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Une embuscade

Par Fatalis le 12/12/2001 à 11:29:42 (#535544)

Fatalis prend un vieil extrait des annales de la Compagnie et se met a le lire

Sollicite par le capitaine de la garde de Colbrume ,Percecoeur ,Crane chauve et moi meme partimes a l'endroit ou devait se baser notre attaque:
Devant nous s'etendait un chemin sinueux au relief accidente ,ideal pour pouvoir contourner les milices postees en peripherie de la ville
,sur les bords latteraux du chemin se dressaient une epaisse foret
,une basse vegetation parsemaient la route
C'est dans une atmosphere sinistre qu'eclairait par de simples torches nous stationnames de longues heures,dissimule derriere l'epais tronc des chenes
Percecoeur lui etait perche et faisait le guet ,c'est a ce moment qu'il nous avertit de l'arrivee d'un chariot au loin se deplacant ,on pouvait entendre le bruit des fers des chevaux au trot
Tres vite les directives que nous avions planifie dans l'ensemble s'executerent
Cranechauve l'iluusionnistes du groupe incanta ,c'est alors qu'une nuee de chauve souris vampire semblait se precipitait droit sur les betes de traits ,les animaux s'affolerent et le chariot se renversa
Il etait charge d'armes de melee et de ressources precieuses en quantite considerable et nous comprimes la les buts sinistres des dirigeants des milices de Sombrelune
quatre hommes vetus d'armure legere et arborant des epees batardes dans leurs mains se dresserent difficilement mais fierement ,nous ne nous etions pas encore fait remarque jusqu'a ce que Percecoeur ateignent l'un d'eux au niveau frontal,la feche penetra dans l'os du crane mais ne toucha aucun organe vitaux le casque ayant ralenti son avancee ,l'homme tentait de retenir ses cris ,mais ils finirent par sortir subitement ,les hommes bien qu'experimente etaient effraye par l'etat de leur camarade et la strategie n'etait plus de mise ,elle laissa place a la precipitation
les quatres hommes se disperserent toutefois prudemment ,et j'entamai un combat contre le premier qui me croisa ,je beneficiais de l'effet de surprise et l'aura de mon ami Cranechauve me protegerait ,je parvins a porter un coup critique l'homme etait a terre mais ses trois associes se precipiterent vers moi ,un peu pris de panique j'essayais de garder mon sang froid ,comptant sur l'aide imminente de mes freres ,et j'eus bien fait ,une fleche de Percecoeur transperca l'echine d'un de mes assaillants ,et Percecoeur fit apparaitre une de ses invocations effrayantes mais inoffensif qui retarderent les brigands ,je pus alors entamer mon combat de front ,fort de mes experiences je parvenais non sans difficultes a parer l'assaut ennemi ,mais sans povoir contre attaquer ,heureusement notre archer n'etait pas inactive et affaiblit considerablement les deux hommes,je n'eus plus difficulte a achever mes cibles,et les quelques coups de lames qui m'erafflerent furent vite cicatrise grace au soin de Cranechauve
Nous rentrames donc a Colbrume ,on sans avoir deja puise dans les marchandises du convoi et le commanditaire fier de nous nous recompensa grassement
Le soir ,nous allames depenser quelques pieces d'or dans les quartiers chauds de la ville ,ou les prostitues fourmillaient en cette periode et nous primes grand plaisir a depenser une partie de notre butin pour satisfaire notre vice,en oubliant pas de payer exccessivement les miserables catins

Fatalis referma les annales et conclua
La Compagnie choisit ses contrats ,dans cet extrait des annales ,elle servit l'autorite d'une ville pacifique ou malheureusement la misere existe toujours
Il ne faut pas prendre les actes juges immoraux comme immoraux le butin investit dans les filles de joie donnera peut etre a ces femmes la chance d'un jour pouvoir sortir de la misere et par la meme occasion remonte le moral des guerriers
Et l'attaque n'est qu'un debut pour installer de nouvelles bases
Gloire a la Compagnie Noire!

Par Flamme Vent le 12/12/2001 à 11:58:46 (#535691)

je ne connais point ce percecoeur et ce cranechauve mais je fort aise mon frere de savoir que tu participas a cette echaufourée.

Quand au cantin je ne vois aucun mal a s'en servir ne sont-elles pas la pour ça?
Si vous ne l'aviez fait d'autre aurais rechauffer leur lits.

Le plaisir est si rare qu'il se prend comme on peut quand on peut.

J'appelle cela le repos du guerrier.

Certaine ville abrites des prostitues masculins et certains de ceux la sont fort plaisant, parfois il m'arrive d'y avoir recours, et crois moi je n'en ai aucun regret.

...

Par Skellington le 12/12/2001 à 12:03:38 (#535734)

*rêve devant le récit de Fatalis...*

Je me souviens du temps où, encore jeune humain, nous n'osions pas prononcer ces quelques mots : compagnie noire...

Un sentiment mêlé de craintes et de respects pour ces hommes sans conscience aux multiples talents...

J'ai grandi, pris conscience des réalités, et fait ma vie... du moins je le pensais... Un jour cependant, alors que j'avais presque oublié leur existence, je rencontrai un homme.
Nous nous liâmes d'amitié, et j'appris qu'il était lui-même l'un de ces célèbres Compagnons...
A avoir passé ma vie à me défendre contre des bêtes sauvages et à chasser, j'avais développer quelques talents... Cela lui plût...

J'intégrai avec son aide la Compagnie, et je me rendis compte qu'elle était bien différente de celle dont enfant, je rêvais de faire partie...
Les guerriers qui m'avaient paru autrefois comme des héros à la taille majestueuse et aux pouvoirs illimités avaient certes l'expérience, mais il leur manquait cette prestance, qui les rendaient redoutés de tous...

Seuls quelques membres, plus anciens, en gardaient encore des traces...

Les années passèrent, les contrats s'exécutèrent...

Mais la Compagnie a passé un cap... Ses chefs et membres l'ont bien compris... Nous devons regagner cette image d'antan...

Merci Fatalis... non... merci à l'écrivain de ces annales, de nous avoir rappeler ce que doit être la Compagnie.

Gloire à la compagnie noire

Par Arthus Penguern le 12/12/2001 à 14:26:37 (#536436)

Je rentre dans une taverne, sors une pipe de mon havresac, l'allume et commence à conter aux personnes présentes les merveilleuses aventures de la Compagnie Noire.

Soudain une voie surgit du fond de la salle :
- Mais les catins, pourquoi diantre tout le monde en parle dans votre damnée compagnie ?
Je lève le regard, étonné. Je ne reconnaîs pas tout d'abord l'interlocuteur, mais un sourire malicieux me fait comprendre que c'est à Fatalis, compagnon d'arme et chef des CN que j'ai à faire. Ce diable d'homme s'est encore déguisé afin de pouvoir se promener à son aise et écouter les rumeurs qui courent dans les recoins sombres des auberges, loin du feu, là où dans les ténèbres l'on distingue à peine l'ombre de celui qui la projette.

- Les catins ?
Je me décide à rentrer dans son jeu et a expliquer quelques nuits de débauche d'après les missions, où l'acool et les femmes coulent à flot (hrp : hum sans mauvais jeu de mot).

- L'auditoire semble conquis alors que j'explique comment, après une bataille contre des assassins, tuant tout ceux qui passent à leur portée, nous nous mîmes à ripailler allègrement. Bien sûr, comme à l'acoutumée, je ne peux m'empecher d'enjoliver le récit en ma faveur, oubliant totalement de parler de mes invocations ratées, du fait que je soit arrivé à casser mon bouclier et ébrêcher mon marteau sacré. Non, à la place je raconte comment à 2 nous avons mis en déroute une dizaine de ces hommes.
Par contre je me garde bien de chanter, souaitant garder mon auditoire.

Alors que je commence à raconter la nuit de débauche que nous vécumes avec des filles de joie, un violent courant d'air envhais la taverne, et la porte s'ouvre brutalement, faisant grincer ses gonds. On peut distinguer deux silhouettes dans l'embrasement de la porte.
L'assemblée tourne vers la tête vers ce spectacle, mais seul Fatalis et moi-même avons le sang qui se galce d'effroi.

Nos femmes respectives, peu contentes d'entendre de tels récits, se profilent dans l'encadrement de la porte, défiant du regard tout ceux qui auraient l'outrecuidance de vouloir s'interposer entre ce qu'elles considèrent comme un juste courroux et nous même.

Malheureusement, le chaos et la confusion qui régnèrent ensuite m'empêchent de me rappeler ce qui a suivi. Cependant une chose est sûre, j'éviterai maintenant de parler en public de ces lendemains de contrats, ou nous avons tendance à nous réveiller dans des endroits peu familiers, que ce soit dans la couche d'une inconnue, ou dans la fange avec les cochons...

Par Wadleight le 12/12/2001 à 14:55:42 (#536600)

Histoire bien héroïque d'un temps révolu.
J'ai cru pendant un moment que la Compagnie dérivait lentement mais sûrement vers l'oubli d'une triste décadence baignée de sang.
Bien sûr, les idées de la Compagnie sont très loin de me convenir, mais entre deux maux, je choisis le moindre : Entre une bande de sans-gage qui ramasse la moindre pièce d'or pour tuer sa propre ascendance à travers le royaume, je préfère la vision d'une troupe tenue et qui évite les écarts injustifiables.
Je vous souhaite Fatalis, de savoir continuer à évoluer encore en ce sens.
Vous verrez, un jour vous vous rendrez compte que l'argent n'est qu'un prétexte, et que prendre le côté des victimes qui ne sont pas forcément argentées grandira le respect de la population, puis que par votre exemple vous saurez dissuader de la lâcheté.
Vous verrez, un jour vous vous rendrez compte que votre richesse est dans votre cœur, non dans votre bourse.
Vous verrez, un jour vous vous rendrez compte qu'en obtenant la Paix, vous n'aurez plus besoin d'argent pour avoir l'amour
*sourit*

Paix et Amour

Réponse à Wadleight

Par Arthus Penguern le 12/12/2001 à 15:14:01 (#536720)

Je me permet de parler au nom de nous tous.

Je vous répondrai Sir Wadleight, en vous disant que nous savons nous adapter aux possibilités de paiement, ne favorisant pas le riche par rapport au pauvre.

De plus nous pouchassons souvent les tueurs, qu'un contrat aie été lancé ou non, et aidons les faibles que nous croisons.

Une compagnie de mercenaire ne signifie par forcément un amalgame de rustres, malhonnètes et brutaux, ne songeant qu'à l'argent et au moyens d'en gagner encore plus.

Et quoi que nos méthode ne soient pas pacifiques, nous oeuvrons aussi pour la paix, ou tout du moins un certain maintien de l'ordre.
Le fait que nous nous vendions ne nous empêche pas d'avoir des idéaux et un sens de l'honneur, peut-être en cela ressemblons nous à ces catins que nous cotoyons.

Enfin, ne se plaignent de nous que ceux qui ont mal agis et qui ont croisés nos lames. Ceux qu'ils avaient menacés nous respectent et croient en notre valeur. Seul l'ignorant saurait encore douter de nos réelles motivations.

Par Fatalis le 12/12/2001 à 16:59:39 (#537408)

Tu resumes bien ce que j'aurais repondu a Wadleight ,Arthus,
et j'ajouterai aussi que chacun dans la Compagnie a ses convictions,nous ne nous jugeons pas entre freres ,nous nous contentons de conseils mutuels et c'est ce qui peut faire avancer les choses.

Une histoire

Par Fatalis le 13/12/2001 à 13:20:43 (#542542)

Dans un monde ou le pouvoir est donne par la force une Dame et son mari gouvernaient
Chacun de leur cote asservirent des magiciens et guerriers de grandes puissances pour en faire leurs generaux
Au mileur de ce conflit un groupe de citoyens qu'on appelait les enfants de la Rose blanche subsistaient
Chacun dans cette affaire avait sa vision de la justice
La Dame et ses asservis massacraient les troupes de son mari ,le mari faisaient de meme de son cote
Mais pour ces deux prootagonistes ,nous comprenons vite que le vice ,la jalousie ,l'orgueil controle leur jugement
Et ceux qui en patissent sont les gens qui sont meles a cette affaire contre leurs volontes et qui ont une perception objectif des choses
malheureusement eux n'ont pas de grands pouvoirs et ne peuvent se contenter de se mutiner jusqu'a ce que le sort veuille bien leur accorder une chance,mais leur puissance est dans leur unite
Dans cette histoire si vous deviez choisir un role qui seriez vous?

Personnellement je serai inquisiteur ,pour la justice et contre le vice ce qui n'est pas incompatible avec mon role au sein de la Compagnie

Par Qu'un Oeil le 13/12/2001 à 13:26:26 (#542565)

*Souris dans sa tombe*

* lève le bras *

Par Arthus Penguern le 13/12/2001 à 13:38:04 (#542629)

Euh, chef j'ai une question.....


Vouloir être inquisiteur et lutter contre le vice, alors que les lendemains de contrats sont en général synonime de luxure et de débauche..... n'est-ce-pas un peu étrange ?

Et puis personellement je suis contre le principe de l'inquisition dans une compagnie ou l'on est sensé oublié le passé de chacun...

Quand à qu'un oeil, qui au fond de sa tombe sourit, je me demande s'il est ironique ou non...

Par Qu'un Oeil le 13/12/2001 à 13:41:17 (#542645)

*Souris dans sa tombe avec plein de bon souvenirs*

Je prefere me rememorer les bons souvenirs pas les mauvais.

. )

Par Fatalis le 13/12/2001 à 13:57:44 (#542731)

Je te donne mon role Arthus
Et je n'ai pas dit que c'est moi qui utilisais les prostituees ,meme si auparavant je l'ai deja fait
J'ai evolue grace a me femme Tutus :-)
Et les prostitues ne sont pas toujours synonyme de luxure ,il y en a qui font ca par contrainte,il y en a qui font ca par vice et en general la seconde option est moinns frequente

...

Par Arthus Penguern le 13/12/2001 à 14:01:27 (#542754)

:doute: Je ne suis pas totalement convaincu chef.... remarque, je sais que nos femmes respectives ne nous permettre pas ne serait-ce que penser retrourner voir ces catins....

Quand à Flamme, Plume doit lui manquer beaucoup pour qu'elle aille voir des gigolos, humains de surcrois...

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