Bienvenue sur JeuxOnLine - MMO, MMORPG et MOBA !
Les sites de JeuxOnLine...
 

Panneau de contrôle

Recherche | Retour aux forums

JOL Archives

Enfance (BG)

Par Tcharek M'Sakar le 27/8/2002 à 1:57:41 (#2035066)

ENFANCE ...


Il te faudra apprendre de tes erreurs mon fils, prendre conscience de ce qui te fait défaut et reconnaître ton imperfection te permettra alors de t'améliorer ....

Ce sont la les derniers conseils que mon père me fit peu avant le tragique évènement qui plongea mon cur dans la haine et la souffrance.

Mon père était un chasseur, très doué de son arc on le disait capable d'atteindre les étoiles avec une de ces flèches. Toutefois malgré l'admiration que lui portais les gens de mon village il restait humble et répondais qu'avec un peu d'entraînement tout le monde pourrait être aussi bon que lui si ce n'est meilleur .

Mon père , en plus de ramener divers gibier au village avait pour rôle d'en assurer la protection avec quelques autres villageois.

Ma mère elle était un océan de douceur. Je me souvient encore de ces chants et de ces histoires qu'elle nous racontés a moi et ma soeur pour nous faire dormir.

Ma mère avait des affinités avec la magie , je ne me souvient plus très bien mais elle passait son temps a soigner les autres et de temps en temps elle nous quitter pendant un jour prétextant une visite a de la famille éloigné j'appris beaucoup plus tard le secret qu'elle nous cachés.

Quelques jours avant le terrible incident elle pressentait le malheur qui allait s'abattre sur le village et m'appris a moi et ma soeur deux sorts qui me furent très utile par la suite, la lumière et la protection .

Derniers membres de ma famille ma petite soeur, je me souvient encore de son rire qui n'avait jamais de fin elle rayonnais de joie et apporter bonne humeur a qui la voyait.

Je me sentait responsable d'elle étant l'aîné et j'adorais mon rôle de garde que je ne prenais pas a la légère, d'ailleurs un jour je me rappelle de m'être battu avec le fils du voisin pour avoir oser voler la poupée de chiffon de ma soeur.

Nous vivions dans une petite maison, notre village n'attirais pas les voyageurs et personnes n'y troublai la tranquillité . Personnes, enfin rien d'humain....

[hrp] voilà le cadre est posé suite il y aura si j'ai le coeur a l'écrire. Excuser les fautes j'ai du mal avec l'orthographe et la conjugaison. J'espere que vous avez pris du plaisir a lire ce petit texte. [/hrp]

Par TheYoMan / Ze Iomane le 27/8/2002 à 2:01:11 (#2035083)

:lit: :lit:

Sympa....

une suite ??



Certaines histoires ont quelque chose du cancer, une fois commencées, rien ne peut les arrêter.
Romancier et essayiste français [ Pierre Bourgeade ]


[EDIT : *regarde l'heure * AArrrgggg !!! Dodo powaaaaa !!!! :baille: ... bonne nuit tous ;) ]

Par lilooh le 27/8/2002 à 2:34:37 (#2035218)

:lit: :lit: oui la suiteeuuh !!!

*attend ..impatiente*

*aime les histoires*


:maboule:

Par Mayra Willer le 27/8/2002 à 2:41:39 (#2035231)

C'est beau :)

Par DamonWiller le 27/8/2002 à 2:42:59 (#2035234)

Bravo Tcharek Mkassar :p

Damon qui aime bien...

Par Roch Gorley le 27/8/2002 à 2:46:50 (#2035243)

lol moi d poemes c po mon fort du tout, lol tk continue qud meme

:hardos: KISS POWA:hardos:

Par Tcharek M'Sakar le 27/8/2002 à 3:06:14 (#2035278)

Le jour maudit....

Ce jour la ma mère revenait de voyage, comme a son habitude la première chose qu'elle fit a son retour fut de nous serré moi et ma soeur très fort dans ces bras.

Mais ce jour la son étreinte était bien plus forte que d'habitude et je pouvait sentir en elle un immense chagrin.
C'était ma mère et je n'osait pas l'interroger sur ce qui lui causait un tel soucis.

Relevant alors la tête, elle eu un regard plein d'amour et de tendresse vers mon père, le genre de regard que se porte les jeunes mariés et que l'on porte au dernier moment de la vie de son conjoint.

Maintenant que je repense a son comportement je ne peut plus nier l'évidence elle connaissait le sort qui nous était réserver .

Mon père décida de faire une ronde avant de passer à table, moi je jouais paisiblement avec ma soeur pendant que ma mère préparait le repas et quelle repas sans doute le meilleure qu'elle nous avait fait.

Mon père de retour, nous nous installâmes et commencèrent a manger.

Je pouvais lire l'angoisse monter en elle toute fois ce n'était pas elle qui m'inquiétais le plus, c'était mon père.
Lui qui n'avait jamais peur du danger je le vit ces main trembler pour la première fois.

- papa tu tremble. Ca va ?

- Oui fils, j'ai juste fait une rencontre assez inhabituelle dans la foret. Une créature ailée a l'haleine de souffre .

- Un dragon ?

- Non beaucoup plus petit je lui ai décoché quelques flèches et elle a fuit. Ca ne me plait guère j'ai avertit les autres gardes de la ville une battue sera organiser.

Il se leva et se dirigea vers la porte son arc a la main prêt a chasser la bête avec les autres hommes du village. C'est alors que ma mère se leva et interpella mon père.

- Attend ! Il faut que je te parle.

- De quoi ? dit il en se retournant.

- La bête elle ... ils ... fait attention a toi.

- Je reviendrais mon amour et toi Tcharek prend soin de ta mère et de ta soeur pendant mon absence.

Il ferma alors la porte et s'en alla avec les autres gardes affronter cette bête inconnue.

[hrp] Voila un nouveau volet tout juste écrit vu que ca a l'air de plaire je vous en pond un autre de suite [/hrp]

Par Tcharek M'Sakar le 27/8/2002 à 4:28:43 (#2035445)

La chasse ou l'illusion de la victoire...


Ma mère refusant de me laissé sortir voire comment s'organiser nos meilleurs combattant, j'observait alors par la fenêtre les préparatif de cette grande expédition.

Les guerriers polissaient leurs armures et aiguiser leurs armes. Ils étaient impressionnant certain manié la hache, d'autre l'épée. Il y en avait même un avec une dague, les autres se moquaient de lui mais il restais fière.

Leurs armures lourde et bruyante ne favorisé en rien une attaque surprise et ils le savaient. Peu importe il voulait tous en découdre avec la bête et devenirs un héros en la terrassant.

Mon père était le seul archer, il eu pour idée de repérer la bête de la taquiner et la provoquer puis de l'amener en un endroit ou elle ne pourrait fuir a l'assaut de nos hommes.

Ce plan fut vite adopté et je les vit alors tous pénétré dans la foret certains allez en revenir d'autre non.

Pendant que nos valeureux combattant traqué le monstre , le village n'avait jamais connu si grand silence . Je pensais alors a l'affrontement qui avait lieu en ce moment et c'est alors que je vit ma mère a genoux .

Elle priait, cela me surpris car je ne la connaissait fidèle a aucune divinité. Ma soeur se mise alors a pleurer je la pris alors dans mes bras et essaya tant bien que mal a la consoler.
C'est alors qu'une douce chanson apaisât nos craintes et nos peine.Ma mère avait en effet commencer a chanter comme elle le faisait si bien .

Quelques heures plus tard, un cris résonna dans le village. Mais pas un cri de détresse, non un crie de joie et d'allégresse nos hommes avait triomphé sans aucune perte .

On pouvait voir un homme porté en héros par les autres celui ci tenant dans ces main la tête de la bête.
Cet homme n'était autre que l'homme a la dague il avait chevauché le monstre tout en lui tranchant la gorge de son poignard il ne manquais pas de courage et les autres guerriers s'excusèrent d'avoir douter de ces capacité.

La créature fut alors reconnu par un ancien , il s'agissait d'un Gecko. Ce qui n'était pas du tout normal car ceux ci ne vivaient pas sur notre continent.

Les villageois fêtèrent cette victoire jusqu'à la nuit et tous riaient comme jamais auparavant mon père avait rejoint ces frères d'arme et buvait en leurs compagnie.

Tous le monde étaient heureux , enfin presque ma mère devenait de plus en plus nerveuse et inquiète.

Pourtant le mal était vaincue je ne la comprenais pas. Jusqu'au moment ou pointant son doigt vers le ciel elle dit ces mots :

- Cela ne fait que commencer !!

[hrp] La suite viendra plus tard, l'aprentit conteur par se coucher[/hrp]

Par zdravo le 27/8/2002 à 4:31:40 (#2035453)

:lit: :lit:


hiih heureux de lire tes écrits ;)

mais... mais l'icone RP o premier post :p

Par Tcharek M'Sakar le 28/8/2002 à 0:44:26 (#2042126)

Un affrontement bien inégale..



Cest a ce moment précis que le pire arriva. Tout les villageois levèrent la tête vers le ciel et leurs visages souriant se figèrent un instant avant de refléter la peur.

Ils étaient la, déployant leurs ailes et crachant leurs flammes dans notre direction. Combien étaient ils ? je ne saurait le dire une centaine, non probablement plus, ils étaient si nombreux quils recouvraient le ciel menaçant de leurs ombres notre village.

Cest a ce moment que prix de panique la plus part des villageois senfuirent dans la foret courant ainsi a leurs pertes sans le savoir dautres cétait réfugier dans leurs maison mais le bois faisant un excellent combustible il brûlèrent vif.

Quand jy repense, il marrive dentre leurs cris de souffrance et de sentir lodeur de leur peau calciner.

Cest alors quun cris retentit

-NON !!!!! Pas elle.

Cétait la voie de mon père et au sol gisait le cadavre dune enfant.

Cet enfant cétait ma sur.

Mon père fou de rage pris son arc et commença alors a tirer ces premières flèches. Il était fou de rage et ces yeux je navais jamais vu autant de haine dans ces yeux je me souvient parfaitement de son regard a ce moment la ce regard qui est dorénavant le mien.

Cest a ce moment la que la tendance sinversa mon père semblait investit dune énergie divine il faisait mouche a chaque coup. Cela redonna espoir a nos combattant et ils se mêlèrent alors au combat tentant tant bien que mal de repousser lassaillant.

Les pertes des deux cotés furent énorme mais les Gecko étaient bien trop nombreux a peine un fut il terrasser que deux autres venaient le remplacer.

Le combat était perdu davance. Cest a ce moment que nous entendirent des cris dans la foret, le village était encercler et les fuyards venaient de rencontrer nos assaillant. Nous comprirent alors que la fuite était impossible.

Et moi dans tout cela quelle était ma réaction jétait pétrifié par la peur une réaction normal pour un garçon de 8 ans pourtant je culpabilise encore de navoir rien fait.

Il ne restait alors plus que quelques hommes, ma mère utilisait ces sorts de soin et de protection, mon père lui continuer a combattre avec quatre autres guerrier la fin était proche et la fatigue commencer a les gagner.

Mes parents comprirent alors que la fin était proche. Ma mère me pris la main, mon père pris la main de ma mère et serra alors le corps de ma sur. nous nous agenouillèrent alors en attendant quune de leur flamme nous consume.

Nous lattendions et elle venait droit vers nous rouge et dorée terriblement chaude la mort aurait du me frapper a cet instant cest alors que ma mère dit ces quelque mots

-tu survivra mon fils, sache que je tai toujours aimer ne men veut pas et ne succombe pas a la haine et a lenvie de vengeance.

Mon père embrassa ma mère et la boule de feu nous toucha.

De notre village il ne restait plus que des ruines des survivant il ny en eu aucun. Enfin il ne restait plus que moi pourquoi avais je était épargner ? Pourquoi le malheur c'était abbatu sur nous?

Je le découvris plus tard.

Par Stalh le 28/8/2002 à 1:18:53 (#2042266)

:lit: :amour: :) Excellent! Encore!

Par zdravo le 28/8/2002 à 1:47:16 (#2042408)

:lit: :maboule:

allez !!! Fo ke les geckos cassent tout !! Fo ke le Mal gagne :ange: :hardos:

Par Shebara/Sephira le 28/8/2002 à 2:00:32 (#2042455)

bravooo!!
ca a fait plaisir de lire ton histoire..stp la suite!!:lit:

Par Tcharek M'Sakar le 28/8/2002 à 4:04:42 (#2042839)

La fin d'une vie, la naissance d'un aventurier...


Quand la boule de feu nous toucha, je perdit alors connaissance. A mon réveil Quelle de fut pas ma surprise de découvrir que jétais encore en vie. Aujourdhui jexplique ma survie grâce au sacrifice de la vie de mes parents. Ils avaient fait de leurs corps un bouclier qui mavait protégé du puissant projectile enflammé.

Le jour sétait levé, je me trouvais alors sous la dépouille de mes parents. Javais envie de hurler de terreur, de crier ma peine mais au fond de moi je savais que crier aurait attirer lattention des Gecko ce qui maurait valu une mort certaine.

Je me mit alors a respirer le plus lentement possible ces créatures sen irait bien a un moment ou un autre. Alors jai attendu des heures et des heures. De temps a autres jentendais un battement de leurs ailes, leurs griffes racler le sol leur gueule broyer de la chaire.

La nuit tomba ils étaient encore la profitant jusquaux dernier morceaux de viande de nos vache et de nos hommes. La faim me toucher mais je ny pensais pas il me fallait tenir le temps quil faut. Avec la faim vient la fatigue et je mendormis ce fut la première journée et malheureusement pas la dernière.

Le lendemain je méveillais, jespérais que les créature seraient partit pendant la nuit mais il nen nétait rien. Encore une journée a attendre le ventre vide et la gorge sèche. A supporter le poids et lodeur du corps de mes parents.
Lidée me vint de me nourrire deux mais je ne le pouvait pas jaurais préférer mourir plutôt que de faire cela.

Les Gecko communiquais par cris, je pouvais les voire fouiller les moindres recoin de ce qui restait de notre village a laffût de quelque denrées alimentaire.
Le soleil avait atteint son zénith cest alors que je vit senvoler les premiers Gecko. Ils navaient plus rien a faire ici le village navait plus aucune ressource a leur fournir.

Mon calvaire allez bientôt finir, en tout cas cest ce que je croyais. Il restait encore deux ou trois de ces créatures, elles continuèrent a patrouiller dans le village pendant un moment puis elles prirent leurs envole.

Je me mit alors a penser que cétait enfin fini, mais je me suit dit quil était plus raisonnable de rester cacher encore un instant pour plus de sécurité et de sortir de mon refuge la nuit tombé.
Les secondes me paraissait des heures, pour occuper mon esprit je me mit a chanter les chanson que me chanter ma mère. Je chanter dans ma tête bien entendu.

La nuit vint enfin, je sortit alors de ma cachette. Les Gecko étaient finalement partit, laissant derrière eux un village en cendre et la mort de tout ces habitants. Je jetais alors un regard vers le cadavre de mes parents et je me mit alors a pleurer a chaude larme, je me blottit contre eux et mendormis.

A mon réveille, il fallait bien que je trouve a manger si je ne voulais pas mourir de faim. Je fit alors le tour du village et réussis a trouver quelque morceaux de pain et des pommes. Une fois rassasier, Je me mit a creuser des trous, il fallait que jenterre mes parents et ma sur.

Leurs corps étaient finalement sous-terre, je me tenait debout face a leurs tombe. Et je me mis a penser a ce que jallais bien pouvoir faire a présent.

Cest alors que me vint a lesprit le nom de cet ville connue pour y accueillire les jeunes aventurier. LightHaven, cest ainsi quon lappelait il me semble jy serait accueilli et je trouverais bien un moyen de survivre dans une grande ville comme celle ci.

Ma décision était prise, je pris quelque vêtement avec moi de quoi me nourrire pour le trajet et je me mit en route. Quand tout a coup mon regard fut attitré par un objet brillant.

Cétait une dague, La dague que manier ce guerrier héros dun soir. Il fallait bien que je me défende alors je la pris avec moi et me mis en route vers light Haven.

[HRP] Je suis ravis que ca vous plaise, je pense que je vais me mettre a écrire un peu plus apparement je suis pas si mauvais. Et oui Z Gecko 1 humain 0 . Mais comme on dit la vengeance est un plat qui se mange froid [/HRP]

JOL Archives 1.0.1
@ JOL / JeuxOnLine