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un monde à défendre [les pensées d'une petite fille, suite]

Par Leoryn Orea le 17/10/2002 Ă  11:01:29 (#2350652)

Les jours passaient presque tous identiques, elle jouait souvent dans la ville centaure et se promenait avec les adeptes de la nature ou d'autres personnes qu'elle connaissait. Elle soignait les animaux blessés et leur prodiguait tout l'amour qu'elle pouvait. Elle venait juste d'avoir neuf ans, elle avait recut de joli cadeau pour son anniversaire : une nouvelle robe, une boite de crayons de toutes les couleurs avec un gros paquet de feuilles blanches, un nouveau sertete pour placer son diademe dans ses cheveux et une harpe argentée. Son seul regret fut en se placant contre le mur de voire que sa taille n'avait que peu augmentée depuis l'année précédente et elle regardait avec admiration la marque un peu plus haute de sa grande soeur lorsqu'elle avait le même age. Samaman lui avait dit qu'elle allait grandir mais que ce n'était pas la peine de vouloir grandir trop vite et que quelque soit sa taille elle restait sa petite ange. Elle oublia vite le détails concertant sa taille de petite enfant pour se concentrer sur ses autres activités : le dessins, la danse et ce nouveau jouet qu'était la harpe.

Elle pouvait loisir vivre dans son réve et échapper à la cruauté du monde qui l'entourait. Mais elle voyait les hommes se battre encore et encore. Elle ne comprenait toujours pas ces combats incessants qui n'existait pas dans son monde si calme, dénué des vices qui corromptent les hommes. Au contact de ces gens elle voyait son rêve s'effrondrer. Elle souffrait tellement de voire ses réves ne pas devenir réalité, elle voulait crier qu'ils arretent mais jamais elle n'y arrivait, sa complainte d'atteignait que son monde, la réalité n'avait pas de place pour elle. Une foid qu'il avait fini de se battre, il ne voyaient que leurs blessures et pas celles qu'ils lui faisaient et elle n'arrivait plus a lutter pour défendre son rêve. Dans son monde son ame pleurait, blessée, dans la réalité la petite saignait.

Ainsi certains jours n'était que tristesse et douleur, mais toujours dans ses espoirs presque désespéraient elle reconstruisait son monde sur ses ruines grace à l'amour qu'elle trouvait autour d'elle et au victoire que son monde remportait parfois. Rien n'était perdu, certains croyait enfin que son monde pouvait exister, sa meilleur amie, la louve lui avait dit qu'il existait un paradis pour les loups et tous les animaux, il devait donc en existait pour les hommes et parfois elle croisait quelqu'un une personne prete à visiter son monde, elle lui ouvrait alors son esprit et son ame. Quel melange de douceurs et de douleurs qu'était de les inviter, en ouvrant ainsi son monde a quelqu'un d'autre, même si la personne ne faisait rien contre son monde, elle sentait encore plus la réalité qui l'entourait et souffrait en la sentant. Mais la personne était toujours heureuse qu'elle lui montre ses pensées et cela la rendait heureuse. Elle sentait alors son monde prendre vie et s'mposer pour un instant.

Elle commençait a comprendre que pour cessait de souffrir elle devait defendre son monde mais seule elle n'y arrivait plus et elle nourrissait son monde des sentiments des gens qu'elle aimait afin qu'il ne cesse de grandir. Elle comprenait que ce monde était sa dernière chance de cesser de souffrir de celui ou elle vivait. Elle commencait a désirer de vouloir l'imposer a celui qu'elle ne voulait plus. Mais tout semblait si difficil a faire carelle voyait plus d'horreurs que de merveilles.

Souvent tout finissait toujours de la même façon, elle preferait oublier, se rendormir pour se proteger et pourtant elle savait ue cela n'était pas ce qui la ferait cesser d'etre aggressait par la réalité actuelle. Elle repartait jouer avec la louve, elle s'étaient promises d'être a jamais amies, sa tante Illiana lui avait dit que les fille avaient toujours une meilleur amie avec qui on pouvait refaire le monde, une personne toujours la pour nous aider. Ce choix avait été fais dés qu'elle l'avait connue, ce serait la louve qui était comme une amie et une maman.

Le cycle recommençait, elle avait oublié ce qui s'était passé, elle se laisser bercer par son enfance. INconsiement elle savait juste qu'un jour cela cesserait et que plus elle grandissait, plus l'échéance approchait, elle devrait trouver son monde ou tenter d'exister dans celui ou elle vivait.

Par Mud Thelgaar le 17/10/2002 Ă  11:12:00 (#2350702)

:lit:

Par Muabdib Serra le 17/10/2002 Ă  12:47:04 (#2351146)

:lit: :)

Par Ambla Shezar le 17/10/2002 Ă  13:32:21 (#2351383)

:lit:

Par Kavadias Drake le 17/10/2002 Ă  13:35:22 (#2351401)

:lit:

Par EvangeL le 17/10/2002 Ă  13:41:28 (#2351430)

:lit: :chut:

Le vent vient caresser la joue de la jeune demoiselle

Par Satch / Doriane le 17/10/2002 Ă  14:56:23 (#2351905)

:lit:

Par TooL le 17/10/2002 Ă  16:16:29 (#2352346)

:lit:

Par Camelias le 17/10/2002 Ă  22:52:52 (#2354655)

:lit: :)
Dans un murmure..
Comment ne pas vouloir proteger les rĂŞves et l'innocence de cette enfant..

Par Blanca De Narisa le 18/10/2002 Ă  0:33:31 (#2355082)

:lit: :amour:

Par Erya le 18/10/2002 Ă  9:53:58 (#2356072)

:lit:

Par Fanelia Tory le 18/10/2002 Ă  12:26:08 (#2356790)

:lit: :chut:

Par Muska GaĂŻa le 18/10/2002 Ă  12:48:20 (#2356873)

Une brise se lève...

:)

Par Elmar le 18/10/2002 Ă  16:10:29 (#2357965)

:lit:

Son monde

Par Tarja Bolicean le 21/10/2002 Ă  0:57:51 (#2372370)

Elle s’était approchée d’elle dans le temple, doucement pour ne pas l’effrayer, à pas de loups. Elle s’avançait pour voir ce qu’elle dessinait, curieuse. Cette enfant, elle l’avait déjà rencontrée auparavant, elle l’avait émue par ses mots, par ses larmes. Rares sont ceux qui arrivent a émettre autant de pureté, de sincérité.
De ses courts doigts d’enfant elle frôlait le papier avec ses petits crayons de couleurs. Elle s’approcha encore, jusqu'à finir derrière une de ses épaules. La petite la vit, elles se parlèrent un instant. Puis elle fini par lui offrir le dessin qu’elle venait de faire. Ce cadeau était le deuxiéme qu'elle recevait en ces terres. Elle ne put s'empêcher de lui sourire.

Ensuite l’enfant lui proposa de lui montrer son monde. Tarja accepta, ne sachant comment réagir. Mais elle savait qu’un de ses Frère veillait, non loin de là. Leoryn lui montra son monde dans un rêve éveillé, une sorte de vision. La vision était tantôt angoissante, tantôt rassurante. Elles finirent par danser dans une clairière.

Tout Ă  coup lÂ’enfant se mit Ă  saigner du nez, de la bouche, Tarja la prit alors dans ses bras, en pleurant comme une enfant.
Le message paraissait clair pour ceux qui acceptent de le voir...

Elle sut, alors, plus que jamais. Cette enfant en Ă©tait la preuve. Encore un signe. Les hommes seraient tÂ’ils aveugles Ă  ce point ? Les signes de sa venue sont Ă©vidents. Que font tÂ’ils pour sauver leur monde ?

Par Leoryn Orea le 21/10/2002 Ă  15:13:17 (#2375253)

La petite venait de trouver enfin une personne qui acceptait de voire son reve, peut etre une novuelel amie pensait-elle. Elle Ă©tait heureuse que son cadeau plaise car elle y avait mit tout son coeur pour le faire. Elle se laisser a nouveau bercer par son innoncence et la joie d'avoie fait plaisir Ă  la dame.

Par Elmar le 21/10/2002 Ă  16:49:46 (#2375934)

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Par Kosnov De Narisa le 21/10/2002 Ă  18:37:22 (#2376885)

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