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L'espoir...?

Par Petite Fée le 3/8/2002 à 22:53:42 (#1909089)

L'espoir, dans le noir, ca ne donne pas grand chose. Il faut quelqu un pour allumer la lumière, où lancer un éclair.
Tendre une perche ou juste un batonnet.
L'espoir c'est ce qui pousse à vivre certains bonheurs, car seuls les malheurs sont eternels.
Malheureusement le bonheur est éphemere, à l'instar de son opposé.
Pourquoi les lucioles ne vivent pas de jours? des gens ont besoin pourtant de leurs lumières alentours? entourloupes la petite bête qui luit car lui a besoin qu'elle lui(se) pour lui tout de suite!

*soupir*

Des bestioles de jours qui brillent pour effacer le noir broyé par quelques personnes, ça existe?
étoile de jour, étoile d une vie, qui ne cesse jamais d'aimer, et de chérir, qui n'oublie pas les moments dur mais les places loin dans sa mémoire, les empeche de refaire surface et les niak a la première sortie comme un cerbère!

-*niak* dedans toi boudiou!

Mais le cerbère s'endors sur ses lauriers et pouf le volcan refait surface! boudiou il faut un torrent pour l'éponger alors l'espoir s'en mêle!

-pinnn ponnn pinnn ponnnnn....

Febrilisation! il va nous claquer dans les doigts! 65893 réveillez vous et aidez nous non de non!
Une seringue de 100 cc d'espoir!

ah non chef, rupture de stocks....


En voilà un qu'aura pas sa dose...alors en attendant qu'ils soient livrés, il sera dans un coma semi-profond, ils apellent ca la phase :"puenvyvyvre"

Sale periode d une vie, j'vous l'jure...
Qu'est ce qu'on peut faire?

*soupire*

Une belle journée.
Grand soleil, sans nuages.
Grand sourire, sans présage.
Les oiseaux sourient, les fleurs chantent.
Les souris oisillonnent, les chanteurs fleurissent.
La joie est sur toutes les lèvres, rose nacré au coeur des filles.
L'heureuse est au bord du gouffre.
Je saute, tu sautes, nous sautons.
Gouffre de l'amour qui la mènerai au 7 ciel bien sur !
Près du père, du fils et des autres esprits
Oh oui c'est une belle journée
Pour mourir, mordre l'éternité
La provoquer en duel
Est ce une belle journée, pour rester ?

Une Petite Fée

Par Empoisonneur le 3/8/2002 à 23:13:11 (#1909158)

*aimerait avoir la magie des mots propre au papa de Bout de Chou pour transformer les gens en lucioles, porteurs de leur propre lumière, de leur propre espoir, sans avoir besoin de dépendre des autres, un espoir qui ne soit pas éphémère...*

Songeur

Par Saloupiot le 3/8/2002 à 23:26:30 (#1909199)

Provient du message de Petite Fée
Tendre une perche ou juste un batonnet


Se demande si la Petite Fée pense à quelqu'un en particulier.

Par Petite Fée le 3/8/2002 à 23:27:15 (#1909203)

Pour dire à l'empoisonné (la passion est un poison, il écrit a la folie, un peu, beaucoup?),j'aimerais aussi posséder les mots de ce papa là, parceque les miens sont aussi courts et indistincts, ils survivront peut-être à la nuit, puis s'effaçeront, comme d'autre, parmi le reste.

Quand au père du bout de tout, il est parti un temp chez les bord de laits, le pays aux biscuits magiques,ceux qu'on trempe dans l'eau de là bas, aussi douce qu'une nappe de lait dans un bol le matin, il est gourmand, oh oui, et puis il cherchait une étoile à regarder! oh oui, parceque les étoiles ca compte dans une vie, ca entretient l'espoir, comme une révision entretient les...les yeux, quand on va voir le zieutologue...

Bref sa passion n'a pas d'egale, et j'arrete la l'éloge où il n'osera plus venir, rouge comme une tomate, ou une pivoine, mais c'est si beau les pivoines, ca serait dommage de se priver de se plaisir, non?

Une Fée

Par Doumy LeNainHRP le 3/8/2002 à 23:29:37 (#1909218)

Qu'est ce que l'espoir?
Un moment dans lequel on peut apercevoir
Une lueur rayonnante de vie
Une interdiction qui se voit permis?

Non, plutot un amour qu'on désire
De pouvoir aimer la femme qu'on admire


Gim- Poète à ses heures

Re: Songeur

Par Petite Fée le 3/8/2002 à 23:29:48 (#1909220)

Provient du message de Saloupiot


Se demande si la Petite Fée pense à quelqu'un en particulier.


Peut etre y penserait elle si elle savait à qui elle à l'honneur...

Par Sariel le 4/8/2002 à 2:34:58 (#1909895)

qu'est ce que je l'aime cette petite Fée

Par Doumy LeNainHRP le 4/8/2002 à 10:25:05 (#1910456)

Espoir un jour de te revoir
Espoir un jour de t’aimer
Espoir un jour pouvoir affronter
Espoir un jour t’admirer comme un miroir

On m’a toujours dit l’espoir fait vivre
Mais quel est espoir nous rendra libre
Peut être celui enfoui au fond du cœur
Peut être celui qui nous fait peur

Pour moi l’espoir
Ne signifie pas plus qu’au revoir


Gim- Poète à ses heures

Par Damon Albarn le 4/8/2002 à 10:28:13 (#1910463)

*n'a absolument rien compris au message et vas lacher une petite phrase qui se fera passer pour de la philosophie bon marché*

Ah...C'est beau l'espoir...

*Ah ben c'était pas si mal...sort*

Par Doumy LeNainHRP le 4/8/2002 à 10:29:03 (#1910467)

C'est pas grave Damon, je t'apprendrai
Hum..

L'attente...?

Par Petite Fée le 4/8/2002 à 10:40:19 (#1910489)

Comme un petit refrain qui se lance, sonographe intimiste, l'attente est douce, désirée....

Que fait elle, où est elle?

Petite étoile des nuits de cette jeune femme...

Perdue?partie?

Elle a très froid cette nuit...
Solitude peut-être, de ne rien voir l'éblouir de milles feux.
Les feux de l'amour...

Peut-être suis je en avance? Ou elle en retard!
Impossible!


Pourquoi ce vide alors? Le manque peut-être?

Nan! enfin si mais...grumblelulmlb

Elle a si froid et pourtant, son coeur est déjà embrumé par sa présence. Le souffle translucide n'atteint que sa coquille car un petit feu de camp est déjà allumé et garde très précieusement le meilleur à l'abri du gel.
Et je sens dans ses rêves quand elle s'endort qu'elle se réchauffe d'elle même en repensant à une étoile...

Puis l'attente devient infernale... Réveillée cette nuit, 100 pas sur le tapis déjà usé par d'autres soirs (pas plus parcequ'après le tapis cri), une tasse de café chaud qui a le temps de refroidir entre les allers retours de la belle.
Une poussière qui la fait éternuer et la voilà à croire qu'elle a prit froid...

Ohh...Bise de mon été, sirocco de mon coeur, envole toi vers un été indien, une Alizé qui saura te contenir...
Le vent tourne et te porte un baiser, fraicheur douce qui t'éveille.

Ah non, je m'éveille, loin de tout, loin de toi.
un manque.
Un vide, un espace à combler, par du vent.


Frais d'Hiver, faits divers
L'amour à soufflé tôt ce matin, il a tout ravagé sur son passage, cyclone imparable, 2 disparus.
Tempête de sable qui ensevelis ces deux âmes recherchées.


La suite est trop belle pour les oreilles sensibles au quotidien, on vous repasse les horreur habituelles pour pas choquer...

"ce matin...10 morts... ouaaah....

Une Petite Fée

Par Doumy LeNainHRP le 4/8/2002 à 10:44:48 (#1910498)

*Admire les talents d'ecriture de la Petite Fée*

*Va essayer d'en faire de meme un de ces jours*

La colère....

Par Petite Fée le 4/8/2002 à 15:00:06 (#1911500)

Rouge sang, vert fureur, noir colère...
Rouge fureur, noir sang,vert colère...

Rouge du sang qui coule dans mes veines à une vitesse incroyable, qui dévale, défile, gravit et inonde, vie, dévie oublie de monter au cerveau et retombe, dans le flot de fureur!
Humeur qui monte, monte, cocotte minute à haute pression, pensées de pendaison, tsunami de sentiments.

Et puis paf une grande claque qui vous touche en plein envol, envol de folie, de déraison, qui vous sonne et vous bloque à terre...

Flots de larmes incessants, n'est que haine qui veut...

Une petite fée

Par Foehn++ le 4/8/2002 à 21:11:06 (#1914024)

Petit vent de printemps
Pour l'espace d'un instant
Faire remonter l'espoir
Ne pas le laisser choir...

Par Lorack le 4/8/2002 à 21:14:46 (#1914051)

Malheureusement je n'ai pas le courage de lire :(

Quelqu'un peu m'en faire une lecture, l’enregistrer et me l'envoyer sur une cassette ? Ca m'aiderai grandement.

Par Yodavid le 4/8/2002 à 21:43:30 (#1914223)

Les mots font pas tout, les mots font pataud même alors juste merci.

Et puis aussi une anecdote.
Imaginez un couple, ils sont sur le point de s'embrasser.
Il prend la parole :
" - Si je t'embrasse, je te cacherai les étoiles de ce joli ciel.
- Si tu m'embrasses je verrai d'autres étoiles toutes aussi belles."
Voilà en attendant que les lucioles fassent les trois huit.

P.S. : la fleur rouge, la pivoine, c'est bien joli, mais ça veut dire qu'on a fermé les volets, qu'on peut donc pas papoter.
Tistou les pouces verts revient aérer tout ça dès qu'il sera en état.
Faut que la maison-fleur respire sinon elle se meurt.
Et il est encore un peu tôt pour fournir les lutins en chapeaux (un peu... beaucoup... passionnément... à la folie...)
Arrosoir et à peluche

Par Eelan-CD le 4/8/2002 à 23:19:21 (#1914955)

Provient du message de Petite Fée
(...) les miens sont aussi courts et indistincts, ils survivront peut-être à la nuit, puis s'effaçeront, comme d'autre, parmi le reste.


Ah non non non !
Moi je me souviens bien des paroles de la fée, elles me font beaucoup rire, et même autant que celles de bout de chou ...

Tiens... le coup de la discussion sur le dos d'un poisson par exemple, c'étais excellent... ou ici, les oiseaux qui sourient et les souris qui oisillonent, ça aussi ça restera à jamais graver dans ma mémoire :cool:

Par Petite Fée le 5/8/2002 à 1:12:23 (#1915583)

Touchée en plein coeur par une remarque et la pivoine pouf, je la deviens... Tistou m'a eu, n'est ce pas monsieur de chou?

Une belle pivoine rouge feuille, la tige verte coccinelle...
Bref un merci qui vient du coeur Ealan,vraiment la la flèche à transperçé!

Tiens ça donnerait presque envie d'écrire....


---------------------------------
D'une petite étoile...

Une petite étoile qui brille au dessus de ma tête. C’est marrant quand je la vois rire, briller ou encore me filer entre les doigts, j ai le cœur qui file avec !
Je l’attend en général, quelques heures, quelques jours, juste un signe, juste un.

Et quand il ne vient pas, j ai peur du noir et de ses charognards.
Ces bêtes qui vous traquent et vous hantent.
Moi j’ai toujours espéré que cette étoile les chasse.
Quoi que mon étoile déguisée en chasseur ça ne me plaise pas trop.
Ou pire, en Chantal Goya (la fée…du…chant.. ! pardi !) qui me chanterais qu’elle a tué un lapin… enfin si le lapin fais 4 brugnons et 2 noyaux de haut, (soit 2 fois plus grand que moi) mon étoile serait mon héroïne !
J’y pense à cette étoile, je me demande quand est ce qu’elle me sauvera.

Je me demande si elle ne brille pas pour la fée d’à côté, ça me fait bien peur quand même.
Elle a disparue, noyée dans un flot marin. Saleté de vent qui emporte ma lumière…

Un petit coin de bonheur, de paradis.
Etoilé de soleil, ensoleillé de lune.
Je l’aime, je t’aime comme la nuit sans brume.
Dans laquelle on se noie. Verre d’eau géant, piscine sans fond.
Gouffre ou passion est ce idem ?
Mais je la vie sans raison de peur d’y trouver un contre.
Peur d’être piquée sur le carreau par une histoire de cœur.
Trèfle.
Quatre feuilles ? Oh oui, je l’ai vu et lui m’a trouvée. Pas eu besoin de le chercher longtemps, il vient a vous quand il veut que vous ayez sa chance.
Prenez la puisqu’il vous la donne, cadeau de là haut !
Frères et sœurs cœurs d’artichauts, révoltez vous ! Enfin non, je voulais dire restez vous même et profitez !
Sans faire de mal bien sur.
Nourrissez vous de la vie, de l’amour (et d’eau fraîche pour éviter d’être sec), une pilule de bisounours 3 fois par jour (matin, midi, minuit) avec un grand verre de passion (le fruit)
Aimez
De jour de nuit, de matin, de midi
Tiens c’est l’heure de ma pilule
Encore un jour…


Une Petite Fée

Par Doumy LeNainHRP le 5/8/2002 à 1:24:50 (#1915650)

*Enthousiaste a la vue de cette histoire*

T'es une déesse de l'écriture:amour:

Bravo rien à dire

Par Yodavid le 5/8/2002 à 19:21:00 (#1920230)

Comme Eelan de gentillesse mais en moins gentil parce que je suis jaloux.
Ah comme ça elle fait rire autant que moi la petite fée ?
Alors qu'elle est plus petite et que donc elle a pas les mêmes poumons et la même puissancevocale ?
Comment ça ça n'a rien à voir ?
Pisque c'est ça je...
Je...

*abandonne des cookies et s'en va tout rouge*
*au coin du bois, se débarbouille avec l'aide de Joey*

" - Dis Joey, tu crois que plus tard je pourrai jouer à Sire Anneau.
- Ben t'as un trop petit nez encore et t'es pas assez rond.
- Ah ben si c'est que ça...
- Ah non non non, hors de question que tu deviennes tout rond, non non non !"

*et Joey de tirer Bout de chou loin de tout cookie, avec pour seule nourriture de l'am... itié et de l'eau fraîche*

Par Petite Fée le 5/8/2002 à 21:58:45 (#1921404)

Croise ses petits bras boudinés, lui tourne le dos, puis tourne la tête vers lui pour lui tirer une petite langue toute rose.

Craaack

oh oh... et oui la jalousie ça peut faire mal...tortibrocoli au cou-de droit apres l'artere qui fait-le-morale et les os en nuages...
C'est mal construit une fée hein?


Bref, obligée de porter une écharpe en plein été, emmitouflée par les grosses chaleur!

j'vous jure m'sieur j'recommençerais plus jamais la jalousie!
ça fait trop mal! aie aie aie...


Une Petite Fée

Par Lady zerfa le 6/8/2002 à 0:16:49 (#1922434)

Continuez s'il vous plait,

Emportez nous encore dans un monde de reves, de fées, d'étoiles et d'espoir

Par Yodavid le 6/8/2002 à 16:57:33 (#1925984)

Une grenouille à l'air bonhomme est perchée l'air de rien sur le sac de cookies laissé là par l'enfant à dessein.
Gaw gaw gaw, fait la grenouille.
Elle va bien en manger un la petite fée de ces cookies délitou, de ces cookies délice fou, qu'une mémé pas sorcière pour un clou (ou alors le clou enchanté d'Erev, le gentil héros paysan des légendes)
Ces cookies qui dénouent même les écharpes aux bras, même les noeuds au ventre, même les nuages qui empêchent de voir les étoiles de nuit comme de jour.


Les cookies délitou, les cookies qu'on trouve pas partout.
Ferme de Bout
Au bout du chemin
Après LE sapin (voilà, c'était la publicité, vous pouvez recommencer à rêver et reprendre une vie anormale)

Par Lorack le 6/8/2002 à 18:04:11 (#1926345)

Vraiment trop beau.

Cette fois j'ai lu et je ne regrette pas !
Ah si je regrette ... je regrete de n'avoir pas lu plutot ce morceau de bonheur, de reves et de folie.

La misère...

Par Petite Fée le 7/8/2002 à 1:27:58 (#1927986)

En parlant de clous...
Un clou...deux chaussettes, une couverture, un bout de carton...
Mais!
Deux mains, deux pieds, un bout de nez et un de coeur.

Comme qui dirait c'est la santé qui compte mais on ne m'a jamais dit si elle devait être dedans ou dehors?
Si elle va dehors(quelques puces et egratignures, ce n'est rien!)
Va t'elle dedans?

Les plaies du coeur sont éternelles, elles.
Les autres se soignent...

Alors quand tu vois cet homme au sourire triste, mal rasé, peu propre qui n'aimerait qu'une chose, un réconfort, un effort, une prise de conscience, et je pleure.
je pleure de ma situation, pas de la sienne, qu'est ce que je peux pour lui? pas grand chose, la main a la poche et le sourire se transforme en or...
Un sourire en or?

ca me fais penser a cet homme (Albert Cohen*) qui disait :

"...Sifflote un peu pour croire que tout ne va pas si mal que ça, et surtout souris, n'oublie pas de sourire.
Souris pour escroquer ton désespoir,souris pour continuer de vivre,souris dans ta glace et devant les gens, et même devant cette page. Souris avec ton deuil plus haletant qu'une peur.Souris pour croire que rien n importe, souris pour te forcer à feindre de vivre, souris sous l'épée suspendue de la mort de ta mère, souris toute ta vie à en crever et jusqu'a ce que tu en crèves de ce permanent sourire."

Alors je lui souris...En esperant avoir mis un peu de soleil à travers ses nuages...

Petite Fée

*Dans "Le livre de ma mère"

Par Eileen le 7/8/2002 à 9:17:58 (#1928842)

*chuchotte à l'oreille de bout de chou*
Tu sais ! Faut pas bouder comme ça, moi j'ai une idée pour qu'il soit puni mon tonton à moi ! hihihi
On l'enferme une journée entière avec Julyane !
C'est méchant, ça, hein ?


*détourne son regard pour le porter sur la méchante fée*
Hep ! Toi la bas ! Oui , toi la fée...
Tu va arrêter tout de suite d'être méchante avec bout de chou ! *les petits poings sur les hanches pour faire plus sérieuse*
Sinon, moi j'le dis à mon tonton ... et ... et mon tonton c'est un chevalier dragon d'abord ! (et pas un chevalier du dragon buveur, hihihi, elle est bête julyane, un dragon, ca boit pas, sinon apres ca peut pu cracher du feu)
Et les dragons, ca mange les méchantes fée !
Pi si tu me crois, j'te montre une image ou on voit m'sieur canari sidhe quand il était petit, avec une fée dans la bouche ! *tire la langue*


Eileen, futur naruspicienne pour pas que les fées elles embêtent bout de chou.

Par Yodavid le 7/8/2002 à 9:38:16 (#1928922)

Voilà les paroles d'un grand-père à son peti-fils dans un très beau livre, "Le cheval d'orgueil", de Pierre Jakez Hélias.
Il explique en quoi les arbres sont importants. :
"Ils rattachent la terre au ciel.
[...] Le ciel est si léger qu'il est toujours sur le point de prendre la fuite.
S'il n'y avait pas d'arbres, il nous dirait adieu.
Alors, il ne nous resterait plus qu' à mourir."
Il poursuit en expliquant que si c'était tellement plus facile de rentrer dans l'air qu'en terre, les branches seraient droites.
C'est le vent, ici, qui a le mauvais rôle.
Le narrateur reprend ensuite la parole, il est ce petit-fils en question.
"J'ai peur de voir se détacher le ciel sous la langue du vent et de rester tout nu sur une terre décoifée.
Les arbres m'ont évité cette apocalypse jusqu'au jour où j'ai perdu ma sagesse d'enfant sans trouver une autre explication du monde."

Le vent entraîne au loin, le vent amène de loin, le vent nettoie dedans, le vent n'a pas d'enfant.

Par Yodavid le 7/8/2002 à 11:19:47 (#1929143)

*sourit aussi grandement qu'il est gourmand*
*donc fait tout de même attention de ne pas gober Canari-Sidhe qui voletait au-dessus de Lighthaven à ce moment-là*
*sursaute de concert avec Joey quand Eileen chuchote* (elle chuchote fort, c'est pour ça)

Hi hi, je boude pas Eileen.
Je boude jamais d'ailleurs parce que sinon paraît qu'on se change en boudoir et que l'ogre il te croque.
Je veux pas que l'ogre il me croque parce que ça doit pas être aussi drôle que quand Toutou me grignote l'orteil à travers la couverture pour aller jouer le matin.

*entend ce qu'Eileen dit de Julyane puis à la petite fée*

Ben t'es tignous toi.
Si on mangeait tous ensemble et qu'on faisait un concours de sourires plutôt ?
Mémé dit que c'est très important de manger parce qu'un sac vide, ça tient pas debout.
Elle a pas été méchante la petite fée.
Et pis elle est gentille Julyane, c'est juste que tu dois avoir un poil dans ton oeil qui est pile-poil devant sa gentillesse alors tu la vois pas (et un dragon ça boit un peu pisque ça boulote des chevaliers du dragon buveur qui sont pleins de mousse qui pique)

Dis, tu nous montres l'image avec Canari-Sidhe qui était en plein vol quand il s'est étouffé avec un papillon et a manqué s'écraser ce jour-là ?

*sourit tout plein*

C'est mémé qui m'a dit, elle faisait du balai pas loin.
C'est fou quand même qu'un papillon ait failli réussir là où plein de chevaliers ils ont pas pu.
Depuis, il est redevenu chenille tellement il a eu peur.
On pourra aler le voir si vous voulez, juste après goûter.


Bout de chourire, rose servant de l'haruspice, cousin de Tistou (chuis en plein dedans là mais y a des mots compliqués comme "grandes personnes" ou bien "sérieux", faut sans arrêt que je cherche dans le dictionnaire ;+)

Par Petite Fée le 7/8/2002 à 13:03:12 (#1929766)

C'est pour ça qu'il souffle...Il cherche des enfants, quelque chose à aimer, la bise est trop douce, il la brise sous ses nuages, le sirocco trop chaud...
Alors il souffle désesperemment...

Aidez moi...Aidez moi...je souhaite un enfant... à aimer...

Laisse le mien, le sien, prend le tien!
Le nuage casse sur son passage ce qu'il aurait voulu tenir en ses mains, mais elles sont trop importantes et fortes pour ne réussir qu'à le tenir, un peu comme un certain edward qui ne pouvait rien toucher sans couper, le vent est trop fort pour la civilisation...

Alors il se repend en disparaissant dans un rayon de soleil...

Là, un enfant, seul sur le bord d une route, les larmes ruisselant sur son visage, toute la colère et la peur qu'il ressent à fleur de peau...
Le vent nuage veut le prendre dans ses bras, sans y parvenir...

Je t'aime moi, je t'aime petit d'homme

Lui soufflera une forte voix, seulement comme chaque chose qu'il aura touché, il le brisera, et le reposera où il était, plus triste qu'avant, n'ayant voulu que l'aimer...

Puis après le vent, le beau temps....

Petite Fée

Ps pour le Bout de chouffle: Tistou est tres tres dur a lire je trouve, trop beau pour des petits comme nous... Heureusement que je l'ai acheté en édition de poche, ouf! quoi c'est pareil? noooon....*ergh*
Si vous avez besoin d'explications vous savez ou me trouver...
et j'ai encore un livre pour vous au fait!

Petite fée de la lecture pour choux

Par Dolce Agonia le 7/8/2002 à 18:33:23 (#1931381)

L'Amour du Vent est bien destructeur, hélas...

Je me rappelle un poême, enfin quelques bribes si lointaines que le nom de l'auteur m'est également sorti de l'esprit. Il était italien, et lors d'un voyage sur nos côtes Atlantique il raconta l'histoire d'amour entre le Vent et une grue (oui oui, celles que l'on utilise pour construire les bâtiments..).


Toutes les fois où le Vent venait parcourir le port d'attache de la grue, celle-ci se mettait à chanter et à se balancer, émerveillée par ce Vent qui avait fait des centaines de fois le tour de la Terre, qui avait tout vu, tout entendu, qui était si vieux que la Terre elle-même ne se souvenait pas de leur premiere rencontre.

Le Vent s'était aussi attaché à elle, revenant régulièrement la voir, tournant autour d'elle, la chatouillant, la faisant rire, chanter, se balancer.

Elle lui avait dit, un jour, qu'elle aussi voudrait voir les terres lointaines, aller voir toutes ces régions, ces contrées dont parlait le Vent lorsqu'il passait la voir: elle voulait s'envoler avec lui. Mais, bien ancrée dans le sol, lourde, pataude avec un seul bras, elle désesperait et pleurait à chaque fois que le Vent la quittait.

C'est alors qu'il décida de souffler plus fort que les autres jours afin de la faire s'envoler. Tourbillonnant autour d'elle, s'engouffrant dans tous le port, jamais il n'avait été aussi déchainé, aussi emporté, aussi déterminé à emmener la grue loin de là. Toute la nuit, la tempête fit rage. Le lendemain matin, la grue n'était plus là, elle n'était plus au port là où on l'avait mise. Mais on pouvait encore l'appercevoir, un peu plus loin, les vagues se fracassant sur ses hanches, son bras levé vers l'horizon, elle avait volé...


Dommage ce coup-ci que j'aie la mémoire si courte.

Par Yodavid le 8/8/2002 à 2:54:48 (#1932885)

*file taper à la porte du nuage de la fée sur Croc le bébé kraanien pour se faire conseiller de la lecture*

P.S. pour la maman de Dolce Agonia : Calvino ? Buzzati ? Un auteur plus obscur ? En tout cas, c'est une poignante histoire cette grue qui vouliat voler...
Si jamais vous retrouvez la référence, je suis preneur.
Oui, je lis autre chose que des histoires pour enfants.
Et puis d'abord, les histoires pour enfants...

Un fils du vent, un passant dans cette vie (bon, soit, là je m'attarde un peu dans ce petit jeu laid mais n'allez pas en déduire que c'est parce qu'il y a là des gens que j'aime bien non plus !)

Par Kristen Lyr le 8/8/2002 à 6:26:14 (#1933118)

*imagine Bout de Chou face à un miroir qui voit une petite fée dans son reflet*
*clin d'oeil*

kristen lyr

Par Eileen le 8/8/2002 à 9:55:22 (#1933434)

Mais non bout de chou ! Ty comprend rien toi ! C'était pas pour de vrai que j'disais tout ça. *pouffe de rire*
C'est pour au cas m'sieur thumord y passait...


*regarde la fée d'un air de toitutouchepasaboutsinon
http://www.ifrance.com/eelan/images/dragounet.jpg *


Ps: Une image de bd comme reference, tout de suite ça fait moins sérieux, mais c'est bien aussi les bds :amour:

Pour la petite histoire..

Par Dolce Agonia le 8/8/2002 à 16:15:11 (#1935203)

Je l'ai retrouvée, c'est bien Calvino, Dialogue des grues et du Vent tiré du Manuscrit de Saint-Nazaire

Tenez, je vais vous faire un peu rêver...:

Le vent descendait chaque nuit dans le port de Saint-Nazaire. Il passait par la plage noire, soulevait le sable noir, déchaînait des tourbillons d’algues et de coquillages, puis il enjambait les môles, franchissait l’écluse en jetant un regard de défi au pont-levant - un jour ou l’autre c’est moi qui te hausserai, semblait-il dire -, et il entrait dans le bassin.

Nul ne le savait, nul ne le sait, parce que la nuit, dans le port de Saint-Nazaire, il ne descend personne d’autre que le Vent. Mais toujours les grues l’attendaient pour lui parler.

Elles étaient nombreuses, un peuple au grand complet. Et la nuit, avant que le Vent vienne, une étrange et lancinante mélancolie s’emparait d’elles. Elles restaient là muettes, presque renfrognées, roides et fixes, placées un peu au hasard. Certaines vers le Zénith étaient droites, tranchantes, pointées vers le zénith comme des obélisques, d’autres avaient l’énigmatique majesté de tours et de gratte-ciel inhabitables, d’autres encore affichaient une puissance de lanceurs de fusées.
Pareilles à des télescopes aveugles, d’aucunes s’inclinaient vers la voûte du ciel, d’autres s’ouvraient en V au point de ressembler à des conques, ou à des boomerangs. Les plus vieilles et les plus grandes laissaient leurs jambes d’acier reposer sur des rails : leur profil était celui de pyramides larges et basses, à moins de former des enfourchures dont les éléments se rejoignaient au sommet, telles des béquilles que des géants blessés auraient abandonnées là.
Les plus jeunes et les plus frêles, agiles à l’égal des ballerines mais aussi imperturbables que des statues, étendaient loin leurs bras horizontaux, pour signaler on ne sait quoi. Le vent les connaissait toutes, et il s’attardait volontiers pour parler avec elles.

Dès qu’il arrivait, dés qu’elles sentaient sa présence, elles devenaient curieuses, loquaces.
« Raconte-nous tes voyages » disaient-elles.

Puis elles se plaignaient un peu de leur sort :
« Tu vois, nous vivons sur les quais, nous construisons les navires, nous les chargeons, nous les déchargeons, et toujours tu pars avec eux vers le large, tandis que nous restons ici. »

Alors le Vent parlait d’abondance, avec sa voix continue qui parfois ressemble à un cri, parfois à un sifflement, tantôt à un murmure et tantôt à un éclat de rire mêlé de sanglots.

Il racontait, racontait sans trêve. Il avait vu tant de choses. Les trirèmes des Romains au temps des conquêtes, les drakkars des Vikings à la proue taillée en tête de corbeau, la cité d’Ys engloutie avec ses trésors, les larmes de Tristan au milieu des flots, il connaissait tout. Et comme il ne voulait pas que les grues le trouvent trop vieux - il l’est en vérité, mais son énergie est telle que nul n’imagine son grand âge -, il rapportait aussi ce qu’il venait de voir au large, des tâches noires et huileuses, des mouettes et des goélands aux ailes alourdies, étranglés par un collier de goudron, des cétacés en quête d’une plage où mourir, suffocants après l’ingestion de détritus de plastique.


[....]

Par Dolce Agonia le 8/8/2002 à 16:27:29 (#1935288)

[....]

Attentives, les grues acquiesçaient d’un air contrit. Ne pouvant rien savoir des évènements survenus au-delà des quais, le Vent était pour elles un ami précieux.
« Bienvenue ! reste ici avec nous » lui disaient-elles chaque nuit, soudain sorties de leur silence abstrait, de leur raideur d’anesthésiées. Le Vent se faufilait contre elles, il les secouait, il s’immisçait dans leurs jointures, il faisait vaciller le crochet qui pend au cou des grues et arrachait des piaulements à la cage fixée à leur taille - cet habitacle qui reçoit aux diurnes les ordres des hommes.

« Vous êtes lasses de ne jamais quitter le port, n’est-ce pas ? » disait le Vent dans le fracas de son rire, et toutes l’entendaient, des obélisques solitaires aux gratte-ciel, des tours aux lanceurs de fusées, et même ces deux-là, parallèles, inclinées comme des lunettes astronomiques, couple lorgnant un ciel impénétrable.

« Parle-nous donc des marées, parle-nous de la lune ! » demandaient de hautes grues jeunes et sveltes. Hautes, elles l’étaient, comme aucun menhir jamais ne le fut. Pourtant, elles ne savaient rien de la voûte du ciel, les noms des constellations leur étaient inconnus, elles ignoraient jusqu’à la lueur d’une planète.

A plusieurs reprises déjà, le Vent leur avait lancé une invitation :
« Venez avec moi, abandonnez les quais, prenez votre envol. »

« Ce qu’il ne faut pas entendre ! » avaient rétorquées les grues, « Quel raisonnement ! », et même les plus grandes et les plus âgées, presque sévères, leur avaient fait écho. Puis les sourires étaient revenus.


Parmi les grues, il en était une plus jeune et plus gracile, vêtue d’un joli jaune qui s‘allumait de reflets vert turquin à la faveur de l’obscurité, une de ces grues dont le bras horizontal semble signaler dans le ciel quelque point mystérieux.

Attentive plus que les autres aux discours du Vent, et même à certains propos que ses aînées commençaient à juger un peu insanes et ridicules, une profonde émotion l’avait saisie à l’écoute du récit où le Vent avait parlé des larmes de Tristan au milieu des flots, des goélands, des cachalots morts par asphyxie : et les dessins des étoiles là-haut, l’argent que la lune laisse pleuvoir dans le ciel, lui seul en connaissait les arcanes.

De sorte qu’une nuit, après que le vent eût traversé l’écluse pour exploser avec un tourbillon sur le bassin et les docks, et tandis qu’il ébranlait de son cri la foule des grues, pour la première fois elle lui répondit :
« Venez, prenez vous aussi votre envol ! » insistait-il.

Et elle, d’une voix fluette :
« Oui, je veux voler, je veux partir. »

Alors le Vent descendit, la caressa, saisi d’un amour foudroyant - on dit que c’est là sa façon de tomber amoureux.

Les vieilles grues aux jambes robustes arrimées sur les quais, aux bras dont le pli formait un angle entre terre et ciel, en furent scandalisées.
« Nous ne sommes pas comme toi, mais d’une autre race ! Personne parmi nous ne peut s’unir à ton souffle, nous devons rester ensemble ici, à notre poste. » Puis elles se turent. Comme si elles ne le connaissaient plus. Seules quelques-unes, plus colériques, plus acerbes, ajoutèrent dans un murmure :
« Fiche le camp ! »

Pour cette nuit le Vent s’esquiva en gémissant. Mais il ressentait comme une injustice. Frêle et menue, songeuse, la jeune grue l’avait acceptée, l’avait voulu. Et les autres, les poissardes, les vieilles ouvrières aux membres calleux, réjouies pourtant par sa venue et curieuses de ces récits, lui avaient claqué la porte au nez.
« Ce ne sont que des esclaves » pensa le Vent à sa façon, « bâties par l’homme à son image et à sa ressemblance : leur coeur est dur, elles sont incapables de se hisser de terre. »

Puis, quand la pensée de l’affront subi et le désir de revoir sa grue devinrent insupportables, le Vent demanda de l’aide à la Marée Haute. Et c’est avec les ailes de l’ouragan qu’il descendit un soir sur le port. Les mouettes et les goélands ne parvenaient plus à voler : il s’en emparait comme de projectiles dans une fronde dans l’eau. Les hommes et les enfants ne trouvaient plus le sommeil : il ébranlait les persiennes, forçait les fenêtres, expulsait des terrasses tapis et chiffons, arrachait aux arbres des rameaux et des branches, décapitait les antennes sur les toits. Il passait sous les portes avec l’allure d’un voleur, hurlait comme un pante qu’on égorge dans les couloirs et les cages d’escalier.

« Assez ! Assez ! » implorèrent alors les grues.

« Je ne vous parle pas, je ne vous écoute pas, je n’accepte aucun ordre. »

Enfin, le vent trouva la grue agile, au bras tendu vers on ne sait quoi - mais lui maintenant, lui seul peut-être le savait - et il fondit sur elle.

« Je te suivrai » cria la jeune grue qui n’avait jamais poussé de cri, mais comment se faire entendre sinon, par une telle nuit.

Le Vent l’enveloppa. Il devait l’aider dans son envol, dans son voyage, afin qu’elle voie les vagues du large et connaisse les constellations. Elle fit quelques pas sur ses jambes grêles, le bras toujours tendu vers le lointain, à peine quelques pas comme qui apprend à marcher, vacillante et mécanique, puis elle s’effondra soudain sur le quai, parmi les autres grues, étendue de tout son long sur le sol d’où jamais plus elle ne pourrait se relever.

Si violente fut alors la plainte du Vent, que les hangars et les ponts, les docks et les maisons, tout sembla devoir s’écrouler comme sous l’effet d’un tremblement de terre. La Marée Haute palpa de ses mains la malheureuse sur le quai, mais vaine fut sa tentative pour la ranimer.
Les autres grues se taisaient, comme en proie au remords.
« Voilà ce qui arrive à ceux que séduisent les discours du Vent » pensaient-elles à leur façon.

Et lui, plus inconsolé qu’un veuf, plus ténébreux que la nuit, plus débordant d’amour qu’un prince amoureux, continuait de lui parler, il lui parlait sans trêve et tout aussi vainement l’entourait, l’enveloppait de ses caresses : enfin ce fut l’aube.
La Marée se retira, le Vent dut s’en aller.

Les premiers qui vinrent au port ce matin-là, pêcheurs, dockers, gens au chômage curieux de voir ce qu’avait donné la tempête, furent soudain surpris par un oiseau blanc plus blanc qu’une mouette, avec des pattes plus fines et des ailes plus longues, plus longues même que celle des goélands. Il s’éleva au milieu des hangars pour se diriger tout droit vers un point du ciel.

Mais personne ne se demanda quel était cet oiseau, ni où il allait.



Fin :D

Par Yodavid le 9/8/2002 à 12:52:04 (#1938969)

*regarde Kristen et lui fait un grand coucou, sourit toujours*

Ah non, ça serait très tristoune ça msieur l'ire.
Faut pas croire, c'est pas parce que j'aime m'écouter parler que j'ai envie d'être tout seul tout le temps.
Et pis la fée, on dirait bien Qu'Eileen lui a fait sa fête pour de vrai.

*regarde Eileen en coin*

Tu sais que le dragounet va encore être malade et qu'il va finir par la libérér de toute façon, n'est-ce pas ?
Tout ça pour manger tout le miel avant qu'elle revienne, pfff.

*se pose en souriant sans ciller en attendant le retour de la fée et le vol précipité du dragounet au-desus de leurs têtes*

P.S. : elle est décidément très bien cette histoire de grues ou "raconte-moi le monde, je le verrai par tes yeux, fais-moi voyager, j'ai tant peur de mourir à demeurer ici".
Il y a tant de façons de voyager.
On peut se tromper de guide, on peut aussi céder à la foule et ne pas bouger, ou bien on se transforme et on part, seulou accomapgné du vent.
Mais à coup sûr in apprend.
Ca me rapelle "L'évadé", de Boris Vian (oui, je me répète, en deux ans je me répèrte forçément), qui finit dans le sang.
Mais au moins il a eu le temps de voir, "Le temps de boire à ce ruisseau/Le temps de porter à sa bouche/Deux feuilles gorgées de soleil/Le temps de rire aux assassins/Le temps d'atteindre l'autre rive/Le temps de courir vers la femme/Il avait eu le temps de vivre."
Ouala ouala.

Le papa de Bout de chou, fils d'Erev et de... (hey, j'ai failli vous donner des infos là, manquerait plus que je fasse croire que j'ai un background après seulement deux années de jeu, et pis quoi encore ! Merci pour l'histoire, merci pour l'image et "non je ne suis pas une petite fée !" D'ailleurs, si elle boulotte tout mon miel sans rien dire juste pour en avoir en plus... ! Bon, si c'est que ça c'est pas grave encore, je vais vérifier qu'elle a pas oublié les trucs de la fée Houdiné pour sortir d'un dragon...)

Par Fallone le 9/8/2002 à 18:16:15 (#1940673)

*regarde la scène*

*voit deux fées se transformer... L'une en sorcière, l'autre en enfant*

*prend peur*

*Part, le vent en poupe...*

Par Petite Fée le 9/8/2002 à 18:50:55 (#1940845)

grumbl de grumbl, ratatouille de rat et ratapouine de fouine!

Je racontais pourquoi je faisais un silence rapido...radipo...radio! vala, et ce scgreugneugnnge de dragon m'a mangé mes mots...
y'en avait tout pleins, des beaux, des bouts des moins beaux, des rigolos!

Alors si le courage me vient je recomencerais à raconter mais si le courage arrive juste hein...

Une Petite fée

Ps: un miel, deux miel, trois miels zuuuut j ai oublié d en donner un peu a bouts de bisous...

J arrive j arrive, je prend mon TIH( train inter herbale) et je vous apporte ça sur une colombe volante (bha quoi y en a qui marchent pfff) des que mon sablier lunaire a inversement marin (mon SLIM) fervant admirateur de surbrenant técrivains (FAST) aura sonné la glace...

Je me depeche fiouuuu....

Par Yodavid le 9/8/2002 à 20:29:07 (#1941186)

*regarde la dame effrayée partir*

Mais non il faut pas avoir pe...

*regarde la petite fée partir aussi trouver du courage*

Mais non, du courage y en a plein ic...

Bon...

On joue à Peter Pan Toutou ?
Mais c'est toi qui fais Peter Pan alors et moi je te sauve et tu viens vivre à la maison et...

*le petit chien et l'enfant décident alors de rejoindre alors la fermette dans cette fin de jour où le soleil se couche sur les champs d'herbe humides de pluie qui étincèlent tels des*
(t'es gentil, le narrateur, y a déjà pas grand monde qui lit alors tu les fais fines les tranches de mots s'il te plaît, et je me fiche de tes théories sur la qualité qui vaut mieux que la quantité, tu coupes !)

Toutou ?
Toutou ?

*et tel une Pelisse sans son fourreux, l'enfant disparaît dans un silence ouaté, laissant la vedette à la nature incomplète*


P.S. : pas grave pas grave pas grave pas grave...

Par Julyane le 18/8/2002 à 13:52:29 (#1978756)

Zouaiiiiii bout de chou, on le fait quand le goûter ?? hein dis on le fait quand, moi j'amènerais des bonbons.. et aussi si Eileen ne peut pas venir bah tant pis on fera sans elle.

On simule bien avec Eileen quand même, quand on se tire les cheveux on y croirait ...

Julyane la plus zentille de toutes

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