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Le récit d'un départ...

Par Jon AbishaĂŻ le 4/12/2001 Ă  16:18:31 (#502576)

Il s'Ă©veille brusquement, rempli d'un sentiment d'urgence.
En jetant un oeil par la fenêtre il constate que le ciel s'assombrit. La journée tire à sa fin.
Contre lui, un corps blotti, qui lui rappelle déjà quels doux instants il vient de passer et combien il aimerait pouvoir rester là, près d'elle... indéfiniment... passionnément...
Mais son coeur reste fort, car il sait qu'elle vient avec lui. Là où il va, elle va, et cette simple idée gouverne une grande partie des sentiments qui se bousculent en lui. Elle dort.

Il jette un oeil alentour. Hormis le désordre causé par la projection éparse de ses vétements et ceux de sa compagne, tout est prêt. Il n'y a plus qu'à se saisir des quelques bagages et de franchir la porte. Le prix qu'il a payé le convoyeur iagonite suffira largement à le faire attendre. Ce dernier ne manquerait pas de s'emparer de la seconde partie de la somme ainsi promise à l'embarquement. Il décide de ne rien dire, de ne pas bouger, de se tenir tout contre son aimée et profiter de l'instant.

Combien y en aura-t-il ? Des milliers... des millions d'instants de pur bonheur. Il sait qu'il peut les gouter avec joie jusqu'à la fin des temps. Autant leur joie mutuelle pourra s'exprimer, autant ils seront heureux. Un amour sans borne, sincère, unique, incomparable. Un prix terrible à payer, mais bien vite oublié devant cette joie, ce plaisir sans cesse renouvelé de la rendre heureuse, souriante, épanouie. Elle frisonne.

Doucement, il remonte la couverture, jusqu'à recouvrir l'épaule dénudée d'Evelys, soumise à l'air fraichissant de cette soirée d'automne. Un souffle ténu et régulier lui chatouille le torse, là où repose ce doux visage endormi et cette masse de cheveux soyeux. Il sourit. Un frisson de plaisir lui parcourt l'échine. Il se sent bien. Encore quelques minutes.

Le temps passe. A travers la fenêtre il aperçoit les premières étoiles qui bourgeonnent sur ce fond bleu sombre, teinté encore d'un peu du rouge du couchant. Il est temps. Les secondes passent sans qu'il parvienne à se décider. Il inspire profondément. Cela suffit à dérégler la si parfaite harmonie qui régnait à l'instant. Respiration irrégulière, légers mouvements. Il lui semble qu'Evelys se blotti encore davantage contre lui. Il sourit mais résiste à la tentation.

"- Mon amour ?", demande-t-il doucement.
Un marmonage inaudible lui répond. Il lui semble que c'est un oui.
"- Nous devons nous préparer."
Cette fois c'est un grognement inhabituel qui se fait entendre. Il ne peut s'empêcher de rire. Secouée par les soubresaut de son éclat, Evelys se tord le cou pour le regarder, les yeux embués de sommeil :
"- Je ne vois pas ce qu'il y a de drĂ´le", dit-elle simplement, sans le moindre sourire.
Jon croise son regard. Il a cessé de rire mais sourit d'une façon irresistiblement comique. Elle sourit alors puis lâche un petit rire. Il s'empresse d'étouffer cet éclat en proposant un baiser aux lèvres riantes. Tendre et passionné est l'échange. Long aussi et ponctuée d'embrassades, de caresses et de contacts sensuels.
"- Il faut y aller mon amour", parvient à dire Jon lors d'un bref instant ou leurs lèvres se sont disjointes.
"- Tu m'as dit qu'il attendrait", s'exclame la jeune femme.
"- Oui", répond Jon en souriant, "mais pas indéfiniment. A mon avis cela ne le dérangera pas beaucoup de partir, ne serait-ce qu'avec la moitié de la fortune qu'il m'a demandé. De plus il n'y a pas d'autres bateaux avant des semaines.
- bien", lâche Evelys à contre coeur, suivi d'un long soupir.

-----------------

Se lever, se vétir et prendre leurs affaires ne prend pas beaucoup de temps, si ce n'est les baisers fugaces qui illustrent leur amour au plus mauvais moment de cette entreprise de départ.
Non sans mal ils quittent la maison des Blanches. Il fait nuit noire. Ils se précipitent vers le port et parviennent sur le quai. Juste à temps car le capitaine vient de donner l'ordre de relever la passerelle.

"- Nous somme là !", crie le jeune homme déjà à bout de souffle.
Le capitaine les avise depuis le pont. Il donne l'ordre aux marins de remettre la passerelle en place et tandis que les 2 amoureux se lancent sur les planches craquantes le capitaine vient Ă  leur rencontre.
"- Un instant mon gars ! Je veux voir ton or d'abord", demande-t-il d'un ton autoritaire.
Jon s'arrete, reprend son souffle. Le toise. Le capitaine Dradon n'est pas très grand. Pourtant sa masse est très nettement supérieure à celle de Jon. La passerelle exprime son déplaisir à accueillir à la fois autant de voyageur. Sans doute le capitaine aurait-il suffit à la faire grincer autant, songe alors Jon. Un sourire légèrement inquiet semble indiquer un état d'esprit similaire chez Evelys.
"- Bien sur", répond finalement Jon.
Il pose son sac sur la passerelle, entre ses jambes pour éviter qu'il ne tombe à l'eau, entre le quai et le pont du bateau. Il y cherche frénétiquement une bourse de cuir. L'ayant trouvé, il l'extrait triomphalement pour l'agiter devant les yeux du capitaine obèse. Ce dernier tend la main et le jeune homme lâche tout simplement la bourse afin qu'il la récupère et ajoute :
"- Le reste de ma part, celle de ma compagne, et un supplément non négligeable pour disposer d'une cabine confortable."
Un éclair d'intérêt semble traverser le regard de Dradon. Sans cesser de faire souffrir la passerelle à chacun de ses gestes, il regarde le contenu de la bourse. Un sourire illumine sa face joufflue. Sans un mot, il se retourne et retourne sur le pont. La passerelle poussera son dernier gémissement lorsque les deux amoureux prendront pied sur ce même pont. Dradon se tourne vers un mousse et lui vocifère :
"- Qu'est-ce que tu attends toi ?! Va donc conduire ces personnes distinguées dans leur quartier !"
Le mousse, un robuste bonhomme, ne se laisse pas démonter par l'absurdité de l'ordre et demande :
"- Ouais C'p'taine ! Mais c'est oĂą ?
- Dans mes quartiers, imbécile !", répond Dradon. "Et puis appareillez, bandes de feignassses. Fini la révasserie", ajoute-t-il au reste de l'équipage interloqué par la dernière révélation du capitaine qui n'aurait surement pas laisser ses quartiers à des étrangers sans une excellente raison.

-----------------

Les quartiers du capitaine sont austères, mais confortables. Après y avoir laisser ses affaires, le couple monte sur le pont pour y prendre l'air du large. Déjà, les lumières de Windhowl sont loin à l'horizon. La "Palouche", file vite sur l'eau. Il eut été sans doute plus prudent de partir en journée, mais le capitaine Dradon n'aimait pas trainer plus que de raison à terre. Peu importe. Blotti l'un contre le l'autre à la poupe, chacun une main sur la balustrade, ils observent leur royaume s'éloigner d'eux. Une vague nostalgie silencieuse s'empare des 2 êtres.
"- Nous voici parti", déclare Jon. "Nous verrons ma mère dans 2 ou 3 semaines maintenant."
Evelys acquiesce silencieusement d'un signe de tĂŞte.
"- Je suis si heureux...
- Moi aussi..."

Par Deirdre le 4/12/2001 Ă  16:45:16 (#502634)

bon voyage

Par Kallista le 4/12/2001 Ă  16:58:37 (#502672)

Apercoit les deux tourtereaux embarquer sur le navire Ă  quai.

Tel une brise soufflant dans les vertes prairies de WindHowl, Kallista s'approche du bateau qui appareille.

Un étrange sourire se dessine sur ses lèvres quand elle voit sa "soeur" se serrer contre cet homme en qui, il n'y a encore pas si longtemps, Kallista n'avait aucune amitié.


Sur les flots sombres de la vie,
Deux âmes s'unissent.
Au delĂ  des mots d'autruis,
Ils feront tout pour que leur Amour aboutisse.

Silencieusement, nimbée d'une aura apaisante et puissante à la fois, Kallista confère la bénédiction de Syl sur le navire et ses passagers.

Que Syl veille sur vous deux... ma soeur et mon nouvel ami.

Sur ces mots, Kallista dessine d'étranges arabesques avec ses mains, traçant dans la nuit des glyphes luminescents.
Quand les signes s'effacent, laissant Ă  l'Ă©ventuel badaut une image persistante dans les yeux, la sylienne a disparu.

Par McYavel le 4/12/2001 Ă  17:02:31 (#502685)

McYavel avait lu le mot déposé par Evelys dans le temple de Syl
il s'était décidé par cette fraîche matinée de dire au revoir au couple au port de Windhowl.

Lorsqu'il arriva en vu du seul bateau au port ce jour là, il observa leur bonheur quelques instants dans l'encoignure de la porte. Sa robe couleur sang claquait dans la légère brise venu du large.

Il se décida à faire un pas en avant puis s'arrêta. Il ne voulait en aucun cas casser le moment magique qui se déroulait sous ses yeux. Il attendit stoïquement emitouflé dans sa robe, la capuche rabatue sur sa tête pour avoir plus chaud que le bateau parte.

Quand le bateau quitta le port, emportant les deux tourteraux loin de se royaume, il sortit son mouchoir orange et l'agita faiblement ne se disant qu'ils lui manqueraient.

IL tourna les talons et se dirigea, d'un pas trainant, dans la direction oposée au bateau.

Par Darsh le 4/12/2001 Ă  17:35:00 (#502808)

*la jambe sur un promontoire de terre, surplombant le port, le coude sur le genou plié, regarde au loin le bateau et les amants s'échapper*
*marmonne pour lui mĂŞme,en sachant qu'il sera entendu*

Abishai ... si tu lui fait le moindre mal,physique ou non...
Ami ou pas je t'Ă©clate !

Premiers jours de la traversée

Par Evelys le 4/12/2001 Ă  18:46:09 (#502926)

Sous le ciel gris et bas, la mer avait un aspect oppressant.
La jeune femme n’avait jamais pris la mer et l’anxiété se lisait sur son visage.
Son compagnon la serra dans ses bras, la rassurant instantanément de sa présence.

L’embarcation se soulevait et s’enfonçait sous l’influence de la houle. Ils atteignaient la pleine mer.
Les courants marins devenaient beaucoup plus forts au fur et Ă  mesure de la progression du navire.
Des îles apparurent, couvertes de saules et de roseaux où nichaient des hérons et des grues ainsi que quantités d’autres oiseaux migrateurs.

Un indescriptible bien ĂŞtre sÂ’empara de la jeune femme qui contemplait le spectacle que lui offrait la nature.
Jon fronça les sourcils d’un air inquiet en regardant le ciel couvert de nuages :
- Viens ma douce, retournons Ă  la cabine, le ciel nÂ’annonce rien de bonÂ…

La jeune femme acquiesça sans mots dire et suivit son compagnon. Ils traversèrent le pont sous le regard inquisiteur des matelots.
Marchant l’un à coté de l’autre, le bras de Jon posé sur l’épaule de sa compagne et celui d’Evelys lui enserrant la taille ; ils se haterent à leur cabine.

Sur le pont la nuit venait de tomber et les nuages cachaient la plupart des Ă©toiles. Il Ă©tait plus tard quÂ’ils ne lÂ’auraient cru.

La cabine était sombre, Jon alluma les deux bougies posées de chaque coté du lit, il annonça :
-Evelys, jeÂ…
-Pas maintenant, l’interrompit-elle en le prenant parle cou et en posant ses lèvres sur les siennes.

Ce baiser passionné dura si longtemps que Jon se dit : Elle a raison nous discuterons plus tard.
Très vite, il oublia tout ce qui l’entourait, jusqu’aux cris des marins sur le pont, occupé qu’il était à explorer et à redécouvrir le corps de son aimé.
Ils s’endormirent et ce fut le froid qui peut avant l’aube les réveilla.
Ils se vêtirent, un sourire de bonheur aux lèvres et se rendirent sur le pont.
Les nuages avaient fait place Ă  un soleil radieux.
Jon enlaça sa compagne et profita du vent marin soufflant sur son visage.

La traversée continuait…

Arrivée au port

Par Evelys le 6/12/2001 Ă  20:55:11 (#506986)

L’air était frais et chargé de poussière, Jon debout sur le pont contemplait les doux contours des collines érodées qui bordait la côte emmenant vers le port de Brivert.
Hormis les pales contours grisâtres des montagnes qui s’élevaient au loin, les plaines s’étendaient à perte de vue. Encore quelques heures et il apercevrait le port.

Evelys quant à elle était allongé dans la cabine, essayant de prendre un air détendu. Elle décida de ne plus se poser de questions sur la durée du voyage ni sur ce qui l’attendait une fois arrivée. Mieux valait vivre au jour le jour, et ne penser qu’au lendemain. Il serait bien temps ensuite de s’inquiéter de l’accueil que lui réserverait la famille de Jon.
Les mouvements du bateau la bercée, elle savait qu’ils atteignaient bientôt leur objectif et lutter pour ne pas se rendormir. Mais la tentation était trop forte et elle ne tarda pas à fermer les yeux.


Cela faisait près de trois semaines qu’ils avaient pris la mer à bord de la "Palouche" sur une mer d’huile dont ils ne virent finalement
que la couleur des levés et des couchers de soleil, réservant le plus
clair de leur temps Ă  des occupations plus plaisante que celles des
marins affairés.

A travers la brume poudreuse, Jon aperçut au loin un faible mouvement, il restait là debout dans le crépuscule. Il vit autour de lui l’agitation qui régnait sur le pont, et il compris que les matelots préparaient l’accostage du navire.

Il se dirigea à tâtons dans la demi-obscurité pour rejoindre sa cabine.
Quand il pénétra dans la petite chambre, il resta là un moment silencieux à contempler la jeune femme endormie. Un sourire de joie illumina son visage.
Il se recula, alla chercher une bougie dont il alluma la mèche. Devait-il la réveiller ? Oui, se dit-il, mais doucement et tendrement.
Il se glissa sous les couvertures, lovant son corps contre celui de sa compagne. Evelys marmonna dans son sommeil et se retourna vers le mur.
Jon la caressa doucement, heureux de sentir sous sa main la chaleur de son corps.

-Jon ? Demanda une voix ensommeillée.
-Oui ? Murmura tÂ’il.

Evelys se retourna et ouvrit les yeux, étouffa un bâillement.

-Nous sommes arrivés n’est-ce pas ?

Jon lui sourit tout en hochant la tête d’un signe positif. Alors la jeune femme se leva contre son gré et enfila ses vêtements.
Ils se rendirent sur le pont, l’agitation etait a son comble, les marins criaient en tout sens et déchargés les soutes du navire.
Jon aida la jeune femme à descendre et du coin de l’œil il aperçut le capitaine Dradon qui les regarda s’éloigner et disparaître dans le brouillard de poussière.
Evelys ressentait une pointe d’inquiétude…

Par Deirdre le 7/12/2001 Ă  0:34:41 (#508044)

Pendant ce temps Ă  Windhowl, Deridre prend la main de kalli et lui sourit

erratum

Par Deirdre le 7/12/2001 Ă  0:35:22 (#508046)

(j'ai reussi a faire une faute honteuse dans le nom de mon perso qd meme...)

Un membre de moins...

Par Kallista le 7/12/2001 Ă  9:11:44 (#508600)

Le jour se lève sur Windhowl et son port où Kallista regarde l'horizon.

L'air salin et frais venu du large la ravigotte.

Elle porte son attention sur le parchemin qu'elle a dans les mains et relis les quelques lignes ecrites d'une main hésitante.



Ma fille...

Je sais que jamais les mots que je pourrai te dire ne rattraperont tout le mal que je t'ai fait. Mais laisse moi néanmoins essayé.

Malgrès les fréquentes visites que tu me fais, à ma demande, je sens chez toi une certaine distance... justifiée !

Saches, mĂŞme s'il est pour moi, encore aujourd'hui, difficile de comprendre tes choix sexuels, je t'aime autant que quand tu Ă©tais toute petite, quand je pouvais encore te prendre dans mes bras.

Jamais tu n'as voulu me présenter tes "compagnes" et je ne sais pas si j'aurai voulu les rencontrer. Je me doute... je suis sur que ce sont des femmes très bien et qu'elles te rendent heureuse. Tu ne serais pas avec elles sinon !

Enfin voilà, je t'ecris ces quelques mots... sans doute les derniers. Car je me fais vieux et il est temps pour moi de rejoindre ta pauvre mère.

Je t'aime ma fille et j'est l"espoire de ne pas te revoir avant longtemps la oĂą tous se retrouvent apres une vie bien remplie.

Adieu,

Arthurus Thornvald

P.S. : Mademoiselle Kallista,

J'ai la charge et la grande peine de vous faire parvenir ce parchemin et de vous annoncer le décès de votre père.

Je dois vous prévenir que la lecture du testament se fera ce week-end, dans la maison de feu votre père.

En vous présentant toutes mes condoléances,

Trévor Daverne
Notaire et avocat



Kallista relève son visage barbouillé de larmes et laisse retomber ses bras le long de son corps, lachant le parchemin qui s'envole, tels les âmes quittant leur corps, vers le large, pour disparaître dans l'écume de l'océan.

Elle se détourne et rentre d'un pas sans force jusqu'à chez elle pour y préparer ses affaires. Elle attendra le réveille de sa famille avant de partir.


(HRP : voila, je suis absente ce WE pour cause d'IRL Ă  Lyon. A dimanche soir ou Ă  lundi ;) )

Par McYavel le 7/12/2001 Ă  9:49:52 (#508702)

McYavel s'installe à la table de sa salle à manger. Il en caresse doucement le doux bois au grain fin. Poser sur la table à coté de lui trone une feuille de son plus beau papier, de celui sur lequel il écrit ses diverses formulent magique.A coter de la feuille, un encrier reste sagement à sa place Il contient la plus belle encre qu'il possède.

McYavel saisi délicatement la plume qu'il a soigneusement choisit et la trempe dans l'encre.

Il Ă©crit sur le velin, d'une main sure et rapide.

Douce Evelys,

J'espere que tu as fait un bon voyage sur une mer calme et dans de bonnes conditions. J'espere aussi que les marins ne t'ont pas trop ennuyée mais je sais que Jon t'aura protegée tout au long de ce voyage qui pour toi est une première. J'espere aussi que tu n'as pas été malade et que tu ne t'es pas trop ennuyée lors de cette longue tranversée.

Je suis sur que tu t'inquiete de la réaction des parents de Jon, tu ne devrais pas. Ils sont très gentils, d'ailleurs tu as déjà du rencontrer Ombre Blanche et peut être même sa femme, Ashley Blanche ?

En tout cas, je te souhaite tout le bonheur possible et imaginable, je sais que tu te comporteras très bien et que tu enchanteras les parents de Jon par ton merveilleux sourire et ta joie de vivre.

Ne reste pas trop longtemps partie loin de goldmoon, tu nous manque à tous et n'oublie pas d'écrire un petit mot à ton père, je suis sur qu'il est mort d'inquiétude.

Je t'embrasse
Mc

McYavel sorti de la maison et se dirigea vers le pigeonnier. Il joua au passage quelques instant avec ses enfants dans la cours.

Il pris son pigeon le plus résistant. Attacha le message à sa patte. Fit quelques passes avec les mains et dit : "Va fidèle pigeon, trouve dame Evelys au delà des mers".

Il regarda le pigeon disparaître à l'horizon dans la direction prise par le bateau quelques jours plutot.

C'est en souriant qu'il regagna sa maison ou sa femme l'attendait sur le pas de la porte, le sourire aux lèvres.

(petit ps kalli pourquoi ne pas avoir creer un autre thread?)

Par Deirdre le 7/12/2001 Ă  10:00:30 (#508735)

S'approche de sa douce, devnie qu'une triste nouvelle lui a été annoncée par ce parchemin. La prend dans ses bras et la caline

Par Kallista le 7/12/2001 Ă  10:01:28 (#508737)

(parceque !!!! :p en fait j'y ai pensé juste apres !!! et puis le post original parle de départ et là j'en fait un aussi... donc ce n'est pas si hors sujet que ca :rolleyes: )

Par Foehn le 7/12/2001 Ă  10:04:44 (#508742)

*Joue dans la cours avec son père, se cachant comme le lui a appris môssieur Thuvvik, pour mieux guiliter les gens*

Dis pôpa... Z'espère que môssieur Abishaï il reviendra bientôt... Ze crois qu'il a des choses à m'apprendre...

arrivée

Par Kallista le 7/12/2001 Ă  18:52:52 (#511045)

... Un dernier baiser langoureux a chacune de ses compagnes, Deirdre et Taxa.
Chacune détourne le regard quand Kallista embrasse l'autre.

Les yeux encore rouges, elle se retourne et pénètre plus à l'intérieur du cercle.
Elle inspire un grand coup et recite les paroles du vortex qui la mènera à la ville de feu son père.

Alors que la mana l'entoure de toutes parts, Kallista jette un regard attendri sur ses filles déjà si grandes... mais encore si jeunes.

Un dernier signe de la main Ă  toutes sa famille.
Et dans un grand éclair de lumière elle disparait soudainement.

A sa vue, pendant un bref moment d'adaptation, se superpose cette ville qui n'est pas la sienne et sa famille comme une image fantome.

Apparait, de derriere un dolmen de ce cercle peu connu, un homme richement vĂŞtu. Il s'approche d'un pas respectueux de l'archimagicienne.


- Mademoiselle Kallista Thornvald ?

- Oui...
Triste sourire

- je suis Trévor Daverne, l'avocat de feu votre père. Je vous attendais.

- J'ai vu !

Sans dire un mot de plus, il se détourne et se dirige vers la ville.
Sans poser de question, Kallista suit cet homme qui la conduit vers une maison de douleur infantile.

Par Mabou le 7/12/2001 Ă  20:13:40 (#511429)

Evelys..

Mon Amie..

Que de temps et d'épreuves avons nous parcourus toutes deux, parallèlement, sans parfois se croiser durant des lunes voire des mois..Mais,.. Ressentant les mêmes choses, aux mêmes moments..
Affrontant les mĂŞmes Ă©preuves, se croisant, se racontant notre vie, nos joies et surtout nos peines..
Se consolant Mutuellement, en Ă©sperant pour nous deux un avenir Meilleur..

Voila que maintenant, toi aussi, tu as trouvé l'Amour.. Un Amour Pur et Sincère.. Comme je l'ai trouvé également..

Je te souhaite tout le Bonheur Evelys, avec l'Homme de ta Vie ..

Bon voyage mon amie

*sourit ™*

Par Moneta le 8/12/2001 Ă  12:14:31 (#513836)

Fait sa prière du matin, puis va se préparer pour accompagner maman Deirdre au cercle.

A une petite pensée pour maman Kallista...

Soupire

Prend son livre de sorts et s'en va rejoindre sa mère qui l'attend dehors.

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