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[BROC] Concours de chant et de poésie

Par Joffrey le 6/8/2002 à 10:56:15 (#1923947)

Joffrey relachait la corde qu'il venait de pincer sur son luth et une dernière note résonnait dans la salle de l'auberge

- J'espère que ce morceau vous a plu, dit il d'un sourire timide.
- Oui il était très beau et chargé d'émotions, lui répondait la belle Fraisetagada.
- Oui vraiment très joli, dit Kaywyn en applaudissant.

un grognement se faisait entendre un peu plus loin

- Je n'ai rien compris à cette chanson, vous n'avez aucun talent, s'exclama Perce Le Vent !
- Plait il, rétorqua Joffrey ?
- Votre texte est incompréhensible !
- Peut être n'était il ouvert qu'aux érudits et non pas aux pauvres paladins soucieux de leur image...
- Que dîtes vous ?!

les ombres rassemblées dans l'auberge regardaient leurs deux protagonistes

- Eh bien peut être confrère de l'ombre, n'avez vous pas l'esprit assez éveillé pour capter l'essence même de cette chanson.
- Cela suffit ! Les menestrels se doivent d'être compris par tout un chacun, du petit serf au grand noble !
- Mes chants sont compris par ceux qui veulent les comprendre...
- FOUTAISES ! Vos chants sont aussi pâles que votre luth... Vous tenez plus de l'amuseur de foire que du chanteur de renom !

Joffrey posa son luth et s'approcha de Perce Le Vent

- Ainsi mes chansons sont "pales"...
- Oui, vous n'avez aucun talent pauvre de vous !
- Très bien messire Paladin, je vous mets au défi de faire mieux !
- J'y arriverai sans aucun problème !!
- Très bien alors le défi et lancé !
- Puis-je y mettre quelques conditions ?
- Tout dépend lesquelles...?

Perce Le Vent se mit à réfléchir

- Mes conditions sont les suivantes : nous nous affronterons sur deux thèmes. Laissons nos amis les choisir. Il devra s'agir de compositions originales...
Joffrey lui coupa la parole
- Messire je suis un menestrel, un chanteur, mon rôle et de chanter et de sublimer les chansons des autres, rarement de les écrire moi même...
- Auriez vous peur de perdre, petit musicien que vous êtes ?
- Non très bien, je suis sûr de faire mieux que vous... Quels sont les thèmes choisis ?

une ombre prit la parole

- Et pourquoi pas l'Amour et la Mort, proposa Torm ?
- Parfait, repondirent les deux concurrents en coeur !

une autre voix se fit entendre

- Que tout ceci est excitant, puis je me joindre à ce défi, demanda le jeune Cloaker ?
- Pourquoi pas, répondit Joffrey. Cela serait l'occasion pour tous de montrer notre fibre créatrice.
- Eh bien je m'y mets tout de suite !
- Quand aura lieu le défi, demanda Perce Le Vent ?
- Je vous donne rendez-vous Jeudi soir à 21h dans la salle de la Table Ronde, répondit Joffrey.
- Très bien j'y serai !
- Moi aussi, répondirent d'autres voix.

On pouvait voir les sicaires et autres ombres tremper leur plume dans leur poison et composer des sonnets et autres pamphlets


[mode hrp on]
Bonjour, voici le résumé d'une discussion qui n'a pas eu lieu hier (je vous rappelle que nous n'existons pas) et qui a abouti à ce defi. Ce concours a pour but de determiner qui de Joffrey ou de Perce Le Vent sera le meilleur conteur. Mais ce concours est ouvert à tous, et le meilleur chanteur (hormis Perce et moi même) aura un cadeau :D

RDV Jeudi 8 août à 21h dans la salle de la table ronde à Camelot pour ceux qui veulent regarder et/ou participer

Par Shalke le 6/8/2002 à 11:35:10 (#1924156)

-Aaahh malheureusement , mon verbe n'est que poison , et de ma bouche sors des viperes . Je ne participerais donc pas , mais je serais la pour m'occuper de la reputation du perdant

Peut etre que si le defis avait porté sur d autres talents artistique j'aurais pu concourrir ..

Par Gweltas le 6/8/2002 à 13:05:45 (#1924679)



Et pourquoi pas sur le vin, les femmes et les bardiches?
Décidémment c'est pas la peine de laisser des idiots pareils choisir leur sujet! Ils n'y comprennent rien à la vraie vie!



Personne n'a vu mon cruchon de vin?

Par Perce le vent le 6/8/2002 à 13:54:40 (#1924990)

Mon cher Joffrey, vous changez à votre aise la teneur de notre discussion parmi ceux qui n’existent pas. Auriez-vous peur qu’un simple homme de la sainte lumière tel moi puisse créer et chanter douces mélodies.

Je n’aurais pas la prétention de vous battre en cette joute verbale, cher Joffrey, après tout je suis qu’un simple combattant, c’est à peine si je sais écrire.

Mais soyez en sûr, je mettrai tout mon cœur et mon âme en ce concours, chose que je doute de vous, étant donné la haute opinion que vous avez de vous-même, pourtant j’ai l’espoir infime que toute votre essence se fera ressentir lors de notre duel.

Bonne chance à toi Joffrey et puissions-nous vaincre avec le plus haut courage contre la plus basse infamie, Fortissimo !

Par Beylad le 6/8/2002 à 20:19:23 (#1926967)

Qui sera l'arbitre de ce concours ?

Par Gweltas le 7/8/2002 à 9:30:05 (#1928889)



Pas moi... Je suis leur chef pas leur nounou!


Dites les aminches, arrêtez de montrer vos dagues et autres joyeusetés de travail, vous faites peur à tout le monde! Cette opération de diversion ne va attirer personne!

Par Beylad le 8/8/2002 à 10:15:05 (#1933521)

bon suite aux evenements recents, le concours est reporté parce que les paicipants principaux se sont perdus dans les Abysses... :doute:

Par Gweltas le 8/8/2002 à 10:58:04 (#1933679)

Mouahahahahah! Ca y est! Le petit Joffrey se couche devant Percelevent!

Mouahahahaha!

Par Beylad le 11/8/2002 à 12:45:45 (#1946091)

le concours aura officiellemnt lieu le mercredi 14 août à 21h dans la salle de la table ronde

Venez nombreux :)

Par Lowen le 12/8/2002 à 11:02:56 (#1949760)

note sur son journal la date ...[\i]

J'y serais

Par Joffrey le 12/8/2002 à 16:18:56 (#1951413)

Joffrey se rendit dans la salla de musique de l'Académie de Merlin
On pouvait entendre des cris mélés au son d'une flûte

- UN SOL BEMOL, hurlait Maître Vismer !! UN SOL BEMOL PELISSE !!!!

La jeune ménestrelle se mit à rougir honteusement

- Excusez-moi, lui répondit elle, c'est un flûte neuve et j'ai encore du mal à y habituer mes doigts.
- Ca ira pour cette ma petite, file avant que je ne change d'avis !

La jeune bretonne pris la fuite sans demander son reste

Joffrey prit la parole
- Bonjour mon Maïtre, je ne vous dérange pas ?
- Pas du tout mon petit Joffrey, répondit Vismer d'un sourire angélique, que puis-je pour toi ? Viens tu essayer d'apprendre de nouvelles mélodies ?
- Non, je viens pour tout à fait autre chose...
- Ah bon ? Quoi donc ?

Joffrey se mît à expliquer le défi qui avait été lancé dans l'auberge un peu plus tôt

- Très intéressant, s'exprima Vismer d'un hochement de tête.
- Oui, et si je viens vous voir aujourd'hui c'est pour vous demander si vous voudriez bien tenir le rôle de juge et arbitre lors de ce "concours"

Maître Vismer prit un instant de reflexion

- Il est vrai que j'aimerais beaucoup assister à un tel concours et admirer le talent de mes élèves. Je ferai mon maximum pour être présent mon petit.
- Je vous remercie beaucoup Maître. Je dois y aller maintenant si je veux être prêt pour mercredi soir.
- Au revoir Joffrey.

Par Gweltas le 12/8/2002 à 16:42:35 (#1951599)

Quuuuuuooooa?
Un sombre mage qui n'est même pas du chapitre pour juger un concours de la plus haute importance comme cela!



Mais c'est n'importe quoi!
Pourquoi on ne garde pas nos bonnes vieilles habitudes :

- je fais le juge, et celui qui me verse la plus grosse somme d'or a gagné?

Pffff la jeunesse d'maint'nant!

Ode à Elise et Kirmar

Par Yonel le 13/8/2002 à 11:39:24 (#1955324)

Voici un poème que j avais composé pour le mariage de deux amis sur Broc, glorifiant leur amour.

Ode à Kirmar et Elise

Kirmar, compagnon de toujours, mon fidèle ami,
Par la joie exultant de ton visage j ai tout appris,
La flamme de l amour brûle dans ton coeur,
La belle, douce et tendre Elise en est l auteur.

Depuis que vous vous êtes croisés,
Au fond de Mitrah, tombe des damnées,
vos ames se sont liées, vos coeurs serrés,
pour mieux affronter la mort qui vous entourait

Desormais à jamais unis pour la vie,
Le bonheur et l espoir vous sont soumis
Et maintetant, devant Dieu et pour l 'éternité
Le fort Kirmar, la pieuse Elise vont s aimer

Voilà. Je en sais pas peut ëtre vouliez vous quelque chose de moins ciblé, mais bon le mariage est bien une preuve d amour.........
Yonel Griffonblanc

Mes intimes m'appellent Rimbaud...

Par Nicholas Wolfwood le 13/8/2002 à 20:07:09 (#1957934)

J'y serais à votre concours...
Avec mon orchestre, on va vous faire un show du feu de Dieu :p
Bonne chance quand même aux autres participants....

Et sur Hibernia pour les bardes ??

Par apofouette le 14/8/2002 à 11:35:43 (#1960557)

Bonjours à vous tous braves gens !
Je veux juste savoir si un tel concours pourrai bientot voir le jours sur Hibernia ( Broceliande, c est la que je suis) ?

Parceque j adore cette idée de concours de poème!!
Mais pour ce qu il s agit es règles de ce concours :
Faut t il jouer d un instrument et en meme tps écrire !!!!
ou faut t il juste écrire un poème??
Ca se passe comment ????

Merci bien et que le chant de dame nature vous protège .
PATAFIX - BARDE (Broceliande) :bouffon:

Par Joffrey le 14/8/2002 à 11:56:18 (#1960667)

Parfois il n'est point besoin de musique pour faire passer une émotion, sa propre voix étant certainement le plus doux des instruments de musique.

J'accompagnerai mes récits de quelques accords au luth, mais je crois que Perce Le Vent se contentera de faire brailler sa voix rauque de paladin par exemple.

A ce soir tout le monde et que le meilleur gagne !

Par leZilou le 14/8/2002 à 14:37:48 (#1961545)

Bon alors je contribue ici, parce que ça ferait mauvais genre si je faisais ça ingame.

C'est une création qui nécessite une certaine mise en scène. Avant de déclamer mon poème, je fais face à la table ronde, je suis teint en jaune. Mes deux voisins, muets, sont en rouge et en bleu. Un peu à notre droite, toujours face à la table ronde, il y a un ménestrel qui s'appelle Christian, et qui est balaise à la clarinette.

Pour 4500 francs, je vais prendre l'ordinateur,
Pour 2600 francs, je vais prendre le tapis,
Pour 1650 francs, je vais prendre l'aspirateur,
Et les 350 francs qui restent, ça sera un bon-cadeau Régali.

Par Joffrey le 15/8/2002 à 19:41:03 (#1966826)

Merci aux personnes qui sont venues à ce concours
Un grand bravo aux participants (Yluis, Nicholas et son groupe, Fharhrd, Etriuss, Percelevent, Kind et.... Brasier)
Un grand merci au jury ( Syriel, Persee et Kaywyn) présidé par Maître Vismer de l'Académie de Merlin

et encore merci aux personnes qui se sont dépalcées :)

Voici les poèmes des gagnants :

ceux de Percelevent

Adieu,

C'était une fille différente qui avait trop souffert,
Elle était mon amie souriante, ma seule amie…
Je me souviens encore de nos moments partagés,
A plonger mon regard dans le sien, à présent sans vie.

C'était une fille différente accablée par sa destinée,
Rongée de l'intérieur par son propre corps de malheur,
Comment espérer, quand de l'intérieur on meurt ?
Pourtant je lui tendis ma main dans sa morne fatalité.

Ensemble, de nouveau elle prit un soudain espoir.
Depuis, nous n'avions jamais baissé les bras, luttant.
Mais elle avait trop souffert, son être ne pouvait croire.
Un soir de décembre elle partit, toute seule, me laissant.

Dans la poussière éphémère, mes larmes, j'ai versé.
Poussant un râle d'injustice, le cri d'un pauvre désespéré
Je voulais l'enchaîner à moi, mon cœur avait besoin de toi
Je suis maintenant sans âme, dans ce monde injuste, sans loi.

La mort prit ma seule amie dans son linceul de minuit.
Pourquoi cette peine ? Pourquoi cette haine contre la nuit ?
Mon amie, inerte, froide, vide de tout son merveilleux.
Touchant sa joue une dernière fois, lui fermant les yeux,

Dans les ténèbres tu es plongée pour ne plus revenir
Hélas pour toi et moi, la grande faucheuse à gagnée.
Elle a fermé cette porte pour ne jamais la rouvrir.
A chaque murmure du vent, j'entends les échos du passé.

L'obscurité ce soir ne m'amène nullement le réconfort.
Car de ta présence mon amie le jour m 'a privé, encore
Est-il plus cruelle souffrance que la mort et l'oubli ?
Vu qu'à l'heure où j'écris ce message, tout est fini.

Je te promets de te garder dans un petit coin de mon cÂœur.
Pour ne jamais t'oublier ma belle, ma douce splendeur.
Je voudrais que la mort me prenne à mon tour dans son ballet
Mais je ne peux faire autre chose que t'aimer et te pleurer.




Je sais que tu désires me connaître pour m'appréhender.
Mais puis-je abaisser les lourdes défenses que j'ai forgé ?
Devrais-je bannir les barrières, qui m'ont toujours protégé,
Du malheur et de la douleur, ses bêtes mal attentionnées.

Je serais devant toi une petite proie chétive et désarmée,
Moi qui suis l'insondable, l'insaisissable, l'insensible entité.
Pris au piège, empêtré, à mon fatal destin, je serais acculé.
Quelques pas en arrière, je chercherais vainement à reculer.

L'espace d'un instant me perdant dans tes yeux émerveillés,
Sans délai, je devrais me résoudre difficilement à t'affronter.
Donnant, lentement, au creux de ta main mon essence égarée.
Espérant que tu y déposes un attendrissant regard affectionné.

Mais j'ai peur, que tu serres durement ta main pour m'abîmer.
Devenant ainsi un spectre qui erre dans un abîme ombragé.
Sans but, sans issue, sans espoir, à jamais torturé et abandonné.
Maintenant, dois-je prendre ce risque, que d'être bouleversé ?

Pourtant j'ai envie de te murmurer doucement mes pensées.
Te laisser découvrir mon cœur et mon âme tellement apeurée.
Tout en me délectant de chaque palabre, chaque sourire amusé.
Car mon esprit est à chaque instant par toi attiré et envoûté.

Peu à peu, les remparts, les barrières s'abaissent craquelées.
Je suis entraîné en une vague, en un flot, me noyant sans résister.
Attiré, balancé, poussé, ballotté, tiraillé, bousculé, mais caressé.
Puis, je laisse l'étrange émotion envahir subtilement ma vérité.

Je pensais les portes de mon cœur à jamais closent et fermées.
Erreur de ma part, ton charme, ta présence j'ai sous-estimé.
Tu as grand ouvert les portes impénétrables, j'en suis affecté.
Je ne voudrais de toi être séparé, juste dans le jour t'être lié.

Tu as marqué de ton essence mon chemin, j'en suis touché.
Mes larmes coulent, une passion trop contenue, trop étouffé.
Je souhaiterais te dire tous ces mots et en mes bras te serrer .
Mais je ne peux faire autre chose que te pleurer et t'aimer.


enfin ceux de Nicholas et son orchestre qui nous ont offert un spectacle haut en couleurs

Le premier, sur la mort :

Homme, as-tu observé les prémisses
D'un déboulé de Midgard ou d'Hibernia
Lorsque tranquille tu xp aux Abysses
Et que du soleil tu ne te souviens pas?

Tu ne vois que des succubes et des mahrs?
Mais l'air se charge de la puanteur des Trolls,
Des cris aigus des Lurikeens. Ton groupe se barre?
Mais tu ne le veux pas! Tu n'es pas une chiffe molle!

Le combat tu recherches, et seul tu pars
Trouver tes ennemis et devenir leur cauchemar
En ta force tu crois, et Dieu est avec toi...

Mais lorsque tu slalomes entre les corps mutilés,
Un doute te prend : et si la mort t'attendait?
Alors tu recules, tu fuis, tu perds la Foi...


Tu me rappelles en ce geste les légions
Qui, parties chantantes et sûres de leur nombre
Pour assurer force et gloire à leur religion,
Sont reparties peureuses, fuyant face à des ombres...

Une charge, un assaut, voilà ce qu'ils voulaient!
De quoi prouver aux barbares leur supériorité!
Mais la peur de la mort les a tous rattrapé,
Et les couards Albionnais ont fui, tétanisés.

Une mort héroïque est pourtant une victoire,
Un acte de bravoure qui te couvre de gloire,
Car la mort n'est pas un destin si amer...

Si tu L'as bien suivi, alors Dieu veille sur toi,
Et ses clercs dévoués utiliseront leur Foi
Pour te donner encore ce que t'offrit ta mère.



Et celui sur l'Amour :

Oh! Toi que je cherche depuis si longtemps!
Pourquoi me fuis-tu, moi qui suis si galant?
Pourquoi me plonges-tu dans ces tristes tourments,
Et me dénigres-tu le doux rôle d'amant?

La femme est faite pour l'homme, et l'homme pour la femme.
C'est pourquoi en chacun brûle une terrible flamme,
Un brasier que seules peuvent éteindre ces dames,
Une fournaise ardente qui créa bien des drâmes...

Ces dames, quelles qu'elles soient, bretonnes ou sarrazines
Quand je les vois me semblent convenir à ma peine.
Mais à toutes les aimer je le cherche toujours

Lui que Dieu a créé pour notre grand bonheur,
Et qui quand il vient est plus fort que la peur,
Vous l'aurez tous compris, il s'agit de l'Amour.


(
Auteur, chanteur, compositeur : Nicholas Wolfwood
Bassiste : Polmera Mygas
Batteur : Essaie DeMeRattraper
Effets Visuels : Eoril
)

Par PoSsuM / Brasier le 16/8/2002 à 0:50:31 (#1967894)

Stupide poésie de pacotille ! Il n'y a là qu'une vulgaire prose stupidement mise en rime, un médiocre agencement dépourvu du moindre talent !

Voici mon oeuvre ! Ces chiens n'ont pas été capable de confondre d'absconcité les autres oeuvres devant la notre ! Kalvin, en place, montront leur ce qu'est une belle poésie !

L'ôde au jeune Vismer

Le voile de la nuit tombe sur de vieux pavés
Un enfant dans le tard les fait résonner
De ses pas maladroits il regagne son foyer
Au loin déjà mille démons piaillent sur sa cruelle destiné !



Kalvin : Il hurle ! Il hurle ! Dans ses yeux la peur. A jamais il est damné, car sur le chemin il l'a rencontré !

Il va mourir cet immonde cafard puant
Sa jeune chair transpercée, hurlant
Il agonise déjà, ses entrailles sont fouaillées
Car sur son chemin il m'a rencontrée



Kalvin : Il hurle ! Il hurle ! Dans ses yeux la peur. A jamais il est damné, car sur le chemin il l'a rencontré !

Une ôdeur infecte monte sur les ramparts
De cette cité de pleutres et de couards
C'est celle de cet enfant brûlé
Que par la main j'amène à jamais se damner !



Kalvin : Il hurle ! Il hurle ! Dans ses yeux la peur. A jamais il est damné, car sur le chemin il l'a rencontré !

Joli, n'est-ce pas ?

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