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Pourriez vous donner un avis sur...

Par Gael de Loublac le 12/12/2001 à 19:48:06 (#538513)

Voici un début de texte sur lequel je travaille, pour moi c'est une première. Ce récit est basé sur un cauchemard que j'ais fait cette nuit, c'est la deuxième fois que je le faisais. Bien sur je l'ais un peu transformer.
Donc ce qui suit ceux sont les deux premiers chapitres, pouvez vous me donner votre avis dessus puisque je suis nb en écriture. Si ca plait je donnerais la suite quand elle sera écrite.

LA FRONTIERE

Chap. I. L’accident


NEANT...
Le noir... un bruit au loin, un appel, s’il y a quelqu’un de vivant demande la voix ? Je ne sais pas. Des lumières transparaissent, la voix se fait plus puissante, plus proche, toujours la même question, savoir s’il y a quelqu’un de vivant là-dedans. Mes yeux s’ouvrent, un mal de tête l’accompagne aussitôt, je fais signe au policier que pour moi tout va bien. Je regarde alentour, je suis dans une forêt, j’ais quitté, la route pour quelle raison, je ne sais pas. Une femme est à mes côtés. Le policier ouvre la porte : “ Tout va bien là-dedans ?”. Un acquiescement de ma part et un mouvement de la main de la femme à mes côtés semblent lui suffire. Il nous demande de descendre, ce que nous faisons aussitôt, enfin aussi rapidement que nos jambes flageolantes le permettent. Au moins la voiture n’a pas subit de dégâts, on est sortie de la route dans la seule clairière de toute cette fichue forêt. Tient d’ailleurs où on est? quelle forêt est-ce ? Le policier nous demande nos papiers. Je me rends compte que je me nomme Jack Blagger et que la femme m’accompagnant est ma femme, Julie de son prénom, que j’ais une fille de 11 ans se nommant Océane, que je suis flic, pourtant.... tout ça me semble faux. Une faible partie de moi me somme de fuir, qu’il y a danger. Je mets à l’écart cette voix et tache de répondre le mieux que je peux à mon collègues. Non je ne me rappelle pas ce que l’on faisait sur cette route, non je ne me rappelle pas pourquoi nous avons eu un accident,
[Chéri non, laisse moi sortir, nous n’avons pas le droit...]
non je ne me rappelle pas que la Frontière est interdite d’accès,
[Rentrer dans la Frontières est interdite et dangereuse... ]
tout compte fais ça me revient, oui c’est interdit d’y rentrer, non je ne sais pas pourquoi j’y ais pénétré,... .
J’accepte le fait d’être reconduit en ville, mon collègue me dit qu’il me fait sauter l’amende que j’aurais du avoir. Il me demande aussi pourquoi on ne s’est jamais rencontrer au boulot, et blablabla.
Ma femme préfère rentrer dans la voiture du policier, me laissant seul à les suivre.



Chap. II. On Roule


ON roule...
Bizarre, j’ais l’impression que l’on roule depuis plusieurs minutes pourtant à ma montre il ne s’est écoulé qu’une minute, de même pour le kilométrage, j’ais l’impression que l’on a parcouru une quinzaine de kilomètre, on en a fais qu’un seul.
On roule...
Je viens de nouveau de regarder ma montre, elle s’est arrêtée, le compteur de kilométrage aussi, bizarre, c’est comme si je m’y été attendu.
Jack Baggler, jack Baggler, Jack Baggler, décidément ce nom sonne faux. D’ailleurs Julie et Océanne Baggler sonnent aussi faux.
[Fais moi confiance! j’essaye de sauver nos vies...]
Cette ville, c’est quoi déjà son nom ?... hum... on a toujours dit “la ville”. Pourtant j’ais l’impression d’avoir toujours appartenu à cette “ville”, j’y ais fait des rondes, empêchant des intrusions illégales dans la Frontières... Frontières ? mais une frontière délimite quelque chose... elle délimite la ville. Pourquoi ais je voulu m’y aventurer illégalement alors, ammenant ma femme mais délaissant ma fille ?
[Océanne, où es tu Océanne, papa veut te dire quelque chose. -Oui papa ?...]
Oublions ça, ça doit venir du choc du à l’accident.
On roule...
Comment a t-on quitté la route ? hum...
[Lâche ce volant de suite ou sinon on va avo... ah! noooooonnnnnn!......]
Tout s’embrouille dans ma tête, que s’est-il passé depuis ces dernière heures ?
Je ne me rappelle plus, pourtant je sens les souvenirs juste là, prêt à sortir.
La montre, le compteur, toujours bloqués, cela commence à me gêner, je ne vois pas pourquoi mais ça commence à me gêner.
On roule...

Par Fighter le 12/12/2001 à 19:52:17 (#538539)

ton texte est bon, mais aucun rapport avec t4c :)
les textes qu'on ecrit ici sont tous d'heroic fantasy avec un rapport plus ou moin direct avec le jeu ou le BG des personnages ;) ou alors ce sont des textes humoristiques :)
sinon tres bon

Par Gael de Loublac le 12/12/2001 à 20:22:23 (#538764)

Oui, autant pour moi, désolé (pourtant ca fait longtemps que je viens ici, enfin pas sous ce pseudo). Mais je souhaitais avoir un avis sur le texte. Merci du compliment Fighter.

Par Ostrane le 12/12/2001 à 21:24:30 (#539237)

Très très bon, sincèrement. On est immédiatement plongé dans l'atmosphère et ton style se marie bien avec l'intrigue de ton histoire. Une simple deception, celle ne pas avoir le troisème chapitre sous les yeux :)

j'avoue....

Par GeoLandis le 12/12/2001 à 21:45:11 (#539383)

j'avoue que ca se laisse lire, c'est pas un texte lourd et ca met direct dans l'ambiance.
J'attends aussi le 3eme chapitre.

Moi aussi j'ai une histoire "non-T4C" en cours depuis 1 an.......les idees sont toujours là, j'attendrais "la flamme" pour la remettre en cisrculation :)

A Pluche!©

Ah ?

Par Melchior le 12/12/2001 à 22:00:39 (#539501)

Ne nous fais pas trop languir Geo ;)

PS : A quand la suite Gael ? :)

bah...

Par GeoLandis le 12/12/2001 à 22:03:29 (#539524)

c'est du fantastique et c'est dur de faire un ecrit assez serieux si tu fais pas de documentation avant...j'ai un grand science et vie a lire avant de continuer :)

mais je dois avoir un .doc dans un coin :p :rolleyes:

A Pluche!©

Par Gael de Loublac le 13/12/2001 à 12:40:27 (#542334)

Si je peux, ce soir la suite mais je ne voudrais pas trop déranger avec ce post non t4c.

Par Gael de Loublac le 13/12/2001 à 20:33:32 (#545334)

Désolé Fighter mais on m'a demandé une suite. Je ne pense pas qu'elle soit aussi bien que le début mais bon aujourd'hui moins bonne journée. Je l'ais écrite tant que j'ais encore les images de mon cauchemard en tête. Je la retravaillerais ensuite. Voici donc deux chapitres de plus. Presque la fin. Je pense connaître à l'avance une partie de vos critiques : un peu de longueur, dans mon rêve ca n'y était pas mais j'essaye de retransmettre le doute de Jack.

Chap. III. Réflexion


BIZARRE...
Les kilomètres passent, l’heure tourne pourtant aucun changement dans mes indicatifs sur ces mesures.
Océanne... mes pensées reviennent toujours à elle, c’est ma fille, mes souvenirs sur elle sont revenus, la première fois qu’elle a marché, ses anniversaires, son entrée à l’école... l’école,... un terrible frisson me parcours le corps à cette allusion de ce lieu public. D’ailleurs, le fait de penser à quelconque gamin me donne la chair de poule. Pourquoi aurais-je peur de la chair de ma chair ?
[Océanne n’est pas ta fille, tu n’as pas d’enfants, tu n’as pas de... ]
Que ? Océanne est ma fille !!! elle ne l’est pas. Plus j’y pense et plus j’en suis sur! Mais qu’ais-je fais ?
[Papa ? pourquoi as tu cette batte de base-ball? Papa ? non! ne... ]
Mon dieu! j’ais frappé ma fille à coup de batte, oh non qu’ais-je fait ?
[Elle n’est pas ta fille...]
En me rendant compte de l’acte commis, je faillis repartir dans le décor. Je rattrape de peu, la voiture devant ne semble pas avoir remarqué ce brusque écart. D’ailleurs la pensée de l’acte fautif ne me dérange pas autant que cela aurait du, moi flic.
Et Julie... Julie... hum non, rien ne colle dans cette histoire. Et où est cette “ville” où nous habitons ? Tiens ma montre a gagnée deux minutes, le compteur donne un kilomètre supplémentaire, “la ville” arrive, je le sais je le sens. J’ais patrouillé plusieurs fois par ici pour savoir cela.
Que ?... des souvenirs autres me traversent l’esprit, je suis professeur d’Arts Appliqués, ma femme Natacha me fais un baiser avant que je parte rejoindre mes élèves, je me nomme Charles. Non! non! pas possible ce n’est pas moi!
[Tu n’es pas ce que tu crois...]
Vite revenir en ville, je crois que je deviens fou.
Oui je la sens très proche, derrière ces trois derniers virages, passé la colline elle sera là, me tendant les bras.
[Me tendant ses griffes crochues, prêtes à me mordre jusqu’à la Grande Faucheuse....]



Chap. IV. La Ville


PLUS que la colline à franchir. Je suis heureux de rentrer chez moi, pourtant un malaise s’est fait sentir en moi. J’ais peur, j’ais peur de mourir, c’est idiot mais j’ais l’impression que ma fin est proche, qu’elle m’attend dans cette ville.
J’en suis parvenu à deux certitudes contradictoires : premièrement je ne suis pas d’ici, Julie n’est pas ma femme, Océanne encore moins, cette “ville” ne l’est pas du tout; deuxièmement je suis Jack Baggler, marié à Julie, père d’une fille de onze ans, policier, fierté de son quartier.
“La ville” taux de criminalité zéro, taux de chômage zéro, taux de suicide zéro, taux de ... ville parfaite, pourtant nous sommes une cinquantaine de policiers. Nous empêchons toute tentative de traversée de la Frontière. Nous n’avons que quatre routes à protéger, chacune partant de son côté : Nord, Est, Ouest, Sud, d’ailleurs nous roulons sur la Sud. A chaque fin de la “ville” sur ces routes se trouvent une école, quatre écoles, quatre routes. Un commissariat de police, une mairie, une église où d’ailleurs je ne m’y rends jamais, un bureau de poste,... Une petite ville de trois mille habitants.
Le bowling, ah! la partie police contre pompiers, nous les avons battus, quelle fête ce fut ensuite. C’était hier soir, quel plaisir d’avoir des amis, puis rentrer chez soi, trouver sa fille endormie, lui remonter un peu la couette, un dernier baiser sur le front, arriver dans sa chambre, se coucher près de la femme aimée, elle se réveille afin de terminer la nuit en beauté. Une vie magnifique, que de mander de plus. Pourtant ce matin tout a basculé, ce matin “la ville” s’est revêtue de sa sombre parure, la vérité m’est apparue, qu’elle vérité je ne me souviens pas amis c’était important.
[Tu n’es pas Jack Baggler...]
Je creuse mes méninges... non rien!
La ville arrive, on a atteint le haut de la colline, la forêt borde encore la route, de toute façon elle la bordera jusqu’à “la ville”. Enfin on l’aperçoit, encore quelques kilomètres, le temps de descendre la hauteur où nous sommes. Le compteur et ma montre marchent normalement, il est 15h33, il fait une belle journée, nous sommes en Octobre, le 16 pour être précis.
[Tu n’es pas Jack Baggler...]
Bientôt la chaleur de son foyer, pourtant quelque chose au fond de moi me dit de faire demi-tour, tout est encore possible.
[Tu n’es pas Jack Baggler...]
Nous sommes en bas de la colline, je perçois au loin l’entrée de la ville, encore deux kilomètres, ensuite l’école Sud, l’école où va ma fille, je passe trois carrefour, tourner à gauche, remonter l’avenue Acacia, prendre sur la rue de la Belle Journée, numéro 7, notre maison. Superbe, une des plus belles de la rue, avec piscine, barbecue, jardin, et tout et tout.
[Tu n’es pas Jack Baggler...]
[Les enfants ne sont pas...]
Une brusque montée de haine monte en moi, les enfants... ils sont le mal, il faut les tuer, l’école du Sud... J’accélère, rattrape et double la voiture de police. L’école arrive... .

Par Gael de Loublac le 15/12/2001 à 16:34:50 (#557508)

Suite et fin après je ne vous embète plus

Chap. V. L’École


L’ECOLE... les enfants sont en pose, il joue sur la route et pas d’institutrices pour les retenir d’y aller. C’est vrai dans cette ville paisible il n’y a jamais de mort ou de blesser. Je vais changer cela.
[Les enfants ne sont pas...]
Un kilomètre, je distingue le fils de mon meilleur voisin, il se nomme Nicolas, petit blondinet âgé de onze ans lui aussi. C’est lui le mal incarné, je maintient ma vitesse de 110 kilomètres heures, ils se rapprochent rapidement de moi, enfin je me rapproche rapidement de lui.
[Les enfants ne sont pas...]
Plus que deux cent mètres... j’écrase la pédale de frein, je ne peux pas, je ne suis pas un meurtrier! je suis un flic!
Ma voiture s’arrête tout près de lui. Je descend voir s’il n’y a pas de problème. Nicolas de m’accueillir tout gentiment, comme s’il n’avais pas remarqué que j’ais faillit le tuer. Quel acte j’ais faillit commettre. Ma fille sort de la cour de l’école et me saute dans les bras, un comment ça va papa sur les lèvres. Aucune trace de blessures sur elle, l’ais-je réellement frappée ? oui j’en suis sur! La voiture de police s’arrête, ma femme vient me rejoindre. Elle nous enserre tout les deux, quelle magnifique famille nous faisons.
La cloche sonne, nous rentrons dans l’école. L’institutrice nous accueille, sacrée bonne femme que celle-la, magnifique, ses longs cheveux noirs, ses yeux verts, qu’est-ce qu’elle est bonne. Drôle de pensée, je n’ais jamais eu ce genre d’idée avant, dire qu’elle est mignonne, magnifique,... ça oui mais pas qu’elle est bonne.
Les enfants prennent place, le cour va reprendre, quels jolies enfants.
[Les enfants ne sont pas humains, ceux sont des créatures maléfiques!]



Chap. VI. Adieu


LES enfants ouvrent leurs sacs, et sortent non pas des stylos mais des couteaux, des petites pelles pour jardiner mais affûtées, des tournevis,... . Ils se lèvent et se dirige vers nous, pourquoi le policier ne nous a pas suivi ? je le vois à travers une fenêtre, il regarde ailleurs, tout les passants regardent ailleurs. Le petit Nicolas s’approchent de moi, un rictus maléfique au lèvres. Sa main tenant un couteau de boucher. Il me parle, je mets du temps à comprendre ce qu’il me dit, de toute façon tout se passe au ralenti, mes réflexes m’ont quittés. L’instit fait son cours comme si de rien n’était, ma femme me regarde.
Il ne fallait pas tenter de fuir, il ne fallait pas tenter de s’attaquer à nous et surtout il ne fallait pas ouvrir la boîte, nous essayons des les cacher quand elles apparaissent mes des fois nous ne les voyons pas à temps qu’il me dit le mioche.
Mes pensées redeviennent claire, je prends ma femme pas le bras gauche et l’arrache à sa torpeur, direction la sortie. Mais on se retrouve nez à nez à ma fille, qui tient une batte de base-ball. Du sang et des mèches de cheveux recouvre le sommet du bois, ses mèches!!
Tout est perdu, c’est la fin. Les enfants se jettent sur nous.
Tout me revient, comment cette journée à débutée.
Adieu...



EPILOGUE


JE me souviens...
Ce matin, 9 heures 03 mon réveil, 9heures 11 je prenais une douche, 9 heures 23 habillé je prenais mon déjeuner écoutant la radio, ma femme vint m’enlacer. 9 heures 47 je sortis faire un footing quand j’aperçue dans ma voiture un carton avec une lettre.
La lettre été adressée à mon nom Jack Baggler mais aussi à un certain Charles Gallair. Je la lue, elle expliquait que dans la boîte se trouvait un boîtier, il ne suffisait que d’appuyer sur le bouton vert.
Ma curiosité prenant le pas sur tout envi de faire attention, j’ouvris la boîte et sortit un pavé noir, toutes les faces été lisses. Une seule portait un bouton vert. Je le pressa.
Dans ma tête se fit alors... comment dire... une sorte de projection de film, oui c’est ça, un projecteur s’est allumé en moi et me montra un film. On y voyait plusieurs acteurs que je ne connaissait pas mais qui me semblait connaître, j’évoluais avec eux. J’avais une identité différente, une vie différente. Puis une voix-off se fit entendre.
“Tu n’es pas Jack Baggler, la vie que tu mènes n’est pas ta vraie vie. Tu étais un professeur d’Arts Appliqués nommé Charles Gallair, marié à Natacha, vous n’aviez pas d’enfants. Tu appartenais à la vrai vie mais malencontreusement tu t’es retrouvé dans cette absurdité. Les enfants ne sont pas humains, ceux sont des créatures maléfiques! Toute cette ville est mauvaise. Cela ne fait pas partie du court normal de la vie. Cela ne doit pas être. Vous servez de nourritures à ce que vous voyez comme enfants. Tu dois t’échapper de “la ville”, franchir la frontière, aller au-delà d’où tu n’as jamais été.”
Tout cela ma paru faux, enfin c’est comme ça qu’interpréta ma conscience mais mon esprit me fis comprendre que le boîtier noir avait raison, que je l’avais toujours su. Je décida alors de me débarrasser de ma fille et de sauver ma femme car c’était ce qui devait être fait.
J’ais appelé ma fille, l’école ne commençait que dans une heure environ, quelle classe était-elle au fait ? je ne savais pas, je n’avais jamais cherché à le savoir. Elle vint et je la frappa, je la frappa, je la frappa avec ma batte. Je la laissa pour mort et “kidnappa ma femme”.
Nous pénétrâmes la Frontière, s’en suivi une dispute sur le fait que je savais que c’était interdit par ma fonction. Puis elle pris mon volant et nous partîmes dans le décor, c’est bête, je savais que nous étions presque sortie.
Comme quoi la vie se joue à pas grand chose, une simple boîte noire. Qui sait, si je m’étais levé plutôt ou plus tard je n’aurais pas remarqué cette boîte. Ma fille l’aurait vu et l’aurait cachée...

Gasp !!!

Par Fifine le 15/12/2001 à 17:00:54 (#557671)

Il est effrayant ce cauchemar !!
Et bien raconté, j'en ai la chair de poule...
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Mais tout le monde sait que les cauchemars on un peu un rapport avec la vie réelle... J'en vois deux dans tes deux premiers posts surtout (que je ne peux pas dire ici) mais je vois un lien avec t4c aussi *hihi* :

[...]La montre, le compteur, toujours bloqués, [...]
Et tu parles de ça à plusieurs reprises ensuite...
Alors ? :D Y a que moi qui vois là ?
Au cas où... je reconnais là les compteurs de notre cher goa :)

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