Ame soeur

Par Razielo Drake le 2/11/2001 à 8:53:00 (#260458)

Amour, folie ou destinée
Ingrate nuit qui fete les morts
Les larmes des anges sont elle pures
Sillon béant où ne coule que remords
A ces terres foulées de mon armure

Ne laissons pas nos ailes se refermer
Bercés par ces musiques aux voix meurtries
Impossible de continuer séparés, vidés
Esquisse d'un monde à cet océan franchi

Si tu savais tout ce que j'te jure
L'Humain pourrait se retrouver orphelin
Les fenetres se fermer par la croix du malin
Et Mano retomber sous cette tombe à la pierre si dure

Alanis, ange de ma vie.
Isabelle, ma douce amitié
Depuis qu'on a veilli
Est-ce tout ce qu'une année peut nous donner?

Par moork le 2/11/2001 à 12:58:00 (#260459)

(*Hoooooooo Hisse !* )

Par Cano Mathieu le 2/11/2001 à 13:02:00 (#260460)

Hum.. ?

(mi-IRL, mi-RP, chaud ça comme poème...)

Par Mae le 2/11/2001 à 14:27:00 (#260461)

*passe doucement*
*le coeur remplie de tristesse.. esquisse un sourire a Razielo*

Par *Alanis* le 2/11/2001 à 16:05:00 (#260462)

Razi, toi ma raison
Fred, toi mon âme sur
Me laissant bercer par des chansons
Lieu de doux refuge, loin de la peur

Que dire dautre que laisser le temps filer?
Toi, compagnon dun jour ou dune année ...

Par Wakan le 2/11/2001 à 16:57:00 (#260463)

hop ! hop ! le poeme de Razi car ils sont beaux les poemes de razi

Par SR Gandalf-3RD le 2/11/2001 à 20:21:00 (#260464)

Assis au coin d'un feu, adossé à un arbre, mes yeux contemple l'immensité du ciel étoilé, je frissones dans le vent glacé de l'automne... aux bruits furtifs des milles et un dangers de cette nuit frigide; mes pensées s'envolent au gré du vent

Que ne puis-je te dire pour t'apaiser, mon ami?
Toi qui, il y a si peu de temps,
As tenté d'atténuer les blessures de mon coeur.

Soupire...
Voit un visage se former dans le firmament de la voûte céleste...
Sourit tristement et tente de s'endormir...


[ 02 novembre 2001: Message édité par : SR Gandalf-3RD ]

Par Gaëlle Drake le 3/11/2001 à 0:46:00 (#260465)

L'amitié...

Comme le fil de l'eau
Elle respire et coule inlassablement
Elle voit le jour, elle est sans tache
Puis subtilement, elle se transforme
Elle adopte les couleurs des moments présents
Et s'ajuste encore

Tantôt sereine et rassurante
Tantôt agressive et dangereuse

Elle coule toujours et sans arrêt
Mais elle grandit...
S'abreuve de tout ce qui passe
Et peu à peu, risque de perdre de sa pureté
Si un jour ne trouvant plus où se ressourcer

Devenant toujours encore plus forte
Elle risque de se confondre avec d'autres
Pour s'y perdre, indéniablement
A moins qu'elle ne soit reprise en main...