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Terreur... Le Grandgarou

Par Gentil Barde le 10/12/2001 à 13:48:11 (#524182)




N’avez vous donc jamais, rêvé sous les étoiles, à parler entre amis de ces choses qui effrayent ? N’avez vous donc jamais frissonné de plaisir à vous imaginer des êtres, invisibles et violents qui rampent et vous agrippent pour ne plus vous lâcher ?

Vous qui me lisez, croyez moi quand je vous dis que ce jeu, d’entre tous, était celui que Hugo Groslamain préférait. Et même s’il devait parfois hausser la voix, il réussissait toujours à convaincre ses camarades de le rejoindre la nuit autour d’un feu de fortune, dressé à la hâte au beau milieu d’une ruelle déserte de Silversky. Et c’est en cet étrange endroit que se répétait chaque nuit, comme un rituel, la séance du Grandgarou.. Oh.. Ce n’était pas un jeu bien original : Quand la lune se levait, l’un des lascars de cette bande devait, devant les autres, inventer une histoire qui les ferait trembler. Tant pis pour les mauvais orateurs, eux se faisaient lyncher. Mais ils ne pleuraient pas, car telle était la règle, et chacun s’y pliait, même le misérable Phil Maigrelet, surnommé à raison « le bègue ».

Phil s’était, pour ainsi dire, résigné. Et il attendait son Grandgarou hebdomadaire comme une punition inéluctable mais nécessaire pour être accepté de ses camarades. Cependant ce soir là, alors que ses compagnons s’attendaient à une énième déconfiture du bègue, ils le virent arriver à grand pas, chantonnant, et affichant un magnifique sourire qui ne faisait que ressortir ses boutons de puberté. Pour une fois, il avait une histoire à conter.. Et une belle histoire. Oh.. Il se garda bien de préciser qu’il ne comptait que répéter les dires d’un barde, White Shadow, qu’il avait entendu parlé dans le courrant de l’après midi. Mais ce soir là, il était persuadé de pouvoir tenir son effet.

Respectant un silence presque religieux, ses camarades se regroupèrent autour du feu, mi-amusés, mi-inquiets de l’inébranlable confiance que semblait afficher le bègue, et même Hugo Groslamain résista à sa farouche envie de se lever pour lui porter un bon coup à l’arrière train, et effacer ainsi cet énervant sourire.

Phil se redressa, de tout son corps, au-dessus du feu. Les flammes dorées s’élevaient bien haut, et projetaient dans toute la ruelle l’ombre gigantesque d’un bègue effrayant..

-"Je.. je.. vais vous.. con..con…coonnnter.. ; l’histoire.. des.. Khu..khu..khu..khuuuuméra", commenca-t-il d’une voix profonde et inquiétante.

Et là, grand silence se fit. Les enfants, hébétés, regardèrent leur compagnon, si fier de sa prestation, d’un air qui en disait long. Malgré toute sa bonne volonté, ses premiers mots n’eurent pas vraiment l’effet escompté. En un instant, toute l’inquiétude provoquée par l’attitude étrange et entendue de Phil s’envola dans des éclats de rire et de chants.

-« Hahahah !! Allons, allons mon bon Phil.. », lâcha enfin Hugo, qui menaçait de s’étouffer au milieu de ses rires, « C’est à la mort que tu nous vends ? A nous faire rire ainsi, tu vas nous achever sans grand’peine ! »
-« Qu’y a-t-il de drôle, à parler des Khuméras ? », demanda une voix inconnue.

Hugo se redressa aussitôt. D’un coup, les rires moururent, et les regards de tous les enfants se tournèrent comme un seul vers l’homme qui venait d’arriver. Nul ne pouvait voir son visage, profondément engouffré dans la large capuche de sa grande cape. Mais sa voix avait quelque chose d’effrayant, tant elle était calme.

-« Qu’y a t il de drôle à en parler ainsi? » reprit l’homme. « Savez vous au moins ce dont il s’agit ? »
Non, fit Hugo de la tête, en allant se blottir contre Phil, qui en l’espace de quelques instants, était devenu aussi livide que la neige.
-« Khuméra..Khuméra… », reprit l’homme. « Les Khuméras sont des rêves… Mais pas de simples rêves, non. Des rêves malins et insidieux, qui peuvent penser et comploter. ».

Il sourit.

-« Ces rêves… croyez-moi.. habitent un flux, impalpable mais présent, qui s’étend tout au-dessus de nous.. Et ils voguent dans ce flux, comme de sombres galions, pour se presser aux portes de vos songes.. et les ternir. Les pervertir. Pour naître en vous et vous terrasser de peur…
Oh… Tous les Khuméras, ne sont pas agressives… Mais il y a quelques temps, une jeune fille, Eleawen, est apparue sur nos terres, apportant avec elles ses démons, ses chimères. »

Le conteur soupira, et plongea son regard dans celui de Phil, qui frissonna.

-« Eleawen était la gouvernante de Foehn… », reprit-il
-« Je la connais ! », hurla un enfant. « C’est la fille de McYavel et Anorah ! »
-« Oui.. c’est bien elle… Et les démons d’Eleawen profitèrent de l’occasion pour percer et pénétrer l’âme de Foehn, voyant en la jeune fille un moyen idéal pour atteindre notre monde. »
-« … et ? Que.. que sont-elles devenues ? », risqua l’un des enfants, conscients que cette histoire là, n’était pas inventée, mais bien réelle.
-« Eleawen fuit… elle se cache, pour échapper à la Faux Blanche, l’Ordre des Inquisiteurs d’Everdawn, venu en ces terres pour l’exorciser. Mais nul ne connaît leurs réelles intentions. Car à les écouter, Goldmoon ne serait bientôt qu’un brasier ardent où se consumeraient sans cesser les corps décharnés des Séraphins Noirs. »

L’homme se détourna.

-« Quand à Foehn, elle attend le retour d’Abishai, un Maître du Revatam, qui reste aujourd’hui le dernier espoir contre les Khuméras. Mais le jeune homme acceptera-t-il de combattre les Chimères ? Nul ne le sait. Il a vu le futur, et sait que les flux des rêves, de conscience et de la réalité sont menacés…
Si rien n’est fait, bientôt, ces flux s’entremêleront, et les craintes et les angoisses des vivants arpenteront les terres, et les plus sombres pensées se trouveront incarnées. Le monde s’effacera. »

L’homme se tue, et leva ses yeux vers les étoiles.
« Croyez-le.. Les Khuméras n’ont rien d’amusant, mes enfants.. rien d’amusant. », ajouta-t-il d’une voix profonde, avant de s’engouffrer dans la ruelle et disparaître dans les ténèbres.

N’avez vous donc jamais, rêvé sous les étoiles, a parler entre amis de ces choses qui effrayent ? N’avez vous donc jamais frissonné de plaisir à vous imaginer des choses, invisibles et violentes qui rampent et vous cramponnent pour ne plus vous lâcher ?

Ce soir là, Phil Maigrelet, surnommé « le bègue », échappa à sa sanction hebdomadaire. Hugo Groslamain eut son compte de frissons.. Mais croyez-moi, vous qui me lisez, ce soir là, les lascars de Silversky auraient mille fois préféré ne jamais avoir joué au Grandgarou.

Ailleurs...

Par Jon Abishaï le 10/12/2001 à 15:40:54 (#524519)

Avant le réveil, avant le dernier lever, alors qu'il rêve de neige et que la neige rêve à lui déposant en flocon le fin linceul de son séjour.
Avant le réveil, avant le jour du départ, il songe et dans ses songes il entend et doit élever sa conscience.
Avant le réveil, il s'éveille dans un rêve et regarde plus loin que les yeux, plus loin que l'esprit, plus loin que l'inconscient, au delà des rêves des hommes, à la frontière de l'impossible.
Avant le réveil, il contemple et s'accroche à cette barrière, comme on s'accroche à un filin dont notre vie dépend. Il se hisse et se dresse et là il fait une rencontre :


"- Khuméra... Khuméra...

- Qui es-tu ?

- Je suis et toi tu es ?

- Cauldriane Blanche ou encore Jon Abishaï. Je suis et toi tu n'es pas !

- Je suis et toi tu es."

Jon regarde dans une direction. Un étrange phénomène s'offre à ses yeux. Il voudrait murmurer pour ne pas être entendu, mais il n'y parvient pas. Ce rêve n'est pas le sien, son pouvoir est limité, sa pensée est mise à nue :

"- Cela se rapproche.

- Oui, c'est là ou je vais. Tu y vas aussi ?

- Non ! Je ferai tout pour l'éviter.

- C'est innévitable. Je sais ce qu'il va se passer.

- Qui ?! Dis-moi qui va provoquer cela ?! Parles !

- C'est une jeune femme qui ne sais pas ce qu'elle fait, et un autre femme qui tente de lui faire comprendre.

- Ne parles pas par énigme ! Donnes-moi leur nom !"

Mais tout à coups, la chose devant Jon se métamorphose, devient un dragon, plus grand qu'une montagne, terrifiant, monstrueux, menacant et hurlant :

- NON ! TU NE FERAS RIEN, JE T'EN EMPECHERAI ! NOUS LES KHUMERAS, NOUS VIENDRONS... NOUS N'AVONS PAS BESOIN DE TOI !

Et la créature titanesque déverse son feu sur Jon Abishaï qui disparaît sous une masse impénétrable de magma brulant.

"- Au moins je sais à quoi m'en tenir maintenant !", déclare calmement un homme volant au dessus du dragon.

"- OU ?!", gronde la créature en se tortillant pour regarder au dessus d'elle.

"- Les Khuméras désire cet évènement, mais je trouverai comment le contrer. Et quant à toi, tu n'auras plus jamais l'occasion d'en profiter"

Le dragon diminue sa taille tout en restant d'un dimension conséquente, s'élève dans les airs qui sont en train de se couvrir de nuages sombres et fait face à Jon Abishaï, se tenant debout dans le ciel, les bras croisés.

"- TU VEUX ME TUER, MISERABLE MORTEL ?! JE SUIS ETERNEL ! JE SUIS UN KHUMERA !

- Oui, un vulgaire Khuméra comme Ombre Fourbe que j'ai détruit.

- OMBRE FOURBE ??! QUI EST-CE ?

- Tu ne peux pas t'en souvenir. Seul moi le peux à présent puisque je l'ai réduit à rien. Même si je dois détruire ce qui tient lieu d'histoire et de souvenir à tous les mortels, les Khuméras ne l'emporteront pas.

- TU N'ES RIEN FACE A L'AVENIR QUI SE PREPARE ! NOUS L'AVONS DEJA FORTEMENT ANCRE DANS VOS ESPRITS, INSCRIT DANS VOS VIES FUTURES ! TU NE PEUX LUTTER SEUL CONTRE LES REVATAMS INCONSCIENTS, IL Y EN A TROP, MEME POUR TOI. LA REALITE EST NOTRE !"

Tandis que la masse nuageuses encercle totalement les 2 êtres, Abishaï reste sur de lui, serein.

"- Vous êtes pire que je le pensais. Vous êtes des manipulateurs sans honneur. Vous aller tous retourner à l'état de concepts inconscients, c'est tout ce que vous méritez ! Quant à mes moyens de lutter, ne t'inquiètes pas. J'ai plus de ressources que tu le penses."

Le dragon le laisse à peine finir cette phrase et se précipite vers lui mais l'air se met à crépiter, des éclairs aveuglants jaillissent de partout et se concentrent sur la créatures. La décharge foudroyante dure ainsi plusieurs secondes. La luminosité est telle que même Jon doit fermer les yeux et se détourner de la scène. Lorsqu'il regarde à nouveau, la chimère s'est dissoute. Un chant résonne.

"- Khuméra... Khuméra..."

Jon voit les nuages aspiré par une sorte de tourbillon de vent, comme un liquide, ceux-ci s'écoulent dans le siphon placé perdiculairement à ce que Jon aurait appelé le sol. L'ensemble du décors apparaissant ci et là subit le même effet, l'image qui l'entoure est également aspirée dans ce siphon. Le jeune homme flottant maintenant dans le vide semble lutter contre cette force attractive. Tout en serrant les dents, il murmure pour lui même, dans ce chant incessant des Khuméras :

"- Déjà si proche ! Déesse, aides-moi ! Artherk, aies pitié de nous !"

Jon fait un simple effort de volonté et un nouveau paysage se forme autour de lui. Celui d'un terrain enneigé, là où est construite une maison, au pied d'un escarpement. La maison de ses parents. Il soupire. Etre épuisé dans un rêve est un concept peu commun. Mais il sait qu'il l'est. Il doit se réveiller.

Avant le réveil, il quitte la terre de ses rêves pour se rendre dans le rêve de sa terre.
Avant le réveil, il tente de se reposer, mais ses pensées tourbillonent et un frisson le parcours. Est-ce ce mot, Khuméra, ou la main de sa compagne qui caresse doucement son épaule.
Plusieurs nom lui viennent en tête et il devra faire le tri : Evelys, Foehn, Cyloan, Eleawen... 2 femmes. Une qui ne sait pas ce qu'elle fait et l'autre qui tente de lui expliquer ?... mais pas lui.

Insomnies...

Par Foehn le 10/12/2001 à 15:55:31 (#524581)

Alors que les garçons se séparent, encore quelque peu effrayés par le propos de l'étrange homme encapuchonné, une jeune fille sort de l'ombre protectrice d'un porche, ombre dans laquelle elle s'était réfugiée... Les traits tirés, le regard fatigué, portant la trace de nuits sans sommeil, Foehn se dit que ce n'est pas encore ce soir qu'elle arrivera à dormir... Elle reprend ses déambulations, parcourant Althéa, sursautant au moindre bruit, effrayée par le moindre bruissement du vent dans les branches des arbres, encore et toujours à la recherche d'Eleawen, espérant que ni les Inquisiteurs ni les Khuméras ne mettront la main sur sa nounou ou sur elle-même.

"Pourvu que môssieur Abishaï il revienne vite...", murmure-t-elle en sortant de la ville, comme pour se rassurer au son de sa propre voix.

Poursuite dans le noir...

Par Hayoné le 10/12/2001 à 16:34:23 (#524778)

Le petit garçon était à la limite de la lumière. Il adorait écouter les histoire qui font peur. Toutes les fois qu'il pouvait, il venait ici les écouter.

la lumière lui léchait le bout de ses bottes d'un mouvement hérétique. Il avait essayé de participer une fois mais le grand là n'avait pas voulu. Il avait été insulté et violement bousculé. quand il était revenu à la maison, son père lui avait demandé ce qu'il s'était passé, il avait prétexté une attaque de gobelins.

Ce soir c'était au tour du bègue, le souffre douleur de la bande. Le petit garçon avait pitié de lui et plusieurs fois il avait serré les points en le regardant prendre des coups des ses camarades.

Maiis ce soir là, il semblait différent comme joyeux. Cela ne dura pas, dès qu'il ouvrit la bouche, ses camarades se moquère de lui. le petit garçon fis un pas en avant. C'etait décidé, il en avait assez ce soir, il allait leur mettre la rouste de leurs vies.

Au moment ou il allait s'élancer, il entendit une voix grave et profonde, une voix qu'il avait déjà entendu avant. c'était la voix de l'homme qui racontait de si terrible histoire, l'homme qui avait parlé lors de la nuit de la samhaim.

Il arrétta donc son mouvement et se trouva envouté par cette voix. Il était pétrifié. Lorsque la voix dit le nom de sa soeur et de la nourice de celle-ci, un étrange sentiment fit jour en lui.

Il n'avait pas tout compris ce que l'homme avait dit mais, il avait compris le plus important à ses yeux, Foehn et Eleawen étaient en grand danger. Il devait en savoir plus.

Il courru furtivement mais avec une grande dextérité à la suite de l'homme. Malgès ses petites jambes, il courrait vite. tout en courant, il alluma une torche. Il voulait que l'homme le remarque et ainsi qu'il puisse lui poser des questions.

Il n'y avait plus personne dans la ruelle sombre et humide ou ils s'étaient engoufrés tous les deux. Le petit attrappa le manteau de l'homme.

Il dit dans murmure terrifié : "Monsieur, monsieur qu'est ce qui va arriver à ma p'tite soeur et à dame Eleawen ?"

Il leva les yeux vers l'homme et attendit la réponse, tout tremblant

Par Gentil Barde le 11/12/2001 à 9:39:41 (#528120)

*prend son élan*
*shoooot le post*

Par Kallista le 11/12/2001 à 10:14:37 (#528248)

Ce matin là, alors que la brume matinale s'etendait paresseusement dans les rues et les champs de WhindHowl, une jeune femme, emmitouflée dans une une longue cape doublée de fourrure, se tient immobile sur les remparts de la ville, scrutant l'océan.

Son regard, du même bleu que la grande étendue d'eau, semble fixer un point bien au-delà de l'horizon, un point bien au-delà de la réalité.

Elle voit... elle voit de nombreuses formes glisser sur les courant magiques, aller d'une maison à une autre, d'un passant à un autre, cherchant apparement quelquechose... ou hérant juste aupres des mortels comme des hommes transit de froid auprès d'un bon feu.

Certaines de ces formes ont apparence humaine, d'autres semblent provenir tout droit du monde des cauchemards.

Kallista est habituée à voir ses êtres éthérés, à les entendre... mais elle a depuis longtemps appris à en faire abstraction.
Cependant, le nombre croissant de ces êtres l'inquiète de plus en plus.
Sa soeur d'âme lui a vaguement parlé des Khuméras, des maîtres du Revatam... plusieurs histoires qu'elle a entendu lui laisse a penser qu'il y a un rapport avec la recrudescence d'activité des formes éthériques.

Kallista voudrait ne pas voir et entendre tout ce qu'elle voit... elle voudrait vivre tranquilement aupres de sa famille.
Mais la Déesse des Mystères a voulu qu'elle possede ces dons ! Syl a sans doute ses raisons...


Un rayon de soleil transperce la fine couche de brume et vient réchauffer son visage rougit par le froid mordant.
La jeune magicienne se retourne pour fixer le toit de sa maison autour de laquelle elle aperçoit les effluves magiques des nombreux enchantements qu'elle a mis en place pour proteger sa famille. Certaines formes s'ecartent devant la puissances se dégageant de la masure... d'autres semblent beaucoup impressionnées. Bientot il faudra agir.... bientot il faudra qu'elle s'implique dans cette histoire, pour protéger sa famille.

Sa main droite trace de fines arabesques luminescentes dans l'air glacial. Elle prononce les mots, maintenant si familiers, qui la mèneront au cercle sacré de Syl. Quelques secondes plus tard, ne reste plus que deux empreintes humides sur les pierres nues des remparts, Kallista a disparu.

Par Horn Demon le 11/12/2001 à 10:36:31 (#528353)

Je me demande quand est-ce que j'aurai une seance de GrandGarou a mon nom ... apres tout si un demon ne peut pas effrayer les gens ... il va falloir que j'egorge innocement des bambins jusque dans leur chaumiere sous les yeux larmoyants de leurs parents impuissants ?
AHAHAHAHAHA

Y'avait du monde, dans cette rue !

Par CorpsDeNephtys le 11/12/2001 à 11:23:46 (#528547)

Alors qu'il ou elle se cache pour ne pas effrayer ces enfants, le pauvre Nysalor dans le corp de Nephtys entends l'histoire qu'il à déjà tant lu, l'histoire des Khuméras.

Mais, bien qu'il connaisse très bien le révatam, il n'a jamais eu affaire à ces êtres, ces rêves étant sans doute trop joyeux pour eux. Il devrait peu-être visiter les rêves de Nephtys, mais ne serait-ce pas trop dangereux, alors même qu'il n'a plus le soutien de sa Fée des songe.

EN tout cas, dès qu'il le pourra, Nysalor fera savoir à son ami, McYavel qu'il pourra peut-être l'aider. Le croira t-il, lui qui a failli contre le LEM ?

Promenade au clair de lune...

Par Orphire le 11/12/2001 à 16:21:12 (#530358)

La lune était haute dans le ciel, elle était là à se balader goûtant à la douceur de la nuit, tout en rêvant à l’homme qu’elle aimait plus que tout au monde.
Soudain, elle entendit une voix dans une ruelle, une voix faible comme un murmure…une voix d’enfant…
Elle se glissa dans la pénombre et observa.

Elle reconnut l’enfant, c’était Hayoné…le fils d’une des personnes qu’elle appréciait le plus depuis son arrivé sur le royaume : McYavel.

Elle leva lentement les yeux vers l’homme auquel s’aggripait l’enfant. Elle tressaillit en apercevant un masque…un masque de cire…
Ce masque, elle l’aurait reconnu entre mille…cet homme…elle l’avait déjà rencontré, elle lui avait même parlé face à face…

Elle se souvint de leur discussion…de ce livre…le livre qu’il lisait et qu’elle détestait au plus haut point…Les mots des Rêves …tel était son titre.
Il retraçait l’histoire du monde…et de certaines personnes…dont elle-même…son destin était inscrit dans ce livre et rien que pour cela elle aurait eu envie de le brûler.

Elle resta figée à épier l’homme et l’enfant…elle sentit une larme couler sur sa joue et se demanda pourquoi, elle l’écrasa du revers de la main précipitamment…la nuit se refroidissait... oui s’etait à cause de cela…la douceur venait de faire place à la froideur…et la lune venait de se cacher derrière la cime des grands arbres.

Sans faire de bruit, elle fit demi-tour…elle savait que l’homme ne ferait pas de mal à l’enfant…elle n’avait rien à craindre pour lui.

Peur de l'inconnu

Par Shagara Ewen le 12/12/2001 à 7:54:55 (#534471)

Ce jour-là, au cercle de WindHowl, Foehn invita quelques-uns de ses amis à assister à une expérience faite sur elle-même par Monsieur White Shadow.

Son fiancé et elle-même furent appellés par Foehn pour la soutenir. Ils se rendirent donc au cercle de WindHowl, laissant leur fils Eleasias se promener seul sur les routes d'Althéa.

À leur arrivée, White Shadow leur explica la delicate situation dans laquelle se trouvait Foehn, et les raisons de sa "contamination". Puis il exposa l'expérience qu'il allait tenter de faire sur la jeune fille: entrer dans ses rêves pour mieux comprendre ce qui se passe en elle, pour voir ces khuméras qui la rongeait.
L'expérience fut éprouvante pour l'assemblée réunie en cette occasion, White décrivant ce qu'il voyait dans le rêve de Foehn, ne pouvant intervenir. Ils étaient tous impuissants face à la douleur que la jeune fille éprouvait.

Suite à cela, ils essayèrent de se rassurer mutuellement, espèrant un retour imminent de Jon Abishai, seule personne apte à faire quelque chose pour elle.

Ces gens réunis allaient se quitter lorsque leur fils arriva tremblottant au cercle, ne sachant lui-même que dire sur les motivations de sa venue.
Shagara se renseigna auprès de lui pour en savoir plus sur sa présence au cercle, mais il ne pût répondre à cela que par ces paroles:


"Elle m'appellait.. une voix m'appellait..."

En fait, il se rendait tranquillement chez ses grands-parents à WindHowl quand une tres grande force guida ses pas jusqu'au cercle. Mais cette voix qu'il entendait, laquelle était-elle? Étant très proche de Foehn, de par son âge et du fait qu'ils se soient vus à quelques reprises, peut-être avait-il senti le danger qui menaçait sa jeune amie. Mais si cette voix était autre.. Cet enfant âgé d'à peine quatres années est une proie bien facile pour les Khuméras..

"Monsieur Abishai.. Jon.. revenez vite je vous en prie. Nos enfants ont besoin de vous, notre peuple a besoin de vos lumières pour s'éclairer en cette sombre période de troubles" implorait la jeune mère, priant nuit et jour pour la guérison de son amie Foehn ainsi que pour la protection de son fils qui depuis cet évênement ne cessait de s'entrainer afin pouvoir la protèger des Khuméras.

Par Jon Abishaï le 12/12/2001 à 9:18:49 (#534826)

Je suis là...
Et je vous cherche... Si vous saviez comme je vous cherche..
Où etes-vous ?

*inquiet*

A la recherche d'Abishai

Par Shagara Ewen le 12/12/2001 à 9:55:15 (#535038)

Monsieur Abishai, je serai avec mon fils où vous le voulez lorsque vous serez prêt à.. confronter ce mal.
Je serai là aussi avec Foehn pour la soutenir, il vous suffira de me le faire savoir et j'accourrai.
Ces enfants méritent la vie Jon.. et méritent une enfance comme celle des autres enfants.

Par McYavel le 12/12/2001 à 10:05:54 (#535104)

Je suppose que son père peut très bien etre là pour la soutenir non?

Par Shagara Ewen le 12/12/2001 à 10:15:44 (#535159)

Oui Monsieur McYavel
Vous avez raison

Mais.. mon fils aussi est concerné.. et Foehn est mon amie, jamais je ne la laisserai tomber. On est jamais trop pour aider les gens qu'on aime. Nous pouvons joindre nos forces, ne pensez-vous pas?

Par McYavel le 12/12/2001 à 10:20:12 (#535181)

En effet,
mais si ses parents ne la protège pas, vous ne trouvez pas que se serait l'abandonner plus ou moins de plus c'est mon role

mains dans la mains

Par Shagara Ewen le 12/12/2001 à 10:32:54 (#535248)

Si vous le voulez bien, joingnons nos efforts pour vaincre ce fleau.. ensemble rien ne nous arretera. Le destin de nos enfants est lié, les nôtres ne tarderont pas à l'être de même.

Re: A la recherche d'Abishai

Par Jon Abishaï le 12/12/2001 à 10:36:17 (#535260)

Provient du message de Shagara Ewen
Monsieur Abishai, je serai avec mon fils où vous le voulez lorsque vous serez prêt à.. confronter ce mal.
Je serai là aussi avec Foehn pour la soutenir, il vous suffira de me le faire savoir et j'accourrai.
Ces enfants méritent la vie Jon.. et méritent une enfance comme celle des autres enfants.


Bien sûr qu'ils le méritent. Les Khuméras ne gagneront pas ce monde. J'en ai fait le serment.
Au nom de la Déesse, au nom de tout ce qui m'est cher.

J'arrive...

*accoure*

(cours après la 1.23 et un serveur qui fonctionne surtout)

Par Horn Demon le 12/12/2001 à 10:37:06 (#535265)

Provient du message de McYavel
Je suppose que son père peut très bien etre là pour la soutenir non?


Si c'est du pere de l'enfant de Shagara que vous parlez cher raton ... je crois que cela sera une quete bien rude que de le trouver et d'en determiner l'identite.
Apres tout ce n'est pas la fille de n'importe qui ....
AHAHAHAHAHAHAHA

Par Shagara Ewen le 12/12/2001 à 11:17:40 (#535466)

(Y'a pas a dire, toi quand t'es lourd, t'es pas lourd a moitié. C'est pas fini de s'acharner sur moi? Fiches moi donc la paix une bonne fois pour toute, oublies moi!! Pour une fois dans ta vie, reponds pas a mes posts de maniere rp ou hrp, ca me ferait un peu de vacances, merci)

[*s'est automodéré ... allez savoir pkoi*]


[NdM : Desole mais c du pur RP tu c tres bien que je te connais que tes peu et ne me permettrais jamais de porter un jugement sur ljd ou sur ta façon de jouer ... simplement un demon ben ... ca distribue pas les bisous, au contraire, c mechant, blessant, mesquin ... et je pense le faire tres bien.
Enfin bon si tu n'arrives pas a voir le caractere purement RP de mon post ...]

[Oui ton post est purement RP, je le sais, mais justement ton RP commence a me prendre la tete grave IRL a force d'acharnement, alors soit tu sais ce que veut dire le mot limites et tu en instaures quelques unes, soit eh bien non ca tu n'as pas a savoir ce que je ferai en second choix. Y'a plein d'autre personne a gaver RP alors vas y mais la ca en est trop j'en ai marre de ne pouvoir poster UNE seule reponse sans que tu posts derriere pour reagir a ce que je dis et surtout traiter mes persos de tout plein de noms d'oiseau. Je sature desolee. Saches que tu n'es pas obligé de repondre a tous les posts et qu'il y en a plein d'autres.]

Par McYavel le 12/12/2001 à 11:18:21 (#535471)

A vrai dire je parlais de ma fille mais bon je crois que vous avez un peu de mal

Oui nous lutterons ensemble

Par CorpsDeNephtys le 12/12/2001 à 12:02:55 (#535727)

Je me tiens à disposition comme vous le savez.
Ma connaissance sur le révatam est assez grande, mais j'ai en ce moment quelques difficultés pour me concentrer. Non que ma mésaventure passe avant vos déboires, mais ce corps me géne pour méditer corectement.
(et moi aussi j'ai des gros prob avec la 1.23, y'a rien qui se passe ...)

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