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Poésie d'inspiration Althéenne.

Par Marlysa le 24/10/2002 Ă  19:06:34 (#2399262)

LÂ’Homme de Bien sÂ’en va contre lÂ’Haruspice,
Toujours certain que son devoir mĂŞme est sa vie,
Jamais enclin Ă  la moindre faiblesse, au moindre oubli,
Ainsi va-t’il vaillant, l’épée battant la cuisse.

Tombés sont nombre de ses compagnons à la bataille,
Fauchés, arrachés à la vie, comme fétus de pailles,
Et si au vent vous prĂŞtez lÂ’oreille,
Vous entendrez leur complainte Ă  nulle autre pareille.

Et, combattant au courage méritoire,
Dans ta lutte incessante, chaque jour plus dérisoire,
Pour leur faire honneur tu mis tant et tant dÂ’ardeur,
Que du destin tu vint Ă  provoquer la fureur.

Aussi nous venons sur ta demeure nous pencher,
En ce funeste soir où la vie te fut ôtée,
D’une traître flèche en ton cœur fichée,
Quand au comble de lÂ’espoir nous allions triompher.

Juste pour ne pas que le post soit enterré avant même d'avoir été lu...

Par Marlysa le 24/10/2002 Ă  19:23:15 (#2399388)

« Amis, nous voilà en ce jour béni ici réunis,
Afin que de nos contrées enfin s’enfuit,
Le voile noir ayant recouvert mĂŞme le jour dÂ’une nuit,
Une nuit de terreur et de haine Ă©garant les esprits.

NÂ’entendez-vous pas les plaintes et les cris,
Qui n’ont de cesse de déchirer nos pays,
Qui nous pourchassent âprement jusqu’au lit
Faisant un cauchemar éveillé de nos vies ?

NÂ’entendez-vous pas au loin la clameur,
Des disciples de lÂ’ombre et du chaos, la peur,
Qui à leur maître très haut font mille prières
Pour que notre courage viennent Ă  se taire ?

Songez à l’Humanité recouverte d’un noir linceul,
Pensez à cette effroyable pensée, à elle seule,
Déchaînez en vous la colère et la force,
Comme elles peuvent repousser ceux qui sÂ’y efforcent.

Redressons la tête, révoltés et fiers,
Et enfin délivrons le genre humain de ses fers,
Que la sombre et ultime Prophétie,
Ne s’accomplisse point aujourd’hui. »

Par Ivy Rose le 24/10/2002 Ă  21:52:50 (#2400472)

....:eek: *na rien a dire appart bravio* :merci:

( Faut me comprendre je vien de passer 15-16 heure a gueter levesque :baille: )

*regarde son logo et s'endort*

Et un autre pour la route

Par Marlysa le 24/10/2002 Ă  22:21:22 (#2400626)

Compagnons dÂ’aventure, je connais votre deuil,
DÂ’un ami, dÂ’un parent, mort dans vos bras sur le seuil,
De vos maisonnées attaquées, ravagées,
Par les hordes de sang assoiffées.

Amis de toujours, je sais vos sentiments,
A leur Ă©gard le ressentiment,
Que seul les rejoindre dans leur sommeil,
Pourra vous faire oublier du Mal le fiel.

Fiers aventuriers, avec qui j’ai tant partagé,
D’épopée lyriques et plus encore magnifiées,
Sachez que votre œuvre ici-bas n’est point terminée.

Car pour que le néant aie l’un des vôtres touché,
Il vous faudra par l’épée lui faire vengeance,
Auprès de l’ignoble et obscure engeance,
Qui osa l’ultime coup lui porté.

___________________________ljd Marlysa

Par Dorigene Kaine le 24/10/2002 Ă  23:08:03 (#2400892)

Bravo Marly , un talent indeniable comme je te l avais deja dit ... :)

*a bcp apprecie le dernier *

*tente toujours et encore de lancer un peu de poésie dans ce monde de brutes*

Par Marlysa le 25/10/2002 Ă  0:41:22 (#2401442)

Sur ta pierre tombale, je viens des fleurs déposer,
Puissant guerrier par ta suffisance blessé,
Jadis homme de Bien, aujourd’hui voué au rien,
A la funeste mort à l’orgueil abaissée.

De fait tu fus jusquÂ’Ă  ton dernier soupir,
L’être sur lequel la fierté eu le plus d’empire,
En ce monde dont l’âme est encore pervertie.

Bien Ă  mon regret changer le cours, je ne puis,
Des chemins et moments qui te menèrent ici,
En la terre qui entendit tes premiers et derniers cris.

Auprès de tous, pourtant, tu imposais le respect,
Car sans tes durs actes, jamais nous nÂ’aurions de paix ;
Aussi devant toi je viens me recueillir,
Et de nos profondes discordes me repentir.

chnirf...allez quoi il y a bien des poètes ici, non? non? bon tant pis...

Par Marlysa le 25/10/2002 Ă  13:35:03 (#2404303)

Jetée sur les chemins d’une ère troublée à peine enfant,
Mes pas vinrent Ă  croiser ceux un ĂŞtre caressant ;
Au milieu de l’indifférence de mon trouble et de ma peine,
S’est élevé un homme bienveillant et amène.

Depuis cet instant inoubliable où nos yeux plongèrent,
Dans le fond de nous comme abandonnés à quelque mer,
Illuminée par les feux de nos mutuels penchants,
Bien moins accablants parurent nos affrontements.

Bien quÂ’allant sous des cieux resplendissants,
Nous n’eûmes pourtant de répit un seul instant,
Allant d’amis en amis, de cités en bourgades,
Jaugeant la valeur humaine au gré de nos escapades.

Et vint le jour où la grande Syl décida notre mariage,
Un peu de sagesse et de puissance en héritage,
Le grand honneur de sa bénédiction,
Pour nous, mortels qui nous aimions.

Allez faites pas les timides, poètes lancez vous

Par Marlysa le 25/10/2002 Ă  14:31:38 (#2404812)

Sur ma peau venait à perler une douce rosée,
M’apportant force et fraîcheur pour mieux lutter,
Quand avant lÂ’aube, se levait une brume humide,
Et quÂ’assistance vint Ă  me prĂŞter une sylphideÂ…

Sans que nul signe ne puisse être échangé,
D’amitié, nous fûmes comme secrètement liées,
Tels deux ĂŞtres sÂ’Ă©tant depuis toujours connu,
Or nous ne nous Ă©tions pour lors jamais vues.

Reconnaissantes de cette magnifique alchimie,
Nous avons depuis fait au mieux honneur Ă  la vie,
Nous Ă©vertuant chaque jour que font les dieux,
De respecter la volonté venue des cieux.

Ainsi portons nous dans chaque région notre sceau,
Notre amitié comme une bannière brandie bien haut,
Allégeant le lourd fardeau de nos souffrances,
Pour, envers le Bien, notre allégeance.

Une idée de la Prophétie s'approchant

Par Marlysa le 25/10/2002 Ă  16:58:01 (#2406108)

Dans les yeux brûlent du soleil naissant mille feux,
Dans les cÂśur la flamme des vaillant et courageux,
Au creux de leur âmes l’estime pour ceux,
Qui à leurs côtés revêtent les plastrons lumineux.

Un temps béni que brume et magie s’efface,
Avant que ne survienne le face-Ă -face,
Avant que de se perdre et ne plus rien croire,
Et que dans le cœur de tous vienne le désespoir.

Aucun n’a jusque-là tiré l’épée du fourreau,
Le sang ne s’est point encore répandu en flots,
Tranchant les vies semblables à quelques fils ténus,
Comme par quelque tisseuse perdant la vue.

Puis se retire des champs et des cÂśurs la folie,
Chacun devant le massacre n’a que mépris,
Pour la haine quÂ’ils combattent mais qui les a pris,
Et ce jour béni deviendra de fait maudit.

*déprime à la taverne*

Par Marlysa le 25/10/2002 Ă  21:02:30 (#2408407)

Les verres, un Ă  un se pressent au bal,
Tant et tant que cÂ’en devient trivial,
Dansent, tournoyant sous les yeux médusés,
De la créature par eux envoûtée.

Embrumés sont l’esprit et l’océan,
Où elle se noie en retrait de vous, amèrement,
Espérant que par quelque artifice,
Enfin se taisent les maléfices.

Et en un instant des larmes étrangères,
De sÂ’inviter pensent ĂŞtre leur affaire,
Au beau milieu de ce sinistre ballet,
Quand bien même leur hôte est déjà défait.

Le moment est de rouler pour les verres sur la table dressée,
Pour le corps ballant et inconscient de tomber,
Inerte, presque sans vie, de reposer,
En accord avec l’infinité.

Lune rouge...

Par Marlysa le 26/10/2002 Ă  19:37:03 (#2413580)

Par-delà plaines et vallées court un silence nouveau,
A tel point mĂŞme que se taisent les flots,
Devant lÂ’ascension survenue,
D’une lune ensanglantée, dans les cieux perdue.

Par-delĂ  les monts assombris, la nuit venue,
Elle vient assister en ces terres souillées
Au spectacle des vies abandonnées,
Par tant de braves assassinés, à jamais perdus.

Par-delà la voûte céleste où elle assoie son trône,
Tel un obscure prĂŞcheur, elle prĂ´ne,
LÂ’Ă©ternelle violence
Pour que vienne sur nous la déchéance.

Mais par-delà les contrées, dans son voyage survolées,
Se prend souvent Ă  souffler un vent de fronde,
Tel que, déchu, son pouvoir immonde,
De nous asservir Ă  la souffrance devra cesser.

Par Marlysa le 31/10/2002 Ă  20:10:36 (#2451799)

Bon...il n'y a pas à dire...la déception m'etreint.

Certains parmis vous livrent à leurs proches un Verbe fleuri et ne concèdent pas même à en faire part aux yeux de tous. C'est fort regrettable à mon goût.

Alors soit! Gardez votre poésie par devers vous mais alors ce n'est plus à mon sens de la poésie. Etre poète c'est aussi ce me semble vouloir faire naître l'émotion et avoir le désir profond de la partager....ou alors cela rime avec narcissisme.

Sur ce, point ne vous salue ...

*repart en claquant la porte*

j'en profite

Par Telefoneur OdO le 19/1/2003 Ă  21:42:11 (#3056051)

vala un post vieux vieux vieux trop vieux...
enfin lisez les poemes sont pas mal du tout :)
mais je voulais profiter de ce petit post pour dire quelques trucs comme ca en passant
a perdu son idée de depart arggggg
Enfin je continue le temps a passe ca fait plus d'un mois que tout s'est arrete alors ....:


Pour elle la poete qui a ecrit de jolies vers qui se perdent...
Pour vous qui avez si longuement jouer...
Comme le regret m'a envahit aujourd'hui quand d'un elan
Je vous ai vu quand...



voila c trop court mais g plu le temps :'(

demain la suite :)

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