Du Roy, et de son peuple servil

Par Larween Torcryss le 11/12/2001 à 18:51:18 (#531012)

Il y aura toujours une grande difference entre soumettre une multitude, et régir une société. Que des hommes épars soit successiveent asservi à un seul, en quelque nombre qu'ils puissent être, je ne vois là qu'un maître et des esclaves, je n'y vois point un peuple et son chef; c'est si l'on veut une agrégation, mais non pas une association; il n'y a là ni bien publique ny corps politique. Cet homme, eut il asservi la moitier du monde, n'est toujours qu'un particulier; son interet, séâré de celui des autres, n'est toujours qu'un interet privé. Si ce même homme veint à périr, son empire après lui reste épars et sans liaison, comme un chêne se dissous et tombe en un tas de cendre après que le feu l'a consummé.

Extrait de, "les écrits interdits".

Puisse ceci vous faire méditer sur la nature de votre engagement auprès du Roy.

c'est bien vrai mais.....

Par Edelendil-CE le 11/12/2001 à 19:04:29 (#531100)

tu propose quoi à la place, l'anarchie (ca se passe de commentaire) ou la burocratie (tt les démoncratie tendent vers la burocratie) c'est a dire la mort de l'initiative

Par Aërandis le 11/12/2001 à 19:20:03 (#531200)

Tout à fait d'accord avec Edelendil.
(Euh... c pas un extrait des mémoires volées de l'Empereur-Dieu sa ?)
Au passage, à ton avis, sa sert à quoi un prince une fois que son père est mort ?
Et puis qu'importe que ce soit un seul ou une multitude qui gouverne quand le roy sait faire preuve d'une grande sagesse dans chacunes de ses décisions.

A la place...

Par Larween Torcryss le 11/12/2001 à 19:56:09 (#531398)

Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la spurême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme parti indivisible du tout.

A la question "A quoi ça sert un prince", je répondrais que de toute évidence les personnes qui réponde avec tant de virulence, n'ayant en réalité comme seul argument, celui de l'autorité de la multitude de leurs semblables, n'ont de oute évidence que trop peu réfléchit à la question avant de s'engager dans les "hostillités". un prince, le fils du Roy, est ataché à son père par des liens familiaux jusqu'à que ce dernier décède. Ce procesus va à l'encontre de la precedure habituel d'un état de famille. Un prince voit son indépendence vsi à vis de son père accordé une fois celui-ci defunt, cas que l'on peu sensiblement raprocher de celui des esclaves, qui voient leur liberté accordée à la mort de leur maître. Seulement on pourra poursuivre l'analogie en notant que la plus par des esclaves affrechis se voyaient perdu au sein d'une société dont ils ignoraient jusqu'aux lois fondamentales. De la même manière, un princelibéré de ses liens d'obéissence se trouvera dans une voie a double issue. Premièrement, tenter de comprendre le nouveau monde dont il se retrouve en quelques instant le souverain, s'il emprunte ce chemin, il nuira au peuple, en le gouvernant mal, et à lui même, car le peuple le haïra. Deusième solution,il relègue ses pouvoir à un autre, celui)-ci sait très bien comment fonctionne le royaume qu'il a surement longtemps convoité, on epu donc refermer la boucle on montrant qu'une foi de plus, l'envisagement d'un pouvoir centralisé en la personne d'un Roy -ou de sa progéniture candide- ne peu menner qu'à la destitution des droits naturels du peuple, faisant suivre le chaos, au profit d'un particulier, ou même au détriment de tous.