la peur. Il continuait pendant ce temps à lui parler, il essayait de la convaincre de venir à lui, qu’il était prêt à m’épargner si elle le faisait. Je la vis sur le point de flancher, elle m’aimait trop pour pouvoir me laisser mourir, à ce moment, je ressentis comme auparavant, une vague d’amour monter en moi, venu galvaniser mes forces, et petit à petit, je parvins à me remettre debout, sous le regard aggacé de Ogrimar.

Pour la troisième fois nous lui résistions, s’en était trop, il s’etait montré trop tolérent, et il se preparait à nous detruire en déversant sur nous sa puissance brute, quant intervint une autre personne, elle était auréolée de blanc, et lui demandai d’arrêter, que nous avions surmontés assez d’épreuves, qu’il nous re-testerait plus tard s'il le voulait, mais qu’il devait nous laisser partir. Ogrimar baissa alors les bras, et chose étrange, il admit que c’était vrai, il disparut, l’autre personnage aussi, nous laissant seul dans le néant..

Le néant fit peu à peu place à la lumière du jour, et je commençais à reprendre conscience, toutes traces de ce qui venait de se passer ayant disparu de ma conscience. Fanette finit par se réveiller quelques temps après moi, et ne se souvenait de rien non plus, c’est bien plus tard, que par flash, je revis quelques scènes, pour finalement reconstituer ce qui c’était passé, mais certains passages sont encore obscurs. Lui en ayant reparlé, Fanette fut troublée, un flash la traversa aussi, elle en fut fort troublée, et nous pleurâment ensemble, dans les bras l’un de l’autre, longtemps, puis nous nous endormîmes, toujours enlacés.
Ainsi IL avait éssayé de nous separer, nous avions reussit a lui resister, du moins pour le moment car comme le laissait presager ses paroles, il reviendrait de nouveau…

Le temps passa et notre amour ne cessait de s'amplifier, nous avons alors décidé de l’annoncer officiellement à ma famille, bien que certains membres s’en doutaient déjà, la plupart réagirent bien, ma sœur Oreade étant la plus heureuse à cette idée, mais d’autres… Alors que jusqu'à maintenant, elle avait accepté Fan, malgré leurs ideaux totalement opposés, ma seconde sœur, Galadriel, garde royale, suivant aveuglement les lois du roy, me deçut énormement, pour seuls vœux de bonheur, nous reçûment un avertissement, je vous rappelle que les ogrimariens ne sont pas les bienvenus dans les villes royales, voici l’encouragement qu’elle nous transmis.

Ainsi, elle n’approuvait pas notre union, que m’en importe, j’aime Fan, et ce ne sont pas des lois qui nous sépareront, si sa présence n’est pas souhaitée en terres royales, la mienne ne le sera pas non plus. Je n’accepterai pas d’être séparé d’elle. Elle m’a deçu, oui énormement, je ne m’attendais pas à ce qu’elle reagisse comme cela, au lieu d’être heureuse pour nous, ses mots firent comme un verre d’eau à la figure. Mais je ne désespere pas qu’elle accepte notre union, cela serait tellement mieux…

*se rend compte que sa destination est atteinte*
*voit une personne assise regardant les flots déchainés*

*murmurant pour lui mĂŞme*

FanÂ…
Cette mer te ressemble tellement, forte, violente, impulsiveÂ…
Je tÂ’aime FanÂ… je tÂ’aime tant, rien ne nous separera jamais, je le jure.


*sÂ’approche doucement de Fan*
*s’assoie à côté d’elle, sans dire mot*
*passe un bras autour dÂ’elle*
*la laisse poser sa tête sur son épaule, sans avoir toujours échangé le moindre mot*
*voit la mer perdre de sa fureur, se calmer progressivement sans toutefois devenir totalement calme*
*dépose un baiser sur le front de Fan*

*laisse son regard se perdre dans la contemplation de la mer, son amour à ses côtés*
*heureux*

Par Oreade le 3/2/2002 Ă  21:03:23 (#852488)

"Allongée au pied d'un arbre, se perd dans ses pensées en se remémorant sa première rencontre avec Fanette..."

Cette jeune fille si discrète, qui ne me parlait guère lors de nos premières rencontres, pourtant si rares.
Je me souviens parfaitement d'elle, qui Ă©tait alors assez jeune.
Elle semblait totalement fuir la compagnie des Hommes ; Malgrè l'infinie douceur qui émanait d'elle, une profonde révolte contre le monde entier semblait étouffer son coeur qui avait très certainement subi d'intenses souffrances...
Je ne la voyais que très rarement, pourtant j'avais le sentiment de la connaître plus que réellement : mon frère me parlait souvent d'elle, avec toujours une tendresse certaine dans la voix pour celle qu'il considérait comme sa fille.

Ce fut alors difficile de ne pas être surpris lorsque l'on apprit pour quel Dieu la jeune Fanette voulait se dévouer. Malgrè tout, elle savait pertinemment ce qu'elle voulait et rien ne put l'empêcher de se consacrer, un beau jour, à la longue et difficile quête que son dieu lui imposait.

L'affection que Forge éprouvait envers Fan se transformait peu à peu, celle ci les rapprochait de jour en jour, unissant deux personnes qui se complètaient et s'enrichissaient mutuellement.
Ils semblent tous les deux avoir mis du temps à comprendre que désormais plus rien ne pourrait les séparer, que leurs sentiments ne se limitaient pas à de l'affection. Pourtant, le soleil a tout de même fini par illuminer leurs coeurs afin de leur dévoiler cette passion naissante.

Pourquoi condamnerions-nous cette si pure alliance?

L'Amour est plus puissant que n'importe quelle croyance ou théorie et ces deux êtres ont, comme n'importe qui d'autre, le droit de s'aimer.

Forge, Fanette, je vous souhaite tout le bonheur que vous méritez après tant de déceptions et de douleur. N'écoutez que votre coeur et ignorez les médisances...


***************************************************

;) :amour:

Par Leirae Dynair- le 3/2/2002 Ă  22:53:04 (#853422)

[Leirae]


Mon sommeil agité .... m'etreint ... comme d'habitude ... ça ne me reveille meme plus ...
Mais cette fois ci ... je vois une drole d'histoire ...
Une histoire d'amour ... entre un seraphin et une nephilim ...
Mais l'ombre d'Ogrimar plane sur cet amour ... comme elle plane sur ma vie ...
Ainsi je vois ... toute leur histoire ... qui peu a peu Ă©volue ... comme leur relation ...
Quand vint le moment ou Ogrimar vient .... pour tout balayer ...
Balayer cet amour .... donc la seule prononciation le fait frémir ...
Alors de cet amour ... les etres en tirent leurs forces ...
Et réussissent a résister ...
Je me demande si ... si je suis la seule a avoir echouer mon combat ...
Pourquoi moi .... pourquoi ai je echouer ...
Ma soeur a réussit ... cette nephilim a réussit ...
Et moi ... j'ai echoué ....
Pourquoi?
La raison .... est en faite des plus simples ...
Ogrimar m'as attaqué lorsque j'étais seule ....
Personne n'est venu .... m'aider ... m'aimer ...
Ni ma soeur .... ni mes soeurs ... ni mes freres ... ni mes amis ...
Je l'ai affontée seule ... et me voila sous son emprise ...
Je comprends a present ... mais bien trop tard comment le vaicre lorsqu'il veut nous controler ...
Trop tard ....
Trop tard ...
Trop tard ...
Alors me voila ... vide de tout ... n'esperant plus rien ...
A part la mort ...

*se rappel des souvenirs*

Par Eagle Kayin le 3/2/2002 Ă  23:03:56 (#853519)

Fanette, Forge... Je ne sais que trop bien comme les moments que vous êtes entrain de vivre sont dur, ayant moi-même passé par la... *se rappel ses douloureux souvenirs avec Clara*

Mais rien de ce qui risque de vous arrivez ne doit entraver l'amour que vous vous portez l'un Ă  l'autre !
Vos amis et les membres vos familles, enfin j'espere pour la famille du moins, seront toujours la pour vous soutenir dans les moments les plus durs.

Et puis sachez qu'il n'y a rien de plus précieux que la famille, même les belles soeurs ! *frappe dans le dos de Gala* Pas vrai Gala ? :D

Rien au monde ne pourra arreter votre amour ! MĂŞme les dieux !

Bon... alors le mariage c'est pour quand ? :cool:

*retourne hèrer à la rechercher de lui-même*

Par Fanette le 3/2/2002 Ă  23:14:00 (#853619)

*Croit entendre parler derrière elle, ne se retourne pas, trop de haine en elle pour répondre. Ne veux pas dire des mots qu'elle pourrait peut-être regretter sous le coup de la colère. Elle sait qu'elle a toujours du mal à se contrôler dans de tels moments*
*Entend un pas léger qu'elle reconnaît bien derrière elle. Ne se retourne pas, sait qu'il va venir près d'elle*
*Sent son bras enserrer sa taille, laisse aller sa tĂŞte sur son Ă©paule*
*Reste longtemps très longtemps près de lui, sans rien dire, les yeux observant les mouvances de la houle.*
*Sent la haine la quitter, peu à peu. Au contact de son bien aimé, elle sent le calme s'installer de nouveau en elle*

*murmure* Oh Forge, mon amour... comme ta présence me fait du bien, comme tu me manques tant quand tu n'es pas près de moi, comme je me sens désemparée sans toi....

*Sans son amant resserrer son Ă©treinte. Sourire d'aise*

*Se rappelle soudain avoir entendu la voix de Galadriel, la sÂśur de Forge lui parler. S'Ă©tonne*
Aurais-je pensé à voix haute sans m'en apercevoir ? Oh, je suis si... perturbée...

*Se retourne, aperçoit Galadriel en retrait.*

*Voix haute et triste*
Gala, toi qui m'avais si bien accueillie, toi qui avait su répondre à mes questions qui me tracassaient tant, toi que j'estimais, pourquoi être si dure avec moi ? Pourquoi ne m'aimes-tu pas ? Que t'ai-je fait qui puisse te blesser ? Oh oui, j'ai eu des paroles blessantes quand tu m'as laissé supposer que tu voulais nous séparer, moi et Forge... Mais comment pourrais-je accepter cette idée ? Tu me parles de raison, mais n'as-tu donc point de coeur ? Ne comprends-tu pas que tes paroles ne peuvent que nous toucher comme un coup de poignard ? Ne comprends-tu pas comme nous nous aimons ?

*Se retourne vers Forge, les yeux remplis d'amour, espérant que sa soeur reviendrait sur ses durs propos*
*Lui murmure en le regardant tendrement* Ils ne peuvent pas nous séparer mon adoré, notre amour est trop grand...

Par septimus le 3/2/2002 Ă  23:14:58 (#853627)

*rappelera juste à Gala que les ogrimariens sont autorisés dans Goldmonn, ce sont les haruspisciens qui ne le sont pas il parait*

Bonne chance Ă  votre Amour, il parait qu'il gagne toujours.

*repart chez lui amer, espérant se convaincre lui même*

pensées vers une inconnue

Par Forge Evan le 4/2/2002 Ă  17:14:26 (#858370)

*Au pres de sa bien aimée, sent comme une presence*
Une personne triste, un sentiment de douleur me traverseÂ…
Qui est donc cette personne pour que son chagrin me touche ainsi ?
Je sensÂ… quÂ’elle nÂ’a pas eu autant de chance que nous.
Ogrimar…encore lui, l’a attaqué lorsqu’elle était faible, vulnérable, tout comme Fanette, mais elle… etait seule, elle n’a pas… reussit a lui resister…
Je nÂ’ose imaginer ce que jÂ’aurai put faire si FanÂ…
Quelle tristesse, elle en est presque palpable
J’ai l’impression qu’elle a renoncé à tout, même à l’amour qu’elle éprouvait
pourtant tout nÂ’es pas perdu, pas encore, tant quÂ’elle se rappelle ce que veut dire aimer, elle peut encore reussir...
JÂ’aimerai tellement lui dire, mais je ne la connais pas, comment ce fait il que je ressente ses emotions comme cela ?
Je ne comprends pas, jÂ’aimerai lui faire compendre que tant quÂ’elle est en vie, elle peut encore changer les choses, mais je ne peux pas, je ne peux pasÂ…
Elle recherche la mort, pourtant lorquÂ’elle lÂ’atteindra, elle aura perdu, la bataille se deroule encore, il faut quÂ’elle puise dans les traces dÂ’amour quÂ’il lui reste pour trouver la force de se battre, elleÂ… peut encore reussir, oui, elle le peutÂ…
Si elle arrive à ressentir mes sentiments comme je ressens sa peine, sa douleur, j’espere qu’elle ne prendra pas ma compassion pour de la pitié, mais pour ce qu’elle est, une preuve que rien n’ai jamais perdu, que l’espoir et l’amour existe encore, meme quand tout pousse à penser l’inverse…


*Sent une presence plus materielle cette fois, celle ci le fait sortir de ses pensées*
*Se retourne*

Gala ma sÂśur, que fais tu ici ?
JeÂ… cela fait il longtemps que tu es lĂ  ?
*croise son regard, plein de reproches*
QuÂ’y a tÂ’il Gala ? Tu veux nousÂ… parler ?
*sÂ’attend au pire*

Par Leirae Dynair- le 4/2/2002 Ă  17:53:53 (#858675)

[Leirae]



Alors que mes cauchemars s'éstompent peu a peu , je sens des sentiments , cherchant destination précise ...
Je suis d'autant plus étonnée que c'en ai moi la cible ...
Ainsi je perçois qques fragments de pensées , comme si l'homme de l'histoire m'avait entendut et voulait me répondre ...

Après avoir analyser ses pensées ...
Je me parle a moi meme , esperant que cela lui parviendrat ....


Je suis a present un atre pour Ogrimar ... ou mon coeur est embroché au dessus des flammes ...
Flammes qui le léchent ... le détruisant petit a petit ...
D'espoir ... je n'en ai que peu ... je ne sais toujours pas ce qui me retient ...
Pour ce qui est de l'amour .... de l'espoir ... il n'en existe réellement plus en moi ...
Ogrimar m'as détruit oui ...
Mais j'ai une grande satisfaction ...
De part la souffrance que je lis en ceux que je croise , ou ceux qui sont malheureux ... ou perdus ....
Je les aide .... et cela grace a Ogrimar ... a ce don ...


Ce don que je paie de ma vie ... de mon coeur ... de mon ame ...
De mon existence ...

Par Anony le 4/2/2002 Ă  20:40:32 (#860168)

L’amour, le désir, l’attachement………..Sornettes ! Celà ne peut apporter que la tristesse avec le temps *parle en connaissances de cause*

Oui j ai aimé, j ai adoré, j ai protégé et que cela m’a t-il apporté ?
Et bien un….cœur bris酅Une haine survoltée…Une envie de vengeance !!!!!:enerve:

Me voilà revenu comme dans mon enfance…abandonné….plus de famille….un être errant, solitaire, ne vivant qu’avec son instinct.

Soyez heureux et profitez en pendant que vous le pouvez *sourit*

*ricanne*

Par Galadriel le 4/2/2002 Ă  21:40:20 (#860603)

Alors lĂ  Fanette j'aurai tout entendu...et toi apparement tu n'entends rien...du moins,tu entends seulement ce que tu veux bien entendre...
J'ai posé une simple question au depart...oui...il est possible,par un concours de circonstance,qui peut,comme ne peut pas arrivé,que j'ai a te chasser de la ville aux cieux d'argents,donc,te chasser toi,impliquerait forcement mon propre frere....quite a cette simple question...c'est toi,toi uniquement qui a commencé a t'enervé,a montrer ta haine(oui oui Baron),a clamer haut et forts tes vrais sentiments...je n'ai rien dit de mal,j'ai juste parlé de cette eventualité...vous m'avez presque rit au nez,puis s'en est suivi,la pathetique complainte de l'Ogrimarienne martyr qui ne veut de mal a personne,qui se sent rejetée....tu m'a agressée alorq que je posais une simple question....tu as insulté le Dieu que je sert et le Roy que je defends...tu t'es permise de me trainer dans la boue a cause d'une question somme toute banale....
Je vais meme te dire une chose,mon ami Tigerius pourra te repondre,je lui ai egalement posé cette meme question a propos de sa femme Sylve...nous nous sommes disputés,mais il a fini par comprendre,et moi aussi d'ailleurs..mais en aucun cas,en aucun,sa femme qui est mon amie n'a osé m'insulter moi,ainsi que les ideaux que je defendais....

pourquoi ĂŞtre si dure avec moi ? Pourquoi ne m'aimes-tu pas ?

Mais,je repete inlassablement,je n'ai posé qu'une simple et bete,je dirais meme idiote,question,tu n'as su me repondre que par la haine et le mepris alors que je ne demandait qu'une simple reponse...



Oh oui, j'ai eu des paroles blessantes quand tu m'as laissé supposer que tu voulais nous séparer, moi et Forge...

Je n'ai jamais dis cela,tu l'as peut etre ressenti,mais en cas je ne l'ai pensé,j'ai souvent discuté avec mon frere,de ses choix,des miens,nous nous sommes plusieurs fois disputé,mais jamais,au grand jamais,je lui ai demandé ou commandé de faire quoi que se soit....

Tu me parles de raison, mais n'as-tu donc point de coeur ? Ne comprends-tu pas que tes paroles ne peuvent que nous toucher comme un coup de poignard ?

Au que si jeune belle soeur,mais coeur c'est emballé a la vue de quelqu'un bien avant le tien,cependant,je rejoins les paroles de mon ami Anony,j'ai trop vu ce que la perte d'un etre cher signifiat,les coups de poignards dont tu parles m'ont transpercés bien avant que l'amour qui t'habite....je parle en connaissance de cause,vous parlez amour,joie et bonheur,mais oui,vous oubliez tout le reste,tout ce qui en resulte.....

Notre amour est trop grand

Oui,bien trop grand,vous verrez,quand le jour viendra ou vous souffrez de l'amour...je ne souhaite cela a personne...a personne,meme a mon pire ennemi je ne lui souhaite....



Septi,je confirme qu'en certains cas,assez exptionnel mais pas non plus rarrissime,les Ogrimariens sont interdits sur les terres royales....

*troublé par les pensées d'une inconnue*

Par Forge Evan le 4/2/2002 Ă  22:24:11 (#861040)

Alors que je m’apprette à converser avec ma sœur, je ressens de nouveau une douleur, empreignée de peine, de chagrin.
CÂ’est encore elle, mon message lui est donc parvenu je ne sais trop comment, elle essaie de mÂ’expliquer sa souffrance, Ogrimar, il la tient en son pouvoir, elle ne peut plus lutter, nÂ’en a plus lÂ’envie, elle se dit que sa souffrance aide les autres, mais comment souffrir pourrait il aider quelquÂ’un ?
Tirer son bonheur de la soufrance dÂ’un autre, qui pourrait sÂ’en vanter ?
Il lui reste apparement quelques parcelles dÂ’espoir, je ne peux quÂ’esperer quÂ’elle puisse sÂ’en sortir.
Je me sens etrangement triste, pourtan je ne connais pas cette personne, du moins je le crois, comment peut elle faire preuve d’autant d’abnégation, elle, une nepfhilim, je les ai toujours crut égoiste, attiré par leur propre confort, sauf ma douce bien sur, je ne pensais pas que d’autres l’etaient aussi.
Tant de peine, tant de souffrance, tout cela pour aider dÂ’autres gens, je ne sais pas si jÂ’en serai capable, jÂ’aimerai tant alleger son fardeau, elle ne merite pas de tant souffrir, elle arrive apparement a ressentir ce que je ressens en ce moment, jÂ’espere quÂ’elle pourra aussi ressentir lÂ’amour que je lui porte, que je porte Ă  tout ceux qui cherche Ă  aider les autres, Oh oui, je lÂ’espereÂ…
Elle en a tant besoinÂ…
Elle le merite tantÂ…
*entend une voix lui faire reprendre conscience quÂ’il nÂ’est pas seul*
*une voix familiere, mais pourtant chargée d’une violence qu’il ne lui connaît pas*
*emerge doucement*


Gala, ne t’enerve pas, fan, toi et moi avons tous nos torts, cessons de nous disputer, et reprenons calmement, oublions les paroles échangées, les mots qui ont dépassés les pensées, oui, oublions les…
Je vous aime toute les 2, je ne veux pas que vous soyez triste ou malheureuse par ma fauteÂ…
Je vous en prie, toute les deux, calmons nous, nous pouvons encore eviter d'avoir de lourds remords si nous discutons calmement des maintenant *repense aus paroles de lÂ’inconue* nous avons la chance de pouvoir encore eprouver de lÂ’amour nous... tout le monde nÂ’a pas cette chanceÂ… *se dit quÂ’elles ne vont pas comprendre ces paroles*
Croyez moi, nous sommes encore loin du point de non retour, tout cela peut encoe se regler calmement
Quand Ă  l'amour que nous eprouvons, je sais d'avance que mĂŞme la mort ne nous separera pas, notre amour lui survivra, oui il lui survivra...
*Invite gala Ă  sÂ’asseoir, espere quÂ’elle va le faire*


Mode rp off: tu sais Gala, je trouve que les quote, c'est po top qd on parle rp, ya d'autres façons de citer les gens que le quotes...

oui oui....

Par Galadriel le 5/2/2002 Ă  17:32:59 (#866310)

Oui...C'est sans doute la meilleure solution...c'est meme ce que je comptais faire depuis le debut mais.....
s'assoie finalement a la table



oui je sais bien,c'est bien pour ça que je les ai mis qu'a la fin...d'un autre coté,plutot que de faire:comme tu as deja dis 25 fois..ça appui bien sur la phrase reprochée....

Par Fanette le 5/2/2002 Ă  18:58:50 (#866949)

*S'assoie en face de Galadriel*

Mais quoi Gala ?

A une femme qui t'annonce qu'elle est enceinte, tu vas lui dire, au lieu des félicitations d'usage : "Vous savez que vous pouvez accoucher d'un enfant mort-né ? Et en cas de naissance difficile, faudra-t-il sauver vous où l'enfant" ? Si c'est celà, plus aucune femme ne voudront enfanter ! Pourquoi gacher la joie des gens heureux ?

Je sais que l'amour peut faire souffrir, mais quand il est très fort, il vaut la peine d'être vécu pleinement, il sera toujours temps de pleurer si un jour il y a matière. En attendant, je ne vois pas pourquoi essayer de nous gacher notre bonheur par des mises en garde, et en nous disant : le pire peut arriver, donc vous ne devez pas vous aimer. Ce n'est pas la peine d'anticiper ce qui n'arrivera probablement jamais.

Oh ! Comme tu as dû souffrir Gala pour arriver à te dire qu'il vaut mieux ne pas aimer pour ne pas avoir à en souffrir un jour ! Comme ces blessures doivent encore êtres présentes pour qu'elles te rendent si amère !

Gala, permet-nous de nous aimer. Si on doit être malheureux un jour, celà est notre affaire. Mais ça ne me fera pas regretter d'avoir vécu ces moments de bonheur. Ils valent vraiment le coup de prendre des risque. On ne passera pas à côté, et quel que soit tes ressentiments, nous continuerons à nous aimer.

Par Leirae Dynair- le 5/2/2002 Ă  19:48:40 (#867354)

[Leirae]


Toujours cette nuit .... elle en a l'air infinie tellement je vois de choses ...
Quand soudain , je vois au loin dans mon esprit un voile bleanc .... très pur ...
Sa clareté m'éclaire ...
Une onde d'amour s'en dégage ...
Mais avant meme d'arriver a mes pieds ...
L'onde ainsi que le beau voile s'Ă©crasent sur une barriere de feu ...
Ma souffrance l'as stopé net ... détruit meme ...
Ce voile noir , qui represnete ma souffrance ....
Je lui envoie .... mais je le fais seulement apparaitre a ses yeux pour qu'il contemple ...
Qu'il comprenne ...
Ce que j'ai en moi ...
Ainsi je fais vite disparaitre ce voile car il en serait malalaise ...

Par Arak le Grand le 7/3/2002 Ă  0:25:39 (#1076373)

*Reviens d'un voyage qu'il a cru sans fin*
*se fait aborder par une fière jeune femme, qu'il a du mal à reconnaitre*

Fanette ! Comme il est bon de revoir un visage familier....

C'est alors que par une belle soirée, Fanette lui raconte toute l'histoire. Celle-ci ressemble terriblement à la sienne .... Fleur .... que de souvenirs troublants.
Mais Arak est heureux, heureux pour son amie, qui a enfin trouvé un amour vrai, même s'il dérange. Seul le bonheur, qu'il voit sur son visage de jeune femme, suffit à montrer que rien ne pourra les séparer.

Après une longue discution, Arak, harassé par un voyage des plus long, retourne chez lui, chose qu'il n'a pas fait depuis fort longtemps. Ne faisant aucun bruit, il cherche du regard une personne ....

hhmm....

Par Galadriel le 7/3/2002 Ă  2:01:37 (#1076528)

Vous avez beau jeu de me donner des conseils,vous qui prenez sans aucun doute plaisr a me rappeller combien vous avez foi en Ogrimar.
A constemment me reprocher d'etre sans coeur....nous verons ben....bientot nous verrons.....beaucoup plus tot que vous ne le voudriez il me semble....

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