Errances..

Par Belgalak Naïs/Olad le 8/9/2002 à 9:43:17 (#2117831)

Il erre.. Dans les rues.. les villes.. les îles.. Ne répondant pas aux échos qui résonnent dans son esprit.. Il voit des gens.. en boit certains.. en évite d'autres.. tout va très vite à présent.. Il n'a pas de but.. plus de but.. plus rien..

Cinnamon.. Cinnamon.. Cinnamon..

Le vent ne le caresse plus.. La lune ne l'éclaire plus.. La nuit ne l'enchante plus.. Il est invisible et éphémère.. Les nuits passent les unes après les autres.. Rien n'avance.. Plus rien..

Cinnamon.. Cinnamon..

Il ne ressemble plus à rien.. Il est un fantome de son monde.. Il n'a plus d'âme.. Elle a disparu, maintenant.. Il ne la cherche pas.. Mais il continue d'entendre ses appels.. Tout le temps.. Sans elle, il n'est plus rien..

Par Démone Layn AP le 8/9/2002 à 18:32:43 (#2120818)

*entend toujours la même chose venant d'une voie au loin*

Pauvre homme, il doit avoir le coeur brisé pour parler ainsi. J'espère que cela ne m’arrivera jamais. *petit sourire en sachant mon amour auprès de moi*

Enfin je lui souhaite bonne chance dans sa quête.... 'Cinnamon' ce nom qu'il répète sans arrêt j'espère qu'il ne parle pas de la soeur a Xantar, une dame blanchâtre et bizarre. J'ai presque crus qu'elle me mangerait la main quand je l'es rencontrer.[/

*pensive*

Enfin je lui souhaite de retrouver un amour.

Par Eternitia LQCA le 8/9/2002 à 19:24:57 (#2121182)

Voyant ainsi errer Belgalak, Eternitia se souvint de la douleur comparable à nulle autre lorsque sa lueur s'en était allée. Elle connaissait ce sentiment de vide, cette impression de sollitude irrémédiable. Cette peine qu'aucun mot de réconfort ne peut atténuer.
Elle se souvient aussi de l'envie de mourir, cette tentation lorsque l'on ne pense plus pouvoir se relever tant la tristesse vous afflige.
Oui, elle qui est messagère de la Haine, elle avait voulu mourir par amour.... un paradoxe ou une fin en soi ? Probablement ne le saurait-elle jamais...
Belgalak répétait sans cesse le nom de son aimée, comme Eternitia l'avait fait refusant de croire à la mort.
Le temps était passé et bien qu'il soit impossible d'oublier, bien que la blessure ne s'efface jamais, elle était condamnée à vivre comme Belgalak l'était ce soir-là, déambulant au hasard de ses pas.
Elle soupira. Il finirait par comprendre... On n'oublie pas mais on s'habitue à la douleur. On croit même qu'elle diminue...

Par Cinnamon E.Awn le 9/9/2002 à 4:10:13 (#2123775)

Toujours unis par la pensée et par le sang... Cinnamon entendait Belgalak, ressentait le mal qu'il avait. Que faire sinon le comprendre puisqu'elle ressentait la même chose. Seul un mot apparut dans sa tête... le nom de celui qu'elle aimerait éternellement

Belgalak...