Faiblesse cachée...

Par Umbra Altur le 31/1/2002 à 23:08:02 (#828626)

C'est une pièce de taille comparable à celle d'une chambre au château du Roy, carré et bien remplie. Des armes sont entreposées là, sur les murs, au plafond et même à terre, des armures aussi, l'on aurait pu croire à une réserve d'armement. C'était simplement les économies de toute une vie...

La porte, dont les gonds sont depuis longtemps rouillés, s'ouvre brusquement et laisse entrer un homme de haute stature, ses ailes repliées dans son dos pour le laisser entrer. Il s'avance vers un bureau, avise un encrier et une plume posés là et se perd en réflexions. Après quelques instants, la sombre silhouette se saisit d'une plume et la trempe dans l'encrier, il applique alors délicatement la base de la plume sur la feuille, et commence à rédiger un message à l'attention du Juge d'Arakas.


Avant même qu'il n'ai pu se relever, le surnommé Umbra Altur savait déjà le sort qui l'attendait, Aguellaus était venu pour lui, un dernier avertissement à son "pantin déréglé". Brandissant fièrement une pierre verte émanant une étrange aura de pureté, il tint le séraphin en respect, ce dernier lui susurra milles excuses durant sa torture, mais il fallait qu'il comprenne. Cela dura un long moment, à son réveil, il se sentait vidé de toutes forces, l'Ombre était partie et il devait se hâter de mener à bien sa mission, auquel cas Aguellaus se chargerait de lui.

Reprenant le chemin de SilverSky, l'ailé, bien qu'ayant perdu son arme, se prépare à rencontrer les deux personnes promises, lui-même.

Par Caolie le 1/2/2002 à 1:36:52 (#829787)

:lit:

:)

*laisse Umbra continuer son histoire* :chut:

Par Muabdib Serra le 1/2/2002 à 11:03:34 (#830334)

Sortant de son bureau, pour rappeller certaines choses au Mage royal et au Chevalier, Muabdib constata qu'un corbeau gisé devant la porte

S'appretant à l'enjamber, il vit que l'animal semblait tenir un orceau de velin entre ses pattes

Détachant le papier, il commenca à lire

ainsi il tient sa parole

Quel ne fut pas sa deception en s'appercevant qu'au bout de quelques lignes le velin était illisible, l'ecriture était brouillée et recouverte de taches de sang

Enfouissant le parchemin dans sa poche, il repartit vers le chateau, l'air soucieux