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Triste condition...

Par Nicolo Paganini le 5/9/2001 à 2:40:00 (#360254)

Les premiers rayons de l'aube commencaient a percer péniblement mais inexorablement la pénombre qui berçait mes longues heures de veille.
Je sortais difficilement de ma torpeure. Décollant doucement l'archer des cordes de mon violon, je laissais mourrir la dernière note comme un dernier souffle. Le dernier souffle de cet homme qui gisais à mes pieds. Son visage et ces yeux gardaient dans la mort, le rictus d'une terreur indiscible. Ce rictus que je l'avais maintes et maintes fois vu sur le visage de mes victimes. Qui était il?
Je ne le savais pas, d'ailleur celà n'avait pas une grande importance. C'était le prix a payer, et il s'en était aquité.
Je rangeais doucement l'instrument dans son étui et le fermais. Puis, j'entrepris là sinistre besogne de me débarasser du corps. Je chargais le cadavre sur mon épaule et allais m'en débarraser dans la crypte. Ce ne serait qu'une victime de plus à imputer aux morts vivants de la crypte, c'était chose courante en ces lieux maudis.
Je regagnais discrètement mes appartements.
Une odeur de mort baignais encore dans la pièce. Que m'était il arrivé, où était passé la douce innocence de mes jeunes années, et qu'est ce qui m'avais poussé à accepter cette malédiction qui pèse tant sur mes épaules.

Par Nicolo Paganini le 5/9/2001 à 13:55:00 (#360255)

la suite arrive bientot si ça interesse quelqu'un...
non? personne? bha pas grave, je la mettrais quand même pour ma satisfaction personnelle :maboule:

Par Nicolo Paganini le 6/9/2001 à 6:00:00 (#360256)

Je m'asseyais dans mon fauteuille et scrutais désespérément mon reflet dans le miroir en quête d'un dernière once d'humanité. En apparence, rien n'avait changé, les longs cheveux couleurs de jaie, le regards sombre, les traits fins, pourtant la cruauté avais remplacé la douceur.
Je me laissais gagner par le sommeil et m'abandonnais au tumulte de mes cauchemards. Il y a bien longtemps que je n'avais eu un sommeil réparateur et avais réduis cette tourmente au minimum.
Les images m'assaillaient, dans les brûmes de ma conscience défaillante, je revois cette sinistre silhouette drappé d'une cape couleur ébène, la capuche masquant en grande partie son visage. Je maudis encore ma rencontre avec cet être répugnant.
A l'époque, j'avais pris l'habitude d'aller jouer du violon près du pont de Light Heaven, j'y regardais les apprentis mages et les jeunes bretteurs se faire la main sur la faune locale sous le regard amusé de leurs ainés. Je leurs donnais par mes compositions enjouées, un peu plus de coeur à l'ouvrage. J'en surprennais même parfois qui battaient la mesure à grands coups de hache sur le pauvre gobelin qui avais eus le malheur de passer à la portée de leur main. Je m'en amusais beaucoup en faite, car mes accelerations de tempo donnais souvent lieu a une cacophonie de hurlements de gobelin, et de joyeuses crises de fou rire parmis mon public. A ma manière, j'étais heureux, goûtant sans retenue aucune, tout les plaisirs que cette terre pouvais m'offrir, le vin, les femmes et la bonne chaire.
Puis il croisit mon chemin. J'avais plusieures fois remarqué cette homme à l'air énigmatique rôdant aux alentours du pont mais c'était la première fois qu'il m'adressait la parole.

- Bonjours, jeune homme.

Un peu étonné, je lui rendis son bonjours, plus par politesse que par intéret. Ce genre d'individus n'exitant pas franchement ma curiosité.

- Je vous ais entendu jouer mon ami... et je puis dire sans me tromper que votre talent ne connais pas d'égal en ces terres, vous m'avez impressionné mon ami, vous mettez tellement de votre coeur dans les pièces que vous executez que j'ais encore du mal à reprendre mes esprits.

Très flaté par le compliment, je l'en remerciais et l'écoutais plus avant.

- Vos interprétations sont sublimes, pourtant ... pourtant votre instrument n'est pas à la mesure de votre talant. Pour un musicien d'exeption, il faut un instrument d'exeption.

L'homme n'avais pas tors, malheureusement, toute une vie de travail ne suffirais pas a me payer un tel violon et je ne connaissais pas de mescene disposé a me l'offrir.

- Désolé Monsieur, mais ce n'est pas dans mes moyens et je crois que celà ne restera qu'un doux rève.

- Détrompé vous jeune homme, je suis disposé à vous donner cet instrument moyennant un petit travail tout simple, peut être un peu risqué pour quelqu'un d'inexperimenté mais je pense que vous vous sortirez très bien d'affaire compte tenu de l'objet de votre motivation.

Il m'exposait donc l'affaire dans tout ces détails, j'acceptais et mis au travail.

Par gorgamo le 6/9/2001 à 23:10:00 (#360257)

a quand la suite?

Par Nicolo Paganini le 8/9/2001 à 5:23:00 (#360258)

héhéhé, pour bientot, c'est gentil de l'avoir lu, je croyais que ça interressait personne

Par Lady Carmichael le 8/9/2001 à 5:58:00 (#360259)

C'est avec un grand plaisir que je suis ton aventure... Ton imagination est que des plus belle et tu lui laisse bcp de place et c super...
J'ai très hâte de lire tes prochains chapitres.

Et j'ai surtout hâte de savoir quel était ce travail???

Je suis suspendu à tes lignes...

D'une admiratrice

xxxxxxxx

Par Nicolo Paganini le 8/9/2001 à 18:18:00 (#360260)

Je me levais au chant du coq et m'équipais du mieux que je pus avec ce que je trouvais dans la garde robe de campagne de mon défunt père. Ce ne fut pas une mince affaire car le choix ne manquait pas. Des robes blanches, noires, vertes et rouges garnissaient la pendrie, et des dixaines d'objets dont émanait une lueure bleutée remplissait les coffres.
Une magnifique robe rouge attira mon interet qui retomba très vite quand j'essayais de l'enfiler. Cette robe possèdait tellement de fausses doublures, de poches cachées, de plis et de replis que je me retrouvais rapidement empétré dans un amoncellement d'étoffe rouge. Je mis facilement une demi heure à me libérer de l'étreinte pourpre de la robe. Essouflé, je portais mon intéret sur une robe noire beaucoup plus facile a porter. Des bottes, un pantalon et des gants de vieux cuir finiraient de m'habiller.
Je m'admirais dans le mirroir tout en simulant quelques combats contre de terrifiants monstres imaginaires sortis tout drois des profondeurs de l'enfer. Je m'arretais net, une question fondamentale me traversa l'esprit. Je n'allais pas me défendre des dangers de ce monde à mains nues. N'ayant aucun goût pour le corps à corps, je décidais d'écarter le métier de bretteur. Il me restait deux possibilités, l'archerie et la magie. Je courais chez l'armurier et achetais un arc et des flèches. Une occasion d'utiliser ma nouvelle arme ne tarda pas à se présenter. En effet, un gobelin avais réussi à berner la vigilance des gardiens du pont de Light Heaven et a se faufiler en ville. Je tirais une flèche de mon carquois, l'encochais puis bandais l'arc. Bloquant ma respiration, je visait le goblinoïde et décochais ma flèche...
Un hurlement de souffrance déchira Light Heaven. La corde de l'arc venais de le fouetter l'avant bras, la souffrance était terrible. La flèche avais été se ficher lamentablement à quelques mêtres de moi mais mon cris n'avait pas manqué d'avertir ma victime potentielle.
Pris de panique, je jettais mon arc au sol et me mis a courir pour échapper à ma proie qui n'avait pas tardé à devenir mon chasseur.
Il se rapprochait dangereusement, je pouvais sentir ces effluves pestilencielles se faire plus nauséabonde à mesure qu'il gagnais du terrain sur moi. Dans ma course frénétique pour la vie j'apperçus un homme en robe blanche qui révassait sur les marches du temple. Je le pris à partie.

- Aidez moi, je suis poursuivis par un monstre.

Sans lui laisser le temps de répondre je le pris par la manche, le tirais a moi puis passais dans son dos de telle manière qu'il se retrouva nez à nez avec le gobelin. Ensuite, tout fût très rapide, quelques mots de l'homme, une étrange lueure verte s'échappant de ces mains et un déferlement de roches mirent un terme à la vie du monstre.

(la suite au prochaine épisode)

Par Sir Alex Mystik le 8/9/2001 à 18:21:00 (#360261)

voui c chouli mais j'iap u lire que le 1er le reste est trop long :!p

Par Nicolo Paganini le 8/9/2001 à 18:25:00 (#360262)

Merci mais tu devrais essayer de lire la suite, elle est relativement drôle

Par Lady Carmichael le 8/9/2001 à 18:55:00 (#360263)

j'en veux encore...

Bisous...

une Admiratrice

Par Nicolo Paganini le 14/10/2001 à 1:22:00 (#360264)

je vous prépare la suite si ça interresse quelqu'un

Par Subtil le 14/10/2001 à 5:50:00 (#360265)

*remontes*

Allé zouuu moi aussi ca m'interesse !

Par Strahd le 15/10/2001 à 23:30:00 (#360266)

(hop)

Par Strahd le 20/10/2001 à 10:13:00 (#360267)

(hop)

Par Nicolo Paganini le 20/10/2001 à 16:33:00 (#360268)

Je reprenais difficilement mon souffle.

- Merci Messire, vous m'avez sauvé la vie, je ne sais pas ce qu'il serait advenu de moi si vous n'aviez pas été là.

- Ce n'est rien jeune homme mais a l'avenir, essayez d'être plus prudent. Les cimetierres sont de pleins de jeunes imprudents.

Mon souffle était encore alletant.

- Toutes ces émotions me font manquer a mes devoirs, Je me présente, Nicolo Paganini.

Sur ces mots, je m'inclinais.

- Enchanté, mon nom est Lekam...

Je présentis qu'il allait continuer mais c'était repris. Il s'inclinais a son tour.
En signe de remerciement, j'entrepris de l'inviter à boire un verre a la taverne. Il fit un léger signe d'acceptation du regard et me suivi.
Cet homme m'intriguais au plus haut point. Que pouvait il cacher?
Qu'est ce qui pouvait le pousser à me cacher son identité?
La taverne de Lighthaven était un endroit que je connaissait très bien pour y avoir maintes et maintes fois effectué des prestations scéniques, courru les jupons des serveuses et occasionnellement sombré dans l'éthilisme en recherche d'inspiration.
Pour tout dire, j'était plus souvent qu'à mon tour en recherche d'inspiration et je laissais souvent tout le cachet de mes représentation au bar.
Nous nous assayâmes au fond de la salle. La taverne était baignée du soleil de cette douce matinée d'été. A cette heure matinal, il n'y avait que très peux de monde. Je commandais deux choppes au tavernier qu'il nous amena prestement. Je notais l'urgence du service et le regarde presque appeuré du tavernier.
Mais qui était donc le personnage qui m'avait sauvé pour inspirer de la peur au tavernier qui, en sont temps, avait repoussé les hordes skraugs aux portes de Stoneheim. Je ne montrais rien de mes soupçons.
Je levais mon verre.

- A la santé de mon sauveur. Je ne serais pas là sans vous et je vous en remercie.

- Ce n'est que peux de chose.

Un petit sourire aux lèvres, il entreprit de me questionner.

- Je vous observais tout à l'heure, avec votre arc et entre nous soit dit que vous m'avez beaucoup amusé. Visiblement, l'archerie n'est pas votre truc, vous devriez songer à une autre spécialité. De plus, vous portez l'équipement d'un utilisateur des Arcanes de la magie, pourquoi n'utilisez vous pas celle ci pour vous défendre ?

Un peu honteux, je lui répondis:

- J'ais trouvé cet équipement dans les malles de mon défunt père, il était mage de son vivant mais une sinistre expérience l'as emporté alors que je n'étais qu'un enfant. Alors je me demande si la magie est réellement faite pour moi ?

- Je peux vous assurer que la magie est faite pour vous, très peu d'homme, avec si peu d'experience, sont en mesure de porter la robe que vous portez, elle est protégée par une très puissante magie et elle n'offre ces pouvoir qu'a une personne digne de la porter.

- Vous avez surement raison mais l'étude de la magie coûte cher et je n'ais pas les moyens de me payer les services de professeurs compétants en la matière... peut être que...

Mes mots restairent en suspent mais il releva très bien l'allusion et me répondis:

- Je suis désolé, je ne pourrais malheureusement pas me charger de votre formation personnellement, mes fonctions me prennent tout mon temps, par contre, je serais heureux de financer vos études. Je vois pour vous un grand avenir, et je vous vois servir une cause qui vous dépasse pour le moment. Je ne peux rien vous en dire pour l'instant mais le moment venu, vous le saurez.

Il se leva lentement, sortit des replis de sa robe une bourse qu'il posa sur la table et un parchemin qu'il me tendit.

- Voici quelque argent pour payer vos études et ce parchemin. Lorsque que vous serez en mesure de le lire, alors vous serez prêt a suivre votre destiné. Nous nous reverons alors. A bientôt...

Il disparut en une explosion qui laissait derriere lui une étrange odeur de souffre.

(la suite au prochain épisode)

Par Sombre Lune de Feyd le 20/10/2001 à 18:13:00 (#360269)

Impatiente d'entendre la suite du recit

Sombre Lune
Pretresse d'Ogrimar

Par Nicolo Paganini le 20/10/2001 à 18:20:00 (#360270)

je vais essayer de me depecher d'écrire là suite

Par Gengis-OL le 20/10/2001 à 18:23:00 (#360271)

*passe par là...*
:ange: :ange: :ange:

Par *Arwen* le 20/10/2001 à 18:31:00 (#360272)

Très joli ! *applaudit* La suite

Azulynn Sylrus

Par Lady Carmichael le 21/10/2001 à 7:11:00 (#360273)

HUMMMMMMMM!!!!!

A quand la suite... Tu nous fait languir!!!!

Mais j'aime beaucoup ton histoire alors je serais patiente...

Sans la patience je ne serais pas une bonne Pretresse...

Bisoux et continu ta belle écriture

D'une admiratrice

Par Nicolo Paganini le 25/11/2001 à 1:32:00 (#360274)

remonte le poste pour Xoom (hop)

Par xoom le 25/11/2001 à 1:50:00 (#360275)

ah je le cherche dans les méandre du forum !!! oué frenchment jaime bcp et pourtant moi et le RP c pas trop ca , *attend la suite*

Par Nicolo Paganini le 25/11/2001 à 2:41:00 (#360276)

Marchi :D
Faut que je m'y remette, ça fait longtemps que je le dis mais faut que je le fass

Par xoom le 25/11/2001 à 4:13:00 (#360277)

* teste un truc *

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