L'âme empoisonnée...

Par Vaëris le 17/8/2002 à 20:33:39 (#1976191)

Il était une fois une jeune femme qui, ayant déjà tout perdu, imagina aller plus loin dans la perdition. A quoi servent lâme et la vie, si cela ne sert à rien, nest il pas ? Aussi, alla-t-elle voir ses amis et, face à chacun, tint de tels propos, quen peu de temps, ils eurent tôt fait de lui tourner le dos.

Il lui restait un seul ami saccrochant pour lui éviter la perte totale de ce quelle fût Alors elle prit un couteau, le lui plongea au plus profond de son c½ur, partit en le laissant là, sans un regard en arrière.

Lesprit vidé, le c½ur arraché, il ne restait plus quà partir au loin, sur cette route droite menant nul part, et, pour la première fois depuis longtemps, la souffrance était partie, les peurs dispersées et le vide la remplissait.

La morale de cette histoire ? Il faut laisser certains êtres errants là où ils sont sans sen approcher car ils napportent que souffrances et maux avec eux.

Par Karl le 17/8/2002 à 21:11:00 (#1976349)

Il faut croire que certains aiment et se complaisent dans leur malheur. Comment expliquer sinon cet acte ? Comment expliquer que l'on préfere perdre un ami plutot que de le conserver.

Peut etre la jeune femme n'aimait pas suffisament cet ami. En tout cas si il comptait réellement pour elle, il est évident qu'elle ferait tout pour le récuperer. Ce n'est pas si difficile de se faire pardonner, surtout si ils se connaissent bien.

En tout cas je plains celui qui vivra sans peur ni joie.

Par Elfangor Syx le 20/8/2002 à 0:09:15 (#1988078)

*songeur*

Par Lagh le 20/8/2002 à 0:24:57 (#1988162)

La personne suivant cette voie est ne culpabilisant pas d'avoir tué ses propres amis a-t-elle encore quelque chose de bon en elle?

Par Vermeer le 21/8/2002 à 17:36:22 (#1998918)

Est-ce autobiographique? *inquiet*