Silversky, nouvelle étape

Par Ysthar le 2/9/2002 à 17:10:22 (#2081319)

OOOOO Finalement, je ne pouvais que sourire, mes mots, colportés par mes écrits et des amis avaient finalement atteint des nobles oreilles entrainant maintenant ma nomination en tant que Barde de Silversky...

OOOOO Je prenais donc étape dans la taverne de la capitale, déposant en ma chambre un nombre assez grands d'objets hétéroclites provenant de mon sac...

OOOOO Un étui en cuir contenant une flûte argentée et une flûte de bois vernis, un petit coffret contenant un instrument si rare en Goldmoon, un violon, et son archet... déposés paisiblement sur un écrin de velours... Puis, un carnet rempli de déssins et de croquis, un art ou je n'était guère virtuose bien que mon père m'ait appris en être doué...

OOOOO Divers outils d'écriture, le reste de mes instruments à cordes, des petites bourses contenant de précieux cadeaux... tout mes effets y passèrent...

OOOOO J'était installé, ma chambre serait surement la mienne pour un moment... le bureau serait la fondation physique de mon inspiration... et sa bougie à la flamme vacillante serait mon alliée...

OOOOO Je sortis, fermant la porte derrière moi, descendant les escaliers, laissant la clef au tavernier que je devrais bientôt apprendre à plus connaitre... Des pas vers la bibliothèque... j'allais déposer des odes à la ville... cette ville aux Cieux d'Argent où j'était maintenant plus qu'un conteur errant...


Silversky, la ville aux Cieux dÂ’Argent

Ville soleil, castel dÂ’un Roy
Irradiant écu, d’argent immortel ma foi..
Chantez louanges pour Silversky !
Ode céleste pour berceau d’étoiles
Marchands, sorciers, tous tissent toiles
Tentant à la vie d’être héroïque
Elevant ces murs maintes fois mythiques
Suprêmes… suprêmes… sont les voix mélancoliques de ces cieux
Sortant des gardiens comme des uniques psaumes qui chante :
"Entrez ! venez ! dans la cité d’argent…"
Â…
Maintenant, nuit tombe et ce subtil diamant
Arbore fièrement les armes de la droiture
Narguant les hordes furieuses dans lÂ’ombre
Altière cité, qu’envie les hommes présents et futurs…

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Plaines, nature, voici en ton écrin
Ce diadème vif, brillant de platine
Louages s’y chante, héros y arpente chemins
D’un ton léger, d’une cité fine
Ô Silversky, œil du ciel
Castel temporel aux danses éternelles
Creuset dÂ’une fondation, dÂ’un royaume forteresse
Capitale d’un an, symbole d’un siècle…
Â…
ArpentonsÂ… ArpentonsÂ… La ville aux cieux dÂ’argentÂ…
Que point nuages ne vient troublerÂ…
ChantonsÂ… ChantonsÂ… pour les dames aux yeux dÂ’ambre
Que lÂ’orage jamais ne fait cillerÂ…
Et enfinÂ…
Aimons… Aimons… La Cité aux milles splendeurs
Splendeurs que je ne puis nommerÂ…
Car je ne suis quÂ’un hommeÂ…
Et lÂ’homme se taitÂ…
Devant la beauté…

Fenrill, Humble conteur et Barde de Silversky, la Cité aux Cieux d'Argent

OOOOO Une fois les poèmes déposés en évidence, je m'éloigne, marchant dans la fraicheur de l'air matinal...

Par Etoile Noire le 2/9/2002 à 19:22:09 (#2082299)

Malvina fut heureuse de constater, à la lecture de ces écrits, que Fenrill n'avait rien perdu de son talent.
Aussi elle s'en fut, espérant avoir, dans un avenir proche, l'occasion d'écouter de nouveau la douce musique de sire Fenrill.

Par Alanis Lyn le 3/9/2002 à 5:26:58 (#2084914)

Barde de SilverSky... Voila un conteur qui a su plaire a la noblesse *sourit*

Un bel hymne pour la Capitale de notre Royaume.

Par Aina HarLeaQuin le 3/9/2002 à 6:05:44 (#2084965)

Quel dommage qu'un tel talent finisse au service d'une noblesse décadente et d'un Roy fratricide qui hiberne...

Par Sartosa/Luigi le 3/9/2002 à 10:56:18 (#2085858)

Loin de tout, une douce mélopée s'éleve doucement dans sa tête, le ramenant lentement vers la réalité...

Par Aloïsia d'Ambre le 3/9/2002 à 17:44:47 (#2088791)

Remarque les poêmes de Fenrill et les lis attentivement

Parlant à elle même
Et bien, je suis vraiment heureuse qu'il ai enfin cette place, il l'a mérite vraiment.
Il a encore du chemin, et son parcours est surement jonché d'embuches mais nul doute que son nom restera à jamais gravé dans la mémoire de Silversky.

Murmure presque inconsciemment

Fenrill mon ami, je te fais confiance

Ses mots résonnent en elle comme si elle venait enfin de franchir une étape supplémentaire