Bienvenue sur JeuxOnLine - MMO, MMORPG et MOBA !
Les sites de JeuxOnLine...
 

Panneau de contrôle

Recherche | Retour aux forums

JOL Archives

Histoire de la vie..

Par Blind Weeds le 10/8/2002 à 21:49:45 (#1944650)

Histoire des Séraphins

Parti depuis longtemps à la recherche de l'ancien peuple des Séraphins, je rentre enfin dans Goldmoon avec, peut-être, quelques éléments de réponse.

J'ai cheminé parmi des déserts alternants aux monts enneigés, rencontré des créatures étranges et une flore indescriptible. Au bout de quelques mois, alors que mon périple semblait ne plus vouloir se finir et que l'envie d'abandonner commençait a poindre, je m'arrêtai quelques jours dans l'abri sommaire qu'offrait une grotte.
Ayant repris un peu substance grâce aux fruits de ma chasse, je balançai ma sacoche magique sur mon dos et m'apprêtai à repartir quand soudain, mon regard croisa une fresque que jusqu'alors la fatigue avait du dérober à mes yeux.
Ragaillardi par l'espoir d'y voir un indice pour finir mon voyage, je m'en approchais et entrepris d'enlever la poussière qui la couvrait. Un être ailé apparut au milieu de cette fresque ! Interloqué devant cette image, je me mis en devoir d'ôter tout ce qui pouvait gêner sa lecture. Une brindille semblait jaillir de la tête du séraphin, je l'enlevai prestement. Le bruit lointain de fer et de chaînes en mouvement se fit entendre. Je regardai ce que j'avais ôté et m'aperçut que la brindille ressemblait plus a un loquet. Le mur ou était la fresque pivota. Je m'avançai dans la pénombre avec comme éclairage la dernière torche qui restait dans mon sac. Les ombres semblaient s'éloigner au fur à mesure que j'avançais, j'en déduit que je commençais a quitter le couloir de pierre pour déboucher dans quelque chose de plus grand.
Effectivement quelques minutes plus tard, la lumière du jour m'éblouit.
Et elle apparut.

Une immense cité construite tout en hauteur, ou la base des bâtiments reposait sur d'énormes colonnes. La montagne encerclait cette cité comme un rempart, des murailles si hautes que nul humain n'aurait pu les franchir. Seuls des êtres ailés semblaient pouvoir habiter ici .
Je déployais mes ailes pour rejoindre le plus haut des bâtiments. Lorsque je dépassai la cime des colonnes, les premières habitations me furent visibles... Ruines est un terme qui conviendrait mieux, car c'est tout ce qu'il en restait. Les maisons étaient à bas et des gravats jonchaient les chemins qui reliaient les colonnes entre elles. On devinait qu'une terrible bataille avait eu lieu et qu'elle avait terrassé tous les habitants de cette glorieuse cité.

J'errai dans les ruines ne sachant ou aller, avais-je fais tout ce voyage pour revenir bredouille ? La lassitude commençait à m'envahir.
Tournant mes yeux vers le ciel comme pour implorer une aide, je vis plus haut, un bâtiment qui semblait en meilleur état.
Je grimpai les marches qui y menaient, empruntai quelques escaliers incrustés dans la façade rocheuse pour arriver devant l'entrée de la construction. Au dessus de la porte principale un écriteau se balançait au gré du vent : "Célestia". Etait ce la nom de cette cité ? Etais je devant ce qui conviendrait d'appeler l'office du bourgmestre?
Pour m'en assurer, je poussai la porte et fis quelques pas à l'intérieur.
Une hideuse créature apparut ! Elle invoqua un sort inconnu et des éclairs apparurent dans ses mains. Pensant que ma dernière heure était venue, je n'eus pas même le réflexe de me défendre. Mais les éclairs semblaient se figer devant moi, menaçant toute fuite ou toute progression. La créature me parla :

-"Trois fois trois êtres sont mes gardiens, prouve ton origine et tu connaîtras l'ancien, sinon l'inéluctable jugement sera tien".
Encore abasourdi par cette apparition et étonné de ne pas être déjà mort, j'eus grande peine à me concentrer. Heureusement la créature semblait patiente et je me mis à penser à sa phrase. Qu'est ce que le chiffre 9 pouvait représenter et comment prouver mon origine? Je partis en controverse, débattant avec moi-même, prenant soin de ne pas parler tout haut et faire que ma première phrase fut la dernière.
Puis je répondis:
-"Quatre sont les pères, quatre sont les enfants et un n'a pas de parents". Puis je posai une de mes plumes au sol.
*silence*
-"Ton origine est prouvée et mes gardiens tu connais. Entre ici chercher ton passé".
Créature et éclairs disparurent, j'étais libre d'explorer.

L'endroit ressemblait plus à une bibliothèque qu'à un office de bourgmestre. Les murs étaient couverts de fresques témoignant de la grandeur de cette civilisation. L'une d'elle semblait me rappeler quelque chose. Elle montrait le ciel et ses étoiles en indiquant avec une forte couleur bleutée une constellation qui s'alignait avec la lune. Au bas de la fresque on voyait des êtres ailés qui entouraient une forme indistincte. L'Haruspice était très certainement la forme représentée, mais était elle là pour prévenir les séraphins, les détruirent ou leur laisser la vie ? Je ne trouvai rien attestant de façon certaine ce qui les avait détruits.

J'ai passé plusieurs jours dans cette bibliothèque, mais n'ayant rien pour me nourrir si ce n'est les réserves que j'avais amassées dans la grotte, je devais abréger ce séjour.
Je pris avec moi autant de livres et de gravures que je le pus. Mon voyage de retour s'amorçait, étant trop éloigné de mon sanctuaire, je devais encore beaucoup marcher.
Lors d'une longue traversée en bateau, j'eus tout loisir d'étudier les quelques reliques que j'avais emportées.
Un dessin ressortait du lot. Il montrait comment les Séraphins voyaient les divinités.

Ce que je ne m'explique pas c'est comment ils pouvaient louer Bréhan, fils d'Artherk et d'une humaine, alors que d'après Darkfang les séraphins avaient étés détruits bien avant les humains, les nains et les elfes.
Peut-être trouverai je ma réponse dans les ouvrages.
Effectivement je trouvai mon explication, dans ce qui semblait être un journal tenu par plusieurs Séraphins:

-"Nous les cinq justes avons pu fuir son jugement. Les dragons nous avaient prévenus que notre civilisation allait à la ruine, mais personne n'entendit leur mises en garde. Les Séraphins devinrent fats et orgueilleux, abusant des pouvoirs que nous avaient confiés les dieux pour lutter contre l'Haruspice. Lutter ou prendre conscience de notre vanité ? Ne nous ont ils pas confié tout ce pouvoir pour nous faire voir que justement il n'aboutissait à rien? Aujourd'hui encore je me le demande... Ironie ou sagesse, comment savoir ce que pense un Dieu... Aujourd'hui nous voila, 3 Séraphins et 2 Séraphines, anciens dignitaires des plus hauts clergés (Artherk, Ogrimar, Haruspice, esprits de la nature et sans dieux) dans ce qui fut la magnifique cité de Célestia. Nous devons penser à l'avenir maintenant et tenter de reconstruire et protéger cette cité".
*tourne la page*
-"Ce matin j'ai appris que l'haruspice avait jugé les elfes. Mille ans déjà se sont écoulés. Mes filles jumelles avaient choisies comme Déesses Syl et Sélène, elle seront très attristées d'apprendre la mort de ce peuple. Quoiqu'on chuchote qu'elle en aurait épargné un... Quoi de surprenant, elle nous a bien laissés aussi."
*tourne quelques pages*
-"La douleur m'envahit... Ma compagne est morte ce matin... Nous sommes trop vieux pour enfanter maintenant et cette nouvelle cité commence déjà à se délabrer. Trop de travail et trop d'effort. Les nains viennent de périr aussi, je l'annoncerais plus tard à mon fils qui s'était allié avec Iago, il pleure déjà sa mère. Trop de douleur... Pourrai je encore le supporter longtemps ?"
*tourne la page*
-"Ma fille va partir elle aussi... Glaenshenmilandira a décidé de rejoindre ceux qu'elle considère comme ses frères, les humains. Je me rappelle que déjà petite elle avait voulue de Bréhan comme Dieu... Tout se meurt ici. Ma femme et moi nous faisons vieux... Nous ne pouvons plus voler. Je préfère la voir partir plutôt que de rester dans ce désert de ruines et de cendres".
-"Glaenshenmilandira est partie hier... J'ai fermé le mur derrière elle et ait protégé l'accès de la cité avec ce qu'il restait de matériel ici. J'ai dis adieu à ma fille... Ma femme et moi sommes les derniers ici. Nous nous apprêtons a rejoindre nos ancêtres car nous n'avons plus de raison de vivre. Le dernier espoir repose en ma fille, elle est la dernière Séraphine, dernier témoin de notre existence".

Je fermai le journal. La douleur m'envahit aussi en pensant à ces êtres isolés qui avaient vu leurs proches s'éteindre au cours de milliers d'années.
Que penser de tout cela?
Mon esprit vagabonda... Puis j'éteignis la chandelle et m'endormis d'un lourd sommeil, en serrant dans ma main l'arbre généalogique des séraphins, harassé par ces toutes ces pensées.

Le bateau avait depuis longtemps dépassé le royaume d'Angélus. Je fis halte dans quelques îles perdues, dernier paradis sur terre ou les habitants semblaient jovials et visiblement épargnés par toutes guerres.
Je quittai péniblement cette terre d'accueil pour rejoindre l'île de StoneHeim grâce à mon sort de rappel.
J'avais fait tout ce chemin pour découvrir qui j'étais devenu, et la réponse était depuis toujours près de moi. Glaenshenmilandira était la clé, que ne l'avais je questionné avant... Bataillant contre skraugs, tarentules et momies, je finis par arriver à sa maison.
Elle semblait ne rien vouloir dire sur ses origines et sur sa ma condition de Séraphin. Pensant qu'elle se sentait peut-être coupable d'avoir fui ses parents et la vie qui l'attendait à Célestia, je lui tendis le journal que j'avais ramené.
Elle le lut entièrement et pleura longuement. Puis elle se résolut à tout me raconter, sentant que comme elle, je me sentais seul dans ma nouvelle existence :

-"Il y a des centaines d'années je suis venue m'installer ici. J'étais près des hommes tout en étant éloignée. Seuls les plus valeureux pouvaient arriver ici et je leur confiais différents cadeaux. Un jour le dernier elfe arriva prés de l'île de StoneHeim, sa puissance était grande et il menaçait l'espèce l'humaine d'une destruction totale. Le royaume de Goldmoon ne pouvait offrir aucune aide, la solution était ici et nous devions la trouver.
Un seul homme avait paru plus valeureux que les autres mais ses pouvoirs, même s'ils étaient grands, ne pouvaient vaincre la liche. Nous conjuguèrent nos savoirs pour l'enfermer sur une île prés d'ici. La liche emprisonnée, j'appris a mieux connaître cet homme, tu le connais sous le nom de l'Oracle. Nous devînmes amoureux l'un de l'autre et nous eûmes un fils, Bastien.
Mais nous avons craint pour son avenir. Si la liche s'enfuyait elle risquait de tuer tous les hommes et parmi eux, notre fils. Je ne pouvais admettre cela et résolus d'enseigner à l'Oracle tout ce que je savais sur les alliances avec les dieux.
Il te faut comprendre que nous ne sommes pas de la même essence, toi tu es né homme et tu as librement choisi de t'allier avec un dieu. Tu n'engendreras pas des Séraphins, mais des humains qui pourront eux aussi s'allier avec le dieu de leur choix.
Les Séraphins dont je suis la dernière représentante, naissaient Séraphins et exécutaient une deuxième renaissance pour conclure ce pacte. Ta deuxième renaissance est elle, la possibilité de retrouver tous les pouvoirs qui nous habitaient.
Je ne sais si les décisions que moi et l'Oracle avions pris précipitèrent cette île dans le chaos, mais une barrière entoura l'île afin de nous séparer du reste d'Althéa. Un ordre nous fus adressé, par qui je ne sais, mais nous devions être séparés. L'Oracle partit dans un plan et moi je fus condamnée à rester ici, loin de mon fils.
Les années se sont écoulées ainsi, jusqu'au jour où les habitant de Goldmoon levèrent le bouclier. Il faut croire que les Dieux en ont voulu ainsi. Nous avons donc du reprendre notre ancien rituel, nous alliant avec d'autres hommes pour que tu puisses retrouver les éléments que j'assemble.
L'Oracle possède mon savoir et intercède auprès des Dieux pour qu'ils puissent te faire renaître. Mais comme Mordenthal ou Beltigan te l'a dit, tu n'est pas leur jouet ni le notre.
Si ce rituel ne leur plaisait pas ou qu'ils ne reconnaissaient plus l'alliance que les premiers séraphins avaient contractés, tu n'existerais pas."

Des questions se précipitèrent dans ma tête, il m'en fallait savoir plus pour être en paix avec moi-même :

-"Mais depuis toujours je sers Syl, pourquoi n'est ce pas en son nom que je suis devenu Séraphin ?"
-"Artherk et Ogrimar ne sont que des mots. Derrière eux se cache l'aspiration au bien ou au mal. Chaque Dieu a sa face cachée que tu choisis de servir. Bréhan peut être un dieu du courage et de la force, mais la force n'est elle pas mauvaise quand il faut savoir régler un conflit par la paix ? Les mystères de Syl ne sont ils pas néfastes quand l'individu doit trouver une réponse à ses questions pour vivre ?"
-"Mais des êtres sont nés avec des ailes blanches alors qu'ils servent le mal ! Ils prétendent même avoir trompé les Dieux !"
-"J'ai bien répondu à ta question."
-"?"
-"Je t'ai dit que la couleur témoignait de la voie qu'on suivait, pas de l'exacte essence de ton être. Les dieux ne te jugent pas, ils t'accordent les pleins pouvoirs pour te réaliser. Si tu choisis de passer par la voie d'Artherk alors que tu sers intérieurement Ogrimar, tu auras des ailes blanches certes, mais ton coeur sera noir lui."
-"Mais comment pouvons être certains de vraiment savoir à qui l'on parle ?"
-"Crois tu qu'un homme puisse changer le cours de sa vie ?"
-"Oui, certainement."
-"Et tu voudrais que les séraphins ne puissent la changer ? Rappelle toi ce que je viens de te dire, les Dieux t'accordent les pleins pouvoirs pour te réaliser. Si telle personne a cru bon de suivre la voie du mal pendant vingt ans puis change pour devenir la plus humble et la plus compatissante, doit elle être marquée à vie par une paire d'ailes qui ne témoigne que de son passé ?".
-"Non effectivement... *réfléchit* Veux tu dire que peu importe les ailes, les Dieux apportent aux hommes ce dont ils ont besoin pour s'épanouir ?"
-"Je vois que tu commences à comprendre."
-"Ainsi les hommes qui ne désirent pas être Séraphins sont ils déjà épanouis ?"
-"Je ne saurais le dire, mais certains parmi les Séraphins de mon espèce ne désiraient pas renaître une deuxième fois, peut-être avaient ils déjà trouvé ce qu'ils cherchaient."
-"Mais je croyais que mon but en tant que Séraphin était de détruire la liche, pas de m'accomplir !"
-"Tu inverses le problème, peut-être penses tu que pour t'accomplir tu dois détruire la liche".
-"Mais si nous le faisons pas, elle détruira les hommes!"
-"Ce qui détruira les hommes, c'est de penser qu'ils ne peuvent être détruits. Que tu restes humain ou Séraphin, ton pire ennemi restera toi-même."
-"Mais vous même avez partagé votre rituel pour que nous puissions la détruire. Pourquoi donc alors ?"
-"Je n'ai pas toutes les réponses, mais je sais que je devais le faire. Et si je n'avais pas eu ce droit à partager mon rituel, les Dieux m'en auraient empêché tout comme ils vous auraient empêché d'ôter le bouclier de StoneHeim. Ce qui doit être fait doit se faire. Peut-être les Dieux ont ils estimé qu'une partie d'entre vous devaient devenir Séraphins pour vous accomplir, atteindre un autre stade pour prendre conscience d'autre chose."
-"Un autre stade pour... Comprendre que nous somme vaniteux ?"
-"Peut-être... Ma mère me racontait souvent que les elfes étaient doués en magie. Syl leur avait donné une grande magie, tout comme Iago une grande fortune aux nains. Magie, fortune ou compassion, tout cela ne les a pas sauvés... Aucun ne vit le cadeau qu'une naissance représente car aucun ne pense que c'est un cadeau, les Dieux ont peut-être pensé qu'un 2ème don ouvrirait les yeux de certains.
Les cinq séraphins qui ont survécu au jugement de leur peuple étaient les plus hauts dignitaires de leurs clergés. Ils avaient tout pour eux, la gloire, la fortune... Mais veux tu savoir pourquoi ils furent épargnés ?"
-"Oui, bien sur !"
-"Les cinq répondirent à l'Haruspice qu'ils n'avaient rien, que leur plus grande richesse était celle de vivre..."
*pensif*
-" Faut il tout avoir pour comprendre qu'on a rien ?"
-"Cela dépend de chacun mon ami... Mais le soleil se couche déjà. Je vais devoir me reposer. Me laisserais tu le journal récupéré à Célestia ? J'aimerais continuer à le remplir".

Voila le récit de mon voyage ami, je ne sais si mes sens m'ont trompés, ou si j'ai pu mal interpréter ce que l'on m'a dit. Je ne suis certain que d'une chose dans tout cela, me voila plus serein.



Petit Rajout pour eviter toute méprise le texte est d'Hagaya

Par Holdan Teiglin le 11/8/2002 à 0:53:49 (#1945006)

Dissimulé dans l'ombre, il ecoute le récit de Blind..

Par Kavadias le 11/8/2002 à 4:21:58 (#1945370)

:lit:

Par Gaelle Drake3RD le 11/8/2002 à 14:17:31 (#1946341)

:chut: :lit:

Par Sharok Pos SER le 11/8/2002 à 21:35:55 (#1947654)

*Flemard de lire ca tout de suite mais repassera sans aucun doute*

Bravo par avance mon ami.

:lit:

Par Blind Weeds le 12/8/2002 à 11:20:45 (#1949853)

lol faineant ! allez on dois tt lire c un ordre :p :p :p

Par Ashraaf le 12/8/2002 à 11:27:01 (#1949877)

:)

Par Vampyr le 12/8/2002 à 11:44:41 (#1949952)

il serait bon de rendre a cesar ce qui appartient à cezar, ce texte est de hagaya, mot pour mot, c'est toujours un grand plaisirs de le relire, mais ne tentons pas de prendre sa couronne :). une chose tout de meme, tu aurait mis les 3 images, le texte serait encore + passionant ;)
:lit:

Par Blind Weeds le 12/8/2002 à 12:29:18 (#1950194)

lol ta raison :) mais moi je n'est trouvé que ca et j'ai voulu en faire profité tt le monde ;)

JOL Archives 1.0.1
@ JOL / JeuxOnLine