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Par Dame-Flo/Llyane le 8/10/2002 à 22:01:21 (#2300535)

Alors que la vieille Dame passait à la bibliothèque, elle sortit de sa besace un énorme livre noir, d'ou sortent des parchemins de tout part.
Elle laisse le livre sur la table et disparait dans la nuit.

La bibliotéquaire s'approche, intriguée par cet ouvrage qui paraissait avoir vécu tant et tant d'années.
Elle ouvre alors, et commence à lire:


Abandon

Ivre de tendresse, ivre de caresse,
L"homme repartit, sa besogne achevé,
A la recherche, d'une âme à sauver,
Le coeur toujours lourd, emplit de tristesse.

Il parcourt les montagnes et rivières,
Il s'en va au grès des vents et des rires,
Car pour lui, jamais il n'y eut pire,
Que de vivre, habité par la colère.

Il se souvient l'humiliation était telle,
Qu'il avait tout laissé, oubliant sa belle,
Le coeur chargé de honte et de remords,
Maudissant la vie, maudissant son sort.

Il s'était juré, qu'un jour il reviendrait,
Beau et fort, sur son vaillant destrier,
Montrant, à ceux qui l'avait humilié,
Qu'à présent, il était digne chevalier.

Après des années, lorsqu'il fut enfin prêt,
On le couvrait, d'une digne renommée,
Il se décida, à rentrer au village,
Cette pensée, illumina son visage.

Mais lorsqu'il fut arrivé en ces lieux,
Tous le regardait, la haine aux yeux,
Il ne comprenait pas, lui qui avait,
Pour revenir, bravé milles et un dangers.

On lui aprit alors, qu'à son départ,
Des ragots courraient, blasphematoires,
Sa belle y crut et tomba d'une triste fin,
La belle dame était morte de chagrin.

Il ne put se défaire de son souvenir,
Chaques pensées devenaient pires,
Il abandonna ses armes et sa fierté,
Partant à la recherche de son aimée.

Dernière sensation

Au milieu d'une clairière coule un torrent,
L'eau est souillée d'une rouge impur, ce sang,
Un pauvre chevalier, allongé sur la berge,
Cherche douceur et calme, lentement il emerge.

La nature lui a offert l'éternel sérénité,
Pour la vie, et bien au dela de la mort,
Une femme allongée, pleure à ses côtés,
Et l'enlasse tendrement, rechauffant son corps.

Lentement il la regarde, son espoir s'en va,
Sentant la mort près de lui, avancant pas à pas,
Sa dernière sensation: l'étreinte de son aimée,
Dans ses dernières heures, il a pu la sauver.

Lors de son long chemin vers l'éternel,
Il revit le doux visage de sa belle,
Et les longs moments loin d'elle à se batailler,
Son épée à la main, il l'avait oublié.

Peu à peu, au court des batailles s'étaient effacé,
Le doux visage de sa tendre, celle qu'il aimait,
Il aurait tant voulu aujourd'hui la chérir,
Revoir posé sur lui son tendre sourire.

Près du feu, son coeur de femme saignait,
Elle avait perdue l'homme qu'elle cherissait,
Celui qui avait nourrit tous ses désirs,
Mais qui l'avait tant fait souffrir.

Doux rêve

Un froid glacial hante mes nuits, me poussant à l'oubli,
Je cherches encore quelque part, la douceur d'une vie,
Existe t-il un pays ou ce froid serait chaleur,
Et pousserais tout mon être à connaitre le bonheur?

Un pays ou chaque fleur est une étoile brillante,
Aux milles senteurs, aux milles couleurs scintillantes,
Ou l'herbe est si fraiche qu'on s'y allonge, dormant en paix,
Nulle peur, nul doute.. car demain est éternité.

Les cascades d'argent seraient si douces à entendre,
Illuminerait les coeurs, faisant disparaitre les cendres,
Elles couleront à l'infini, jusqu'aux treffonds de la Terre,
Ici et la bas, l'eau serait Reine et redeviendrait Mère.

Les montagnes seraient blanches, les arbres emplis de fruits
Delicieux; un acceuil chaleureux pour y faire son nid,
Des paroles envoutantes, des sourirs qui disent: je t'aime,
Et pour toujours, des baisers donnés à celui qui les sèment.

Mais le ciel s'obscurcit, car le temps de ce rêve est finit,
Je retrouve le froid glacial de mes ténèbreuses nuits,
Peut-être qu'un jour ce songe continuera à jamais,
Me permettant quelques peu, d'oublier ce monde agité.



La suite, au prochain numéro :ange: :rolleyes:

Par Dame-Flo/Llyane le 8/10/2002 à 22:05:20 (#2300562)

Ténèbres

Une longue allée de flammes,
D'ou marchent, hommes et femmes,
Impassibles, muets,
Trainant cendres aux pieds.

Le silence est de mort,
Pourissant tous les corps,
Seul le crépitement,
Du feu, inlassablement.

Le gouffre du destin,
Attire, tendant la main,
Aux aveugles, aux pariats,
Qui ne se doutent pas.

Ils resistent, ils brulent,
Ils se débattent, ils hurlent,
Pauvers enfants sans destin,
Ivres et noyés, sans fin.

Lorsque l'Obscurité,
En ce matin, disparait,
Ceux qui ont su se battre,
Restent à jamais d'albatre.

Terre de l'oublie

Le vent se répend,
Sur les terres, lentement,
Les âmes s'envolent,
Prudemment elles survolent,
Les horizons nouveaux,
A la conquète d'un renouveau.

Je marche vers l'éternité,
Ce doux chemin de gaieté,
Qui m'attire inlassablement,
je ne peux me retourner maintenant,
Car une douce clartée,
Au bout du chemin est.

Mon esprit s'égart,
Au milieu de sombres regards,
Le silence se fait,
Les âmes virevoltaient,
Dans le grand vide,
D'une vie sordide.

Je continues à marcher,
Sans atteindre cette clarté,
Soudain un chant mélodieux,
Vint rompre le silence d'un adieu,
J'atteignais donc ce chemin,
Ou tous main dans la main,
Se rencontrais, se respectais,
S'aimais et s'embrassais.

Une Sirène

Seule sur mon rocher,
Contemplant l'écume des flots,
Je ne pensais plus qu'au passé,
A la solitude qu'il me faut,
Les vagues venaient se briser,
Sur ce rocher à mes pieds,
La houle qui fuyait,
Et l'orage qui grondait,
Toujours plus fort,
Comme une malédiction, un sort,
Que le ciel me jetait,
Pour me punir de ma solitude,
Surement était-ce une certitude,
Car ma vie était brisée,
Comme ces vagues a mes pieds.
La sirène chante alors sa peine,
Par des refrains envoutants,
De sa voix mélodieuse et sereine,
Digne d'un grand émerveillement.

Par Dame-Flo/Llyane le 8/10/2002 à 22:11:13 (#2300593)

Une rencontre

Lorsque le soleil se couche,
Et fait place a la nuit,
Une Dame s'assoit sur une souche,
Laissant au vent ses nattes brunes.

Au loin le doux clapotit de l'eau,
Formée par d'étranges mots,
Seule une douce nostalgie,
Flottait dans sa vie.

Un troubadour révolté,
Vint s'assoir a ses cotés,
Lui racontant ses histoires,
Qui hantaient sa mémoire.

Il vint gagner son coeur,
Sans se soucier des malheurs,
Qu'elle pouvait lui apporter,
Il ne pensait plus qu'a l'amour,
Qu'elle pouvait lui donner.

Main dans la main,
Ils partirent vers ce chemin,
Eclairés par une faible clarté,
Qui pourtant les illuminait.

Nature

Loin des bruits,
La nature, la vie,
S'égaie par le temps,
L'eau coule lentement,
Dans un bleu torrent.

Les fleurs se fanent,
Les pétales, le long d'une lame,
S'éfleurent un à un,
Tombants abandonnés,
Sur une toile de lin.

Une goutte de rosée,
Vint lentement se briser,
Sur l'herbe encore mouillée.

Parmit la nature,
Belle est bien sûre,
Une petite fée des bois,
Dans sa longue robe de soie,
Vint s'allonger à mes cotés,
Rêvant du temps qui passait.

Le visage de cette fée,
Sur l'eau, vint arborer,
A la foret, une étrange paix.

Pourtant ce calme inné,
Qui me fait tant rever,
S'estompe années après années.

Il est dur de prendre le temps d'écouter,
D'espèrer estomper la dure réalité,
Pourquoi retarder le fil de la vie,
Et vivre cachée, seule dans la nuit.

Par Dame-Flo/Llyane le 8/10/2002 à 22:15:54 (#2300619)

Le doux vent de printemps..

Le doux vents de printemps,
Le messager du temps,
Vint m'unir a toi,
Dans la plus pure des foi.

Ton doux visage m'apparut,
L'ange de mon destin tu fus,
Ton regard étincelant,
Captivait le terrifiant.

Mon amour perdu,
Raviva a ta vue,
Les braises de mon coeur,
Sans plus de rancoeur.

Longtemps nous parlâmes,
Des joies de la vie,
De ces mots autrefois dis,
Prônant l'amour sur nos âmes.

Puis nous nous embrassâmes,
Moment de bonheur,
Plus aucune pâleur,
Que la joie d'une femme.

Amour

Tu m'as donné ton amour,
Que j'accepte pour toujours,
Tes yeux sont diamants,
Pour moi éblouissants.

Ton coeur ceint d'un diadème,
D'une puissance extrême,
Qui guide tout deux nos pas,
Sans échos, ni voix.

Tu as fait renaître mon coeur,
Et fait disparaitre mes pleurs,
Nous vivions alors sans trève,
Dans un monde de rêve.

Soudain le doute vint dans nos deux coeurs,
Tout ces mots qui n'étaient que douleurs,
Mais notre amour était trop fort,
Pour nous séparer jusqu'a la mort.

Un jour nous irons tout deux,
Rejoindre l'immensité d'un ciel bleu,
Rejoindre nos coeurs unis, les cieux,
Pour qu'a jamais nous vivions heureux.

Mon ange

Ô a toi mon ange de la nuit,
Toi qui de jours en jours,
Me comble par ton amour,
A toi mon ange, à l'infini,
Je t'ai donnée mon âme,
Le coeur d'une femme,
Dire en quelques mots,
La douceur de ta peau,
La pureté de ton âme,
Dire en quelques larmes,
Quelques larmes de joie,
Pour te dire ma foi,
Qu'il n'y a qu'avec toi,
Que je finirais ma vie,
Que je finirais mes nuits,
Et pour finir ce poème,
En deux mots: je t'aime.

Par Dame-Flo/Llyane le 8/10/2002 à 22:25:41 (#2300670)

Je pourrais..

Je ne saurais te dire autre chose que: je t'aime
Car tu es tout, mon esprit, mon coeur et mes poèmes,
Je tire mes mots de ton amour pour moi,
Et je suis heureuse lorsque j'entends ta voix,
Je n'attends plus qu'une chose c'est m'unir a toi,
Pour le pire, mais surtout pour le meilleur,
Car tu es pour toujours ma lueur,
Celle qui dans la nuit, lorsque je me perds, m'éclaire,
Et qui me fait aujourd'hui dire ces quelques vers.

Je voudrais te dire des mots,
Mais rien n'est assez beau,
Aucun mot n'est assez grand,
Pour te dire ce que je ressens.

Je pourrais t'écrire des milliers de vers, de poèmes,
Mais aucun n'est plus beau que lorsque tu me dis je t'aime,
Et lorsque ma main touche ta peau charnel,
Lorsque ma main caresse tes ailes,
C'est au paradis que je suis, à coté de toi,
Mon Ange, mon Amour, aux yeux de soie.

Douce déclaration

Je dévoile en ce jour,
Pour toi, mon amour,
Je t'offre mon coeur,
Pour que ma vie soit bonheur.

Mon esprit est perturbé,
Mais mon coeur est embrasé,
Sur mon visage, l'allegresse,
Et plus aucune tristesse.

Au coeur de mon âme,
Brule une douce flamme,
Tu la ravives de jour en jour,
Ô toi mon amour.

Tu es mon corps, mon âme,
Le rêve d'une femme,
Le prince de mes nuits,
la douce clarté que je suis.

Songes d'amour

Dans tout mes songes,
Ou rien n'est mensonges,
Je ne vois que toi,
Marchans avec moi.

Dans ce doux rêve,
Nous marchions sur le rivage,
Main dans la main,
Douceur d'une toile de lin.

Entourés de bonheur,
Réunissant nos deux coeurs,
De longs baisés échangés,
Sous le solstice d'été.

Nous étions tout deux la,
Regardant Althéa,
Nos deux âmes liées,
PAr un amour comblé.

Lorsque je m'éveille,
Rien n'est plus pareil,
Mais lorsque je suis à tes cotés,
Le rêve devient réalité.

Par Dame-Flo/Llyane le 8/10/2002 à 22:30:59 (#2300702)

Une journée

Dans un bruissement d'aile,
Les oiseaux du matin,
S'en vont dans le ciel,
Suivant de très près,
Le chemin du destin.

Dans un rayon magnifique,
Le soleil se lève,
Les enfants terminent leurs rèves,
Le monde s'éveille.

La lune se couche,
Les plus tardifs s'endorment,
Les plus matinales se réveillent,
Dans un grand rayon de soleil.

Les rues se remplissent,
Les roses matinales ressplendissent,
Le parfum de la vie s'anime,
Dans le silence magnanime.

Midi sonne,
Le clocher du temple résonne,
Trop occupé à s'entrainer,
Les habitants en oublient le déjeuner.

Puis la journée passe,
Les monstres trépassent,
On rencontre l'amour,
Ou alors la haine.

Le coucher du soleil,
Illumine le ciel,
De ces couleurs fantastiques,
A l'apparence mythique.

Il fait noir,
La lune brille dans la nuit,
On voit dans le ciel,
La silhouette d'une sombre déesse.

Les douzes coups de minuit,
Retentissent dans la nuit,
Sélène illumine nos Songes,
Tous sont endormis,
Y compris les jeunes de la nuit.

La nuit

Le coucher du soleil,
Illumine le ciel,
de ces couleurs fantastiques,
A l'apparence mythiques.

La lune luit,
Les nuages sont partis,
loin très loin d'ici,
Dans la nuit infinie.

Les étoiles révèlent,
Leur beauté éternel,
Tout réclament leur clémence,
Car grande est leur puissance.

La lune brille,
Et les étoiles scintillent,
Chacun dans la nuit,
Dérobe son ennemis.

Les enfants de la nuit,
Ce soit la à minuit,
Opèrent en silence,
Avec perséverence.

Seule dans l'Ombre,
Je fuis vers la Pénombre,
Car le jour se lève,
Et je finis mon rève.

Journée II

Il fait a peine jour,
Mais le temps est déjà bien lourd,
Les oiseaux font la marche de l'amour,
Et les gens comme toujours,
Sortent dans la rue encore calme,
Certains déversent leur première larme,
Pour enfin annoncer midi au clocher,
Certains débutent leur trajet,
D'autres viennent a peine de se lever,
Pourtant le soleil est déjà bien haut,
Et il nous enveloppe se son manteau,
Puis la journée passe lentement,
Les heures s'écoulent agréablement,
Jusqu'à arriver au firmament,
La lune se dessine lentement,
Une légère brise parcourt les terres,
Les océans, les mers,
Une vie s'éteint, une autre née,
Touchée d'un doigt d'une fée.

Par Elféâme le 9/10/2002 à 9:26:06 (#2302376)

Tous plus beaux les uns que les autres..
Vraiment magnifiques.. avec des préférences...
Sourit

Par Dame-Flo/Llyane le 9/10/2002 à 15:00:25 (#2304483)

Sourit.

Je continuerai au fur et à mesure de déposer mes vers dans cette bibliothèque..
Malheureusement peu en lisent..

Par Dame-Flo/Llyane le 9/10/2002 à 15:06:01 (#2304522)

Ardent désir

Approche de deux corps,
Effleurement d'une peau,
Ni images ni mots,
Ce silence de mort.

Vision de tendresse,
Une main qui caresse,
Respiration saccadée,
Dévoilant sa beauté.

Cruelles intentions,
Soupirs d'une bouche,
Des lèvres se touchent,
Baisers si mignons.

Amour d'une nuit,
Au dela de la vie,
Au dela de l'enfer,
Bénit de la mer.

Au petit matin,
Main dans la main,
Deux corps s'unirent,
D'une vie de désir.

Par Vilexca le 9/10/2002 à 16:57:57 (#2305426)

*Ne trouve pas les mots pour l'aider à exprimer ce qu'elle pense de ces poèmes *:eek:

Par Horty Nevel Cpi le 9/10/2002 à 21:08:37 (#2307316)

M A G N I F I Q U E

Par Ferun Bloody-Ht le 9/10/2002 à 21:24:50 (#2307392)

C'est de toutes beautés !

Par Aurine Romanus le 10/10/2002 à 0:24:50 (#2308220)

Ecoute sagement la Dame les yeux émerveillés

C'est Magnifique. *sourit*

Par Laura Nerkata le 10/10/2002 à 1:21:48 (#2308376)

Provient du message de Dame-Flo/Llyane
Sourit.

Je continuerai au fur et à mesure de déposer mes vers dans cette bibliothèque..
Malheureusement peu en lisent..

ce n'est pas parce que personne repond qu'ils ne sont pas lu
bon *retourne les lires*

Tout simplement...

Par Aubiwan le 10/10/2002 à 10:03:45 (#2309251)

...Grandiose.

Je vois que vos poèmes sont remplis d' amour et de joie.

J' imagine que vous avez trouvé votre inspiration au coeur de la tendresse.

*sourit* En tous cas, votre talent est immense. Si ce recueil est le dernier, nous serons orphelins de vos vers.

Par Dame-Flo/Llyane le 10/10/2002 à 12:21:04 (#2310019)

C'est mon dernier recueil, mais non pas mes derniers poèmes, Aubiwan.

Je continuerai à faire partager la mélodie de mes paroles, à qui veut entendre.

Par Xatar LyriX-Gr le 11/10/2002 à 18:00:41 (#2318302)

*aime particulièrement le dernier...*

Tous ces poèmes sont magnifiques...

Par Aërandis le 12/10/2002 à 21:50:42 (#2324793)

Le vieux barde est heureux,
Car comblé par les dieux,
Et cette douce poétesse
Le réjoui de sa tendresse.

A toi ravissante dame,
Je fais don de mon âme,
A toi ma douce fleur,
Je fais don de mon coeur.

Et je le redit haut et fort,
En chantant ce poème,
Je me langui de ton corps,
Ma douce amie; je t'aime.

Troublante

Par Aërandis le 13/10/2002 à 1:41:19 (#2325872)

Troublante beauté de ces mots
Dans cette bouche sensuelle,
De ces accents trouvés si beau,
Sur la langue de la demoiselle.

Troublante beauté de la sirène,
Femme fascinament belle,
Qui sait aspirer toutes les peines,
Offrant le bonheur au ménestrel.

Troublante femme que cette Flo,
Qui a ravi mon coeur d'un regard,
Lorsque je l'ai vu émerger des flots,
Moment éternel que ce soir.

Par Anakin Spades le 14/10/2002 à 12:08:16 (#2332534)

Arf Ma tata a mille fois pkus de talent que moi *jaloux*

c est tres tres beau Flo continue
:lit: :lit: :lit: :lit: :lit: :lit:

Par Sylftang-Sgr le 14/10/2002 à 12:19:22 (#2332599)

Superbe Flo! De magnifiques poèmes!
De plus en plus d'amour et de bonheur! Continue comme cela!


Bisouille, toi! ;)

Par Norine 7thSword le 14/10/2002 à 12:53:41 (#2332780)

Provient du message de Mademoiselle Vilexca
*Ne trouve pas les mots pour l'aider à exprimer ce qu'elle pense de ces poèmes *:eek:


Moi c'est pareil mais pour ta signature :D :ange: :rolleyes: ;)

Par Dame-Flo/Llyane le 14/10/2002 à 19:51:13 (#2335493)

Sourit à son doux barde.

Je t'aime beau menestrel, oui je t'aime !

Regarde Anakin et sourit.

Mais non mon petit neveu, tu as tout autant de talent que moi!

La vieille femme rigola puis disparut dans la nuit.


( HRP: En passant, je serais absente 2 semaines, parceque je suis en vacanceuh moi :D :rolleyes: )

Par Benisseur Earth le 14/10/2002 à 20:18:58 (#2335604)

Il entendit les dox vers du barde...

Tiens ! Flo et Aerandis....

Il courut à la recherche de son amie, petite cachotière qu'elle était ne lui en avait soufflé mot...

Je ferais de toi...

Par Aërandis le 19/10/2002 à 0:39:21 (#2361270)

Je ferais de toi une belle fleur,
Eclose dans le jardin des dieux,
Sur le parterre de mon coeur,
Brillant de mille feux.

Je ferais de toi une reine,
Sur l'empire de mon esprit,
Toi ma si douce sirène,
Belle maîtresse de ma vie.

Je ferais de toi une déesse
Toute adulée de mon amour,
Et je t'accorde ma tendresse
Aujourd'hui et pour toujours.

Je ferais de toi tout cela,
Mais je suis comblé de joie,
Car ceci n'est autre que toi,
La femme qui guide mes pas.

Par Aërandis le 19/10/2002 à 16:03:26 (#2364051)

Perle de nacre née de l'océan,
Gemme issue des grandes profondeurs,
Je te contemple depuis bien longtemps,
Joyau sublime, lumière de mon coeur.

Diamant, tu es si parfait et si pur,
Te contempler brûle mes pauvres yeux,
Toi le chef-d'oeuvre de Mère-Nature,
Beauté perdue des dieux orgueilleux.

Joaillier, je pose mes instruments,
Fasciné par une telle merveille,
Je ne la toucherai point cependant,
De peur d'abîmer ce petit soleil.

Sans monture, ni aucun ornement,
Tu irradie de toute ta beauté,
Et pour moi, j'ai l'immense enchantement
De pouvoir a mon doigt de porter.

Pour toi, le tendre joyau de mes nuits,
Je sculpte puis grave ce simple anneau,
En espérant que je passe ma vie
A te murmurer de semblables mots.

Par Anakin Spades le 19/10/2002 à 19:15:46 (#2364920)

J en connai une qui a beaucoup de chance ;)

Par Murdox Drako DN le 19/10/2002 à 21:42:26 (#2365782)

Sincèrement tres bo ma ptite floflo ;)
Continue surtout, ne t'arretes jamais :)

Bisouilles :amour: :amour: :amour:

Par Xcyrix_vaylor le 20/10/2002 à 6:53:04 (#2367380)

/clap Magnifique Flo

bisous :)

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