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Poèmes anciens et récents (Gaean, Hesperides, Tara, Sephrenia, Myaly)

Par Muabdib Serra le 30/10/2002 Ă  14:54:19 (#2440849)

J'ai retrouver dans mes archives

Quelques vers de ma composition
Vers parfois chargés d'émotions
Parfois simples vers de mirlitons
Souvent emplis de tendre passion
Et j'y ai rajouté sans façons
Les dernieres parutions

Tout cela pour que, mémoire vive



Pensées pour Dame Gaean

Gaean, Ă´ toi mon Amie
Un démon, ton âme a pris

Que peut-il faire d'une âme si pure
Que de la toucher, il en périrait
O toi, qui porte le nom de Tenebrae
De ton pouvoir ne soit pas si sure

Tremble créature d'Ogrimar
Crains pour tes membres Ă©pars

Pour sauver cette si Noble Dame
Nous sa famille et tous ses amis
En ce jour, nous nous sommes unis
Par la force tu rendras cette âme

Ne crains rien ma chère Amie
Bientôt de ce démon, aurons fini

Tes enfants, tu prendras dans tes bras
Ton époux, de nouveau tu chériras
Tout cela je le sais au fond de moi
Je t'envoie pensées d'espoir et de foi

Courage Gaean ma chère Amie
Bientôt tu renaîtras à la Vie



Bon anniversaire mon Amour

En ce jour de ta naissance, Ă´ toi mon doux et bel ange
Te rappelles tu tes babillements, nue dans tes langes
Tu étais la fierté de tes parents, la joie de la maison
Mais déjà ton destin était tracé, par la marque du dragon

Destin fait de peines et de joies, comme tout un chacun
Tes parents tu as perdu, mais Gaean et Lobo ont pris ta main
Dans notre monde de Baazul, toi la petite fille apeurée
Tu es devenue une belle jeune fille, de nouveau aimée

Ta vie, ton apprentissage, tranquillement se sont déroulés
Le temps doucement a passé, merveilleuse jeune femme tu es
Ton cur nétait pas encore pris quand un jour je tai croisé
Nos yeux, nos curs se sont aimés, mais nos lèvres nont parlé

Puis nous nous sommes revus dans les sous-sols de Silversky
Nos lèvres enfin ont pu décrire ce que ressentaient nos curs épris
Les mots damour, tels de la lave sortaient de nos curs brûlants
Et du vieux magycien en peine, tu as fait ton prince charmant

Comment pourrai je te remercier, toi qui mas redonné la vie
Toi qui mas fait retrouver les mots doux, quand je nétais que cris
Faibles sont les mots de lhumble poète quand il parle de toi
Pâles sont les vers, quand pour toi je veux décrire mes émois

Bientôt, devant Syl et les hommes nous serons unis pour léternité
Nos curs depuis longtemps saiment comme personne ne sest aimé
Nos âmes à lunisson, pour la vie, nous irons par les chemins
PrĂŞchant lAmour et la Sagesse de Syl, vers ce qui sera notre destin

Mais aujourdhui, en ce jour, sur cette terre
Tara mon amour, ma princesse
Tara mon ange, ma déesse
Je te souhaite un bon et heureux anniversaire



Ode à une greffière

Que tes vers chantent, gente greffière
De cette Ode tu peux être fière
Mais que serions nous, pauvres magistrats
Sans toi pour retranscrire nos débats

Pour la justice sans cesse tu travailles
Afin que celle ci enserre dans ses mailles
Tout ce qu'Althéa compte de hors la loi
Tout ceux qui enfreignent les Lois

Tu cours d'une déposition à une plainte
Tu compatis sans Ă©motion feinte
A la douleur des pauvres gens
Volés ou occis par quelque mécréant

Mais tu restes inflexible dans ton combat
Qui est celui de faire régner la Loi



Ode Ă  Tara

Tara mon amour,

Tu es fille de Poésie,
Poésie, fille de Réflexion,
RĂ©flexion, fille de MĂ©ditation,
MĂ©ditation, fille de Savoir
Savoir, fils de Recherche,
Recherche, fille de Grande Connaissance,
Grande Connaissance, fille dIntelligence
Intelligence, fille de Compréhension
Compréhension, fille de Sagesse
Sagesse, fille de Syl
Syl, fille dArtherk



Pèlerinage

Pour te ressourcer, tu es partie en pèlerinage
Dans ce pays qui a traversé tous les âges
Mon amour, tu es partie en ce beau matin
Vers cette île hors du temps, la verte Eyrin

Dans ce pays, oĂą femmes et hommes sont fiers
Tu iras humblement aux cercles de pierres
Tu y trouveras traces des Elfes, fées et korrigans
Etres mythiques qui sont en mémoire présents

Peut ĂŞtre verras tu en songe la belle Avalon
Princesse tu seras Ă  la cour dUter Pendragon
Tu repenseras Ă  ton enfance, Ă  ta maison,
Tu chercheras la réponse à cette marque, ce dragon

Laisse toi, par la grande sagesse de Syl, emporter
Elle te donnera la réponses aux questions posées
A travers les cercles de pierres, avec moi communiquer
Tu pourras, car avec toi seront toujours mes pensées

Je sens déjà ma Kyramis, notre pierre de destinée
En symbiose avec la tienne, je la sens vibrer
Je vois ce que tu vois, comme par mes yeux
Je ressens tes sensations, quel sentiment merveilleux

Jattendrai, au cercle de Stoneheim, ton retour
Le temps passera lentement, je compterais les jours
Mais je sais que lorsque enfin tu reviendras
Heureux et amoureux, je te prendrai dans mes bras.




Mon Amour

Mon amour, ma princesse, que le temps va ĂŞtre long
Tant de jours sans se voir avant notre union

Chaque jour, chaque instant, jaimerai les passer près de toi
Pour quensemble nous partagions notre amour et nos Ă©mois

Mes pensées ne sont que pour toi, mes rêves, mon cur
Tout est dirigé vers toi qui me donne tant de bonheur

Sans cesse se succède, en mon âme les images de toi
Mon ange, ma déesse, par ton amour tu me fais roi

Tu mas tout donné, près de toi, je ne suis que bonheur
Quand je chancelle, tu es là, et de moi sévanouit la peur

Le jour, le vent mapporte la senteur de tes cheveux
La nuit, le ciel me rappelle les Ă©toiles de tes yeux

Mes rĂŞves sont pour toi, lorsque seul le soir je me couche
Même si je sais que demain, je ne serai réveillé par ta bouche

Je ne sentirai point le tendre et doux baiser de tes lèvres
Nos rencontres, longues soient elles, sont toujours trop brèves

Dieux, faites nous vivre ses journées de plus de 24 heures
Que nous puissions toujours et encore vivre notre bonheur

Jattends, anxieux et impatient, ce jour oĂą tu seras ma femme
Toi qui depuis tant de temps occupe et emplie mon âme

Jespère que rien ni personne ne se mettra sur notre chemin
Et que samedi, pour la vie, nous partirons main dans la main



Locéan de mon âme

Tout au fond de locéan de mon âme
RĂ©sonne sans cesse le nom dune femme

Une femme mais pas nimporte laquelle
Celle qui a mon cur est la plus belle

Longtemps, par monts et par vaux jai cherché
Celle qui un beau jour serait ma douce aimée

Je lai croisé au détour dun petit chemin
Et des lors je voulais lui prendre la main

Mais à ce moment tel nétait pas mon destin
Mon cur et mon âme ne furent que chagrin

De loin en loin pourtant je lai revu
Entre nous peu de mots tant jétais ému

Mais les faiblesses humaines mont libéré
Dun serment pourtant conjointement prêté

En moi, inlassablement revenait une question
Toi dont je rĂŞvais, partageais tu mon Ă©motion

Ton cur jamais navait révélé ses secrets
Et pourtant quelque chose me laissait espérer

Etait ce le ciel étoilé de tes si beaux yeux
Qui me laissait entrevoir cet avenir merveilleux

Etait ce le doux murmure de ta voix
Qui me faisait entrevoir ton Ă©moi

Jai enfin osé tavouer mon tendre amour
En espérant quil serait partagé en retour

Et lorsque tes lèvres me dirent : Oui
Mon âme et mon cur ne furent quun cri

Tara mon Amour



Sans toi

Sans toi,
Je ne suis quun pauvre hère
Ne sachant que faire sur cette terre
Vivant au jour le jour
Dans lattente de ton retour

Sans toi,
Je suis cette barque perdue sur leau
Tanguant et ballottant au gré des flots
Un point sur lhorizon
Vivant par procuration

Sans toi,
Je suis cet oiseau recherchant son nid
Que du haut du ciel, un Ă©pervier Ă©pie
Une chanson inachevée
Dun troubadour muet

Sans toi,
Mon cur cesse de battre, comme en hibernation
Mon corps perd sa chaleur, mon âme ses émotions
Tu peux venir lharuspice
Je suis déjà dans labysse

Sans toi,
Malgré les amis présents pour me soutenir,
Je sens mon cur peu à peu dépérir
Tel une fleur fanée
Un jour, abandonnée

Mais quand tu reviendras,
Mon cur Ă  nouveau battra
Mon âme retrouvera ses émois
Quand je serai près de toi
Notre amour en sera renforcé
Et toi ma douce et tendre aimée
Toi ma princesse, ma muse, ma fée
Dans tes bras blancs, m'abandonnerai



Tendre songe


Il nest Ă  mes yeux de plus doux rĂŞve
Que celui que toutes les nuits sans trĂŞves
Depuis que je te connais vient me bercer
Celui qui toujours fait mon cur danser

Que nai je que des mots pour clamer cet amour
Que nai je mille couleurs pour peindre tes atours
Que nai je des notes pour chanter ta beauté
Mais tout ceci serait toujours loin de la réalité

Tu as sans doute, des Elfes héritée la beauté
Tu as sans doute, de Sélène héritée la volupté
Tu as sans doute de Syl héritée la sagesse
Et de ta mère cette voix douce et enchanteresse

Ton père a sans doute dérobé aux cieux
Les Ă©toiles que je vois au fond de tes yeux
Tes lèvres dont les baisers me sont douceur
Ont le parfum et la douce suavité des fleurs

Et tout cela tu las offert Ă  lhumble magicien
Quun jour merveilleux tu as croisé en chemin
Tu as pansé mes blessures et guéri mon cur
Et près de toi chaque jour, je vis mon bonheur



A toi mon amour

Toi ô ma princesse, qui a plus de beauté
Que les belles jumelles, Syl et Séléné
Je me noie dans tes yeux si langoureux
Comme dans un lac propice aux amoureux

Jaime me blottir dans les voiles de ta chevelure
OĂą lĂ , je nentends plus que le doux murmure,
Les tendres mots à la douce et tendre mélopée
Que tu susurres à mon oreille émerveillée

Ta bouche qui souvre comme une délicate fleur
Ne cesse de me prononcer des mots de bonheur
Qui suis-je-moi pour être, de toi tant aimé
Qui suis-je pour bénéficier de tant de volupté

Et lorsque souvrent pour moi, tes doux bras blancs
Ce sont les ailes dune colombe au printemps
Qui suis-je pour mériter tant de doux bonheur
Qui suis-je pour tant faire battre ton cur

Toi Ă´ mon ange, ma princesse, ma muse, ma passion
Entends tu le doux bruit de nos curs Ă  lunisson
Merci ô Dame des Mystères davoir permis
Quun jour béni, nos deux curs soient unis



Tristesse, tendresse

Tristesse

Quils sont tristes ces jours
Sans toi mon bel amour
Jours gris et ternes sans soleil
O toi ma tendre merveille

Je sais ton âme à mes côtés
O toi ma douce et tendre aimée
Je te vois sans cesse en songe
Et cette absence me ronge

Je voudrais être près de toi
Chaque jour oĂą que tu sois
J'attends te revoir en Althéa
Etre Ă  jamais dans tes bras

Je ne songe quĂ  ton retour
Près de moi mon doux amour
Ne rien faire que taimer
Myaly, ma tendre aimée

En attendant ce jour béni
Ou nos curs de nouveau réunis
Battront de nouveau Ă  lunisson
Notre amour et notre passion

Je tenvoie ces quelques mots
Qui ne sont que modestes cadeaux

Je taime mon amour
Et ce pour toujours

Tendresse


A Myaly

Mon amour qui a apporté la renaissance à ma vie
Y a déposé une fleur de volupté, dans mon cur déserté
Aime-moi et soyons heureux dans l'éternité
Lis mes sentiments dans mes yeux et mon cur
Yeux étoilés regardez-moi jusque dans mon âme

Mais ne vois pas l'apparence d'homme marqué par les années
Aime celui qui vit en mon cur, ton servant Chevalier

Tristes regrets de ne te voir heureuse
Enivrée et passionnée comme au premier jour
Nid de passion qui est en mon sein
Donne moi l'inspiration pour lui offrir l'extase
Rires et joies d'une jeunesse innocente
Enlacée dans mes bras pourquoi es-tu si fuyante?

Amour, où que tu sois redonne lui goût à la vie
Dessine sur les lèvres de mon aimée son doux sourire
Offre-lui le bonheur mérité par un tel ange
Rends-moi les maux desquels je ne veux la voir accablée
Eparpille en mon âme sa tristesse, sa mélancolie
Et laisse-moi la voir heureuse quand je l'Ă©treins




Il doit y en avoir d'autres,mais je les ai hélas perdu

Par Neptune-Gx le 30/10/2002 Ă  16:31:39 (#2441731)

:lit:

Par Erya le 30/10/2002 Ă  16:57:00 (#2441992)

:lit:

Par Kosnov De Narisa le 30/10/2002 Ă  17:36:04 (#2442322)

:lit:

Par Sephrenia Ylara le 30/10/2002 Ă  17:38:22 (#2442337)

Juste pour preciser que la Sephrenia dans le titre, ce n'est pas moi mais Sephrenia "la jeune" Tory.

Par Satch / Doriane le 30/10/2002 Ă  18:22:10 (#2442699)

:lit:

Par MerlinOenSad GR le 30/10/2002 Ă  18:23:40 (#2442718)

:lit:

Par Kavadias Drake le 30/10/2002 Ă  18:31:28 (#2442792)

:lit:

Par Espoir Elros le 30/10/2002 Ă  18:36:50 (#2442855)

:lit:

Par Elmar le 30/10/2002 Ă  19:06:24 (#2443100)

:lit:

(Merci Muabdib pour ce saut dans le temps.)

Par Goldou d'Amour le 30/10/2002 Ă  19:08:42 (#2443125)

Passe sans se faire remarquer, le visage plein dissimulé sous ses ailes...

Par Dame Eboshy le 30/10/2002 Ă  19:39:01 (#2443393)

:lit:
Merci Muadbid

Par Shelak le 30/10/2002 Ă  22:07:23 (#2444393)

Jette des fleurs aussi.

Par Shin Shezar le 30/10/2002 Ă  22:24:09 (#2444496)

émerveillé
:lit:

Par Muabdib Serra le 31/10/2002 Ă  0:29:01 (#2445296)

Un autre texte qu'avait gardé Caroline, un texte ou Muabdib était pratiquement à bout



Heureux ?


Comment serait ce possible?

Quand celles qu'il a aimé ou qu'il aime, l'ont trompé, l'ont oublié, disparaissent, s'absentent, se marient, ne le savent pas

Peut ĂŞtre ai je trop d'amour , de passions ..............


Comment serait ce possible?

Quand sa famille peu Ă  peu se retrouve sous terre

Quand il pleure le soir celle qu'il aime, sa femme, ses filles, sa petite fille, sa soeur, ses parents, ses neveux et nieces


Comment serait ce possible ?

S'allonger une derniere fois au milieu des pierres levées, regarder une derniere fois les constellations
fermer une derniere fois les yeux......

Oui peut ĂŞtre....

Par Thanatos Nyx GDP le 31/10/2002 Ă  0:53:54 (#2445396)

:lit:

Par Zelubia/Graoden le 31/10/2002 Ă  1:25:22 (#2445527)

ouin ca me rapel le temps avec sephrenia et liandra :sanglote:

enfin.... :lit:

Par EvangeL le 31/10/2002 Ă  2:34:31 (#2445793)

tres jolie
:lit:

Par OrphY Falas le 31/10/2002 Ă  2:52:16 (#2445829)

:lit: :)

Par Jamelina le 31/10/2002 Ă  5:33:36 (#2446139)

Absolument merveilleux.
Merci a vous, cousin d'un univers miroir.

Par Myaly Serra le 31/10/2002 Ă  7:51:16 (#2446285)

Myaly lut avec une attention toute particulière les poèmes adressés aux nombreuses anciennes maitresses de son époux. Sans un mot, le visage parfaitement neutre et le regard vide d'expression, la jeune femme s'enveloppa dans ses ailes et s'éloigna. Dans son coeur murmurait une voix, et la flamme d'un sentiment inconnu s'y alluma.

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